《 Quand la vie choisie de te faire mal 》 Chronique de Rania.

Chapitre 52: Frissons.

Dans la peau de Rania

J'ouvre les yeux après m'être assoupi je m'étire.

Karim : Ca va la belle au bois dormant ?

Je regarde Karim je rigole.

Moi : Mdr fallais me réveillé.

Karim : Je viens de me réveillé aussi mdr.

Moi : On fait une dernière baignade et on rentre ?

Karim : Le dernier a l'eau à un gage !

Et il ce lève et court je bondis aussi mais c'est peine perdu il es déjà dans l'eau je le rejoint.

Moi : Hé tricheur c'est pas du jeu !

Karim : Mdr ça te fais deux gage madame ! mdr.

Moi : Le premier ok le deuxième je suis pas d'accord.

Et je lui jete de l'eau sur lui.

Karim : Continu et je te noie.

Moi je lui relance de l'eau je fais la maline parce que je suis loin de lui.

Karim : Rania un conseil arrête.

Et je lui relance encore.

Karim : Ok court.

Et la il se met a essayé de m'attrape je court comme je peux mais avec la pression de l'eau impossible donc il me rattrape en deux seconde je sens ces gros bras m'enlacé ma taille mon dos ce collé a son torse et a cette instant mon cœur a raté un battement tous mon corps entier a frissonné je ne sais comment expliqué ça mais être dans cette position ma fais ressentir une décharge électrique c'est quoi ce putain de délire la.

Karim : Alors on fait moins la maligne la je fais quoi je te prend en pitié ou tu bois la tasse ?

Moi : Euh je euh Karim.

Karim : Oh Rania ça va tu trembles ?

Ah bon ? je m'en suis même pas rendu compte je ne savais plus quoi faire je voulais le repoussé lui dire de me lâché mais j'étais comme paralysé enfaite je voulais pas qu'il me lâche enfaite j'étais juste bien à ce moment mais en même temps ma tête est en feu je comprends pas.

Il pose ça tête sur mon épaule.

Karim : Calme toi Rania je voulais pas te faire peur je suis la je vais pas te noyé.

Et il a juste resserré l'étreint ce qui fais que j'étais encore plus proche de lui on est resté quelque seconde comme ça quand j'ai senti sa bouche sur mon épaule il vient de m'embrasser l'épaule deuxième décharge électrique et à ce moment la le visage de Raïss est venu dans ma tête j'ai sursauté et je me suis éloigné de lui je me retourne il me regarde un regard que j'arriverais pas a déchifré.

Moi : Karim on devrais pas être aussi proche pourquoi tu m'a embrassé l'épaule.

Karim : Je suis désolé Rania je te sentais stressé et pas bien je voulais juste t'apaisé rien d'autre je te jure.

Il avait l'air mal alors j'ai pas voulu bloqué.

Moi : C'est rien euh ne recommence pas d'accord euh on y va ?

Karim : Ouais on y va.

On regagne notre endroit dans un silence de mort puis on a rassemblé nos affaires puis on prend la direction de l'appartement.

Dans la peau de Karim

Putain mais quel con j'aurai du contrôlé ma putain de pulsion mais l'avoir aussi prêt de moi sa taille enroulé dans mes bras son arrière collé contre ma partie une envie c'est emparé de tous mon corps j'ai posé mes lèvres sur son épaule pour assouvir ce besoin d'elle cette envie d'elle mais traiter moi de fou j'ai pas rêver elle a frissonné quand j'ai posé mes bras autour d'elle et quand j'ai posé ma bouche sur son épaule non non je suis pas fou au début elle a pas bougé j'avais l'impression que cette scène lui faisais du bien j'en suis sûr qu'elle lui a fais du bien mais d'un coup elle c'est dégagé de moi comme ci elle avais fais quelque chose de mal j'aurai voulu lui parlé à ce moment-là mais elle avait l'air trop mal à l'aise et catégorique sur le fait qu'il ne fallait pas que sa se reproduise alors je veux pas la gêner encore plus alors on a pris la route dans un silence complet en direction de l'appartement une fois arrivé elle me demande si je veux aller me douché en premier je lui dis d'y allé en première j'irais après elle me fais un signe de tête et s'en vas moi je regarde notre photo de hier soir je souri on dirais un couple un vrai j'aimerais tellement que ce soit aussi simple mais non bref je vous passe un peu de temps on se retrouve dans le salon tous les deux douché elle est a fond sur son téléphone.