《 Quand la vie choisie de te faire mal 》 Chronique de Rania.

Chapitre 37: Le boss est mort ce soir.

Titre: Le boss est mort ce soir.

Chapitre 37:

Raïss: Je veut plus voir ton visage mort de peur a chaque fois que je rentre 5 minute en retard ma belle.

Moi: C'est bien plus fort que moi Raïss j'ai tout le temps peur de te perdre.

Raïss: La mort me suit Rani je veut pas que tu tombe si un jours je part.

Je me sert contre lui en me demandant pourquoi j'ai aussi peur depuis un certains temps comme si lui et moi on savais que nous deux sa n'iras pas loins comme si lui et moi on s'étais résignais a ce dire qu'on avais pas le droit au bonheur.

Le temps a passé aujourd'hui il n'est pas rentré mon cœur est serré comme jamais il ne la étais je ne sent pas le bien j'ai m'impression que je suis entrains de perdre mon souffle petit a petit sa sonne a ma porte putains pourquoi on sonne il a les clé lui et jamais personne ne vient chez nous je vais ouvrir et je trouve deux hommes devant moi le regard noir la tête baissé un d'eux prend la parole.

Lui: Le boss est mort ce soir.

Cette phrase fais écho en moi cette phrase me fais viré j'ai plus la notion de rien je viens de perdre mon seul pilier dans ma vie mon cœur s'est déchirer les deux hommes son toujours la face a moi figé par cette annonce sordide.

Lui: Je suis Karim son bras droit tout ce qu'il possède vous revient Rania je sais que ce n'est pas le moment d'en parlé mais je vous recontacterais pour vous parlé du réseau car même si il n'est plus de se monde la vie doit continuer alors je vous laisse le temps de réfléchir a ce que vous voulais faire ensuite j'ai cette lettre qu'il m'a laisser pour vous.

Je vois dans ces yeux aucune émotions comme si il savais que sa allais arrivé comme si il se réjouissais d'être désormais seul a la tête du réseau je referme la porte sans lui accordé aucune réponse et la je m'effondre au sol je pleuré je crié je venais de finir ma prière j'avais encore mon voile je l'es arracher qu'Allah me pardonne mais je ne croyais plus en rien comment peut-on faire autant de mal a une seul personne c'est pas possible je perd la foi je n'y crois plus pas après tout ce qui m'arrive dans ma vie mais Quesque j'ai fais pourquoi la vie m'en veut autan je n'avais pas déjà assez souffert comme je me retrouve de nouveau seul par terre seul et isolé je suis condamner au pire lui et moi on l'avais senti on savais pertinemment que nous deux sa n'allais pas duré comme dans toute ces histoire d'amour comme dans toute les autre chronique des filles qui finissent toujours par un mariage heureux ou une grossesse heureuse lui a fini mort et moi j'ai fini seul avec plus aucun lient qui me retient a ce monde je me dirige vers la cuisine je prend un couteau je voulais en finir je voulais plus jamais souffrir plus jamais me sentir seul abandonner et détester par la vie par ce monde je m'empare de ce couteau prête a planté mon cœur pour que enfin il cesse de battre puis au loin j'aperçois sa lettre attend moi mon amour juste le temps de la lire et je te rejoint je m'avance vers elle je la prend et la lis.

Rani,

Si tu lis cette lettre ces que je t'es quitter pas par choix mon cœur mais par suite logique a la vie de merde que je mène cette vie salle ou on a pour seul issus la prison ou la mort, mais dans cette vie sombre et noir que je mener y a eu cette lumière qui a éclairais ma vie pendants un ans a tes coté cette lumière ces toi ta étais mon oxygène grâce a toi je me suis senti libre aimé et surtout fière d'avoir la plus belle femme du monde a mes côté Wallah que quitter ce monde je m'en foutait j'aurai put mourir n'importe quand je me serais laisser partir sans broncher mais te quitter toi me bouffe le cœur pardonne moi de t'abandonner ma chérie pardonne moi de te laisser toute seul wAllah que je ne suis pas encore partie mais rien que d'écrire cette lettre je chiale comme un gosse Rani je veut pas que tu te laisse allez je veut pas que tu me rejoigne je veut que tu soit une battante ma belle je veut surtout pas que tu baisse les bras sa ces pour les lâche c'est pas pour nous on va se retrouver mon amour mais dans longtemps t'es la seul et unique femme de ma vie je t'aime comme jamais j'ai aimé personne et si un jours tu doute ou si un jours tu a peur ferme t'es yeux et pense a moi dit toi que quoi qu'il arrive quelque soit les épreuve je serais la pour veillé sur toi je serais jamais loins de toi je compte sur toi Rani pour me rendre fière pense à moi pense a nous tout les jours....

