Qui a dit qu'il fallait forcément consulter un docteur pour faire une thérapie ?
Des fois, juste de la chaleur humaine suffit pour qu'on oublie les problèmes...
"Et dire qu'on était qu'aux préliminaires" - Players
"Si je ne te connaissais pas je d...
-Tu sais, je pense que tu as besoin de te détendre, déclara-t-il après avoir décollé ses lèvres des miennes.
-En effet, mais c'est pas un thé qui va m'aider...
¡Ay! Esta imagen no sigue nuestras pautas de contenido. Para continuar la publicación, intente quitarla o subir otra.
-J'ai peut-être une autre solution...
Je ne l'avais pas regardé seulement il avait dit cette petite phrase si innocemment que je ne me doutais pas une seule seconde qu'il commencerait à caresser mon entrejambe à travers mon jean. J'ai peut-être omis de vous dire que c'est un pervers et qu'il en rate pas une. Vraiment pas...
-NamJoon..., dis-je à titre d'avertissement.
Il défit mon jean doucement en embrassant le creux de mon cou. Sa main caressa mon bas-ventre avant de se frayer un chemin sous le tissu qui couvrait mon intimité et n'attendit pas une demi-seconde pour presser mon clitoris m'arrachant un hoquet ainsi qu'un violent frisson le long de la colonne.
-Tu es tellement tendue, laisse moi faire...
Il murmura contre mon oreille de sa voix rauque qui me faisait toujours autant frisonner et son majeur fit de petits cercles sur mon point d'amour faisant grimper petit à petit la chaleur de mon corps.
-Est-ce que ça te détend mon bébé?
-Oui... NamJoon... Plus...
Je sentis ses lèvres posées au creux de mon cou s'étirer en un petit rictus. Généralement, dans ce genre de moment, ça tournait mal pour moi. Mais j'adorai. Il me fit sortir de sur ses genoux et enleva mon jean ainsi que ma culotte à présent mouillée. Ses mains caressèrent mes flancs en remontant doucement mon t-shirt, ses lèvres brûlantes suivant le chemin de la remontée. Mes frissons se transformèrent progressivement en haletements. Après 2 ans de vie commune, il me faisait toujours autant d'effet.
-Allons te détendre dans la chambre bébé, dit-il d'une voix désireuse et rauque près de mon oreille me faisant presque défaillir. J'en mouillai.
(Et moi j'en bande 😂 Okok je connais la sortie ~)
Il me porta jusqu'à notre chambre et je ne fus pas du tout étonné de me faire projetter sur le matelas moelleux qui constituait notre lit. Son muscle mouillé et chaud traça des sillons mouillés le long de mes jambes jusqu'à l'intérieur de mes cuisses et un hoquet surpris passa la barrière de mes lèvres lorsque je me cambrai en le sentant laper mon clitoris du bout de sa langue. Dieu. Que c'était bon. Ses coups de langue s'accélèrent, je gémis, mes doigts passant sur son cuir chevelu le décoiffant sous les certains degrés que sa langue prodigieuse s'activait à me faire perdre la tête. J'étais sur le point de jouir, j'allais exploser dans les secondes à venir mais mon plaisir fut coupé. L'objet de mon désir avait quitté la zone érogène pour poursuivre son chemin vers le haut de mon corps.
