J'avais une maison, de la nourriture, de l'eau aussi bien pour boire que pour me laver, une chambre, donc un certain confort, une éducation, je savais lire et écrire et je me plaignais.
Je me plaignais, pourquoi ?
Parce que mes parents étaient violents et alcooliques, parce qu'ils me détestaient, parce qu'ils me frappaient parce que je n'étais qu'une erreur dans ce monde.
Plus le temps passe, plus je regrette d'être partis.
Marban, jour cent-dix
YOU ARE READING
Journal d'un SDF
非小说类Tout le monde a déjà posé les yeux sur ces personnes. Tout le monde a déjà croisé leur regard désespéré, mais remplis d'espoir malgré tout. Combien ont eu le coeur assez grand pour sortir quelques pièces de leur poche et leur tendre en souriant ? N...