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MARIETTE ARIEL. ESPAGNE, MADRID.
Je suis extrêmement stressée, je vais revoir Antoine, mon meilleur ami d'enfance, j'ai appris qu'il était devenu footballeur professionnel, et qu'il habitait à Madrid en Espagne, donc j'ai décider de faire le voyage depuis l'Australie pour venir le voir, personne n'est au courant de ma venue, en même temps dans l'équipe je ne connais qu'Antoine, je sais qu'il a une fille et qu'il est séparer de la mère. J'avoue que quand j'ai appris qu'il était papa, j'ai cru qu'il avait fais sa vie et qu'il m'avait oublier, mais enfaite non, il m'a appeler il y'a pas longtemps pour prendre de mes nouvelles, depuis le lycée nous sommes séparés, et maintenant je vais nous réunir. Je descends du taxi, et entre dans l'enceinte du centre d'entraînement de l'Atlélico. Les vigils me laissent passer, j'avais contacter le coach la veille pour lui annoncer ma venue et qui j'étais pour Antoine, bien sûr il fallait des preuves que je ne sois pas une fan complètement folle, je lui ai donc montrer des photos et des messages bref. Je le vois au loin et l'appelle.
_ Tu dois être Mariette ? Fit t'il, en souriant.
J'hoche la tête.
_ Bien, les garçonssont tous entrain de s'entraîner, viens.
Je le suis, jusqu'à ce qu'il m'emmène sur le terrain, il me demande d'aller m'asseoir dans les tribunes, ce que je fais. Je visionne donc l'entraînement complet, mon regard reste bloquer sur un seul joueur, Antoine, mon petit Griezmann qui m'a tant manquer, j'ai hâte de voir la tête qui va faire en me voyant, j'espère surtout que ça va lui faire plaisir. Après une heure trente d'entraînement, les garçons s'approchent de Simeone, qui les brief sur ce qu'ils viennent de faire. Quelques minutes plus tard, ils rentrent tous dans les vestiaires, Simeone me fait un clin d'oeil qui signifie que c'est le moment, j'hoche la tête et descend des tribunes, je me dirige presque en courant dans les vestiaires, je souffle un bon coup et toque, trois coups. Et mon coeur rate un battement en voyant Antoine, m'ouvrir la porte avec un grand sourire, il était en serviette. Son sourire ce fane petit à petit en me reconnaissant sûrement.
_M-Mariette ? Dit t'il, en clignant plusieurs fois des yeux. J'hoche la tête en souriant.
Son si beau sourire revient et il me saute dans les bras en me serrant très fort, je le sers tout aussi fort, et embrasse sa joue. Nous nous séparons et il pose ses mains sur mes joues.
_ Oh putain, çafaittellementlongtemps ! Tu sais pas à quel point tu m'amanquer. S'exclame t'il, en souriant, je pense même avoir vu des étoiles dans ses yeux.