J'ai arrêté de lire la j'ai pas eu cette force de continuer je suis par terre le couteau dans la maison gauche et cette lettre qui me brûlé la main droite j'ai balancé le couteau loin devans moi j'ai prit le soin de rangé sa lettre peut-être qu'un jours j'aurai le courage de la finir je suis monté en haut je me suis mise sous la douche j'y suis resté pendants des heures pour pouvoir me vider de mes larme sans qu'elle ne laisse de trace sur mon visage je sort de la je vais dans ma chambre cette chambre ou lui et moi étions si bien ya que dans cette chambre que nous deux on s'envoler loin sans que personne ne nous arrête j'ai le coeur brisé en mille j'ai pas la force d'appeler Issam comment lui dire qu'il a perdu son seul et unique frère sa seul et unique famille de toute façon il doit déjà être au courant avec tout se monde qui cris haut et fort la mort de Raïss Samade.

Il es 9h du matin lorsqu'on me ramène son corps sans vie à la maison règlement de compte mon mari es mort d'une balle sur la tempe j'ai le sang qui glace à cette annonce ce n'était pas un accident tous était prémédité.

Des hommes et même certaine femme son présent ici pour pleuré ou admiré la mort de Raïss tous viennent me rabâcher leurs condoléances la veuve Samade voilà comment il m'ont qualifié il es dans la chambre du haut son corps m'appel et pourtant je me doit de recevoir ces hommes de mains ces amis et ces femmes dont je ne connais pas leurs fonctions dans la vie de mon mari je ne veut en aucun cas savoir on était tous assis la quan la porte s'ouvre d'un coup Issam ce trouve devant moi affolé apeuré le visage rouge rempli de haine et de tristesse il es accompagné de Ciarra et de son ventre déjà bien formé.

Issam: IL ES OU MON FRÈRE LA PUTAINS DE VOS GRAND MÈRE !!!!

Je lui montre l'étage d'un signe de tête il fonce en haut Ciarra en pleure vien me prendre dans ces bras sèche tes larme tu vois bien que les miennes m'on laissé tombé plus rien ne sort de mes yeux es-ce la honte la haine ou la dignité ? Aucune idée on entend Issam pleuré crié à la mort tapé dans tous ce qu'il trouve Ciarra es monté le calme redescend mon frère moi qui suis sa femme je n'est pas fais autant de scandale que toi je ne veut plus pleuré je veut qu'il repose en paix une seul chose trône dans mon esprit me vengé je regarde son bras droit Karim et lui fais signe d'allai dehors on y va.

Karim: Encore une fois Allah ya rahamo.

Moi: Amine.

Karim: Issam va reprendre le réseau ?

Moi: Issam à décrocher il attend un enfants Raïss aurait refusé qu'il replonge.

Karim: Entendu.

Moi: Ces moi qui reprend tout.

Il me regarde surpris mais ne dit rien il confirme seulement.

Moi: Je vais avoir besoin de toi.

Karim: Je serais votre bras droit comme j'ai était celui de Raïss.

Moi: Bien mais avant tout il faut commencé par le commencement.

Karim: Ces à dire ?

Moi: Son nom ?

Il me regarde il a compris de quoi je parlé.

Karim: Sadek.

Moi: Je le tuerais de mes propre mains.

Moi même je ne me reconnais plus mais je suis bien consciente de ce que je dit Karim es choqué par autant de détermination autant de sûreté.

Raïss mon amour tu sera vengé.

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