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"-Jimin.. Je dois aller quelque part.!
-Moi aussi.
-Laisse moi repartir ...
-Pas tant que j'en aurais finis avec toi."


Je l'avais rapidement emmené faire un tour en balade à la fin du baiser, en réalité, je m'étais rué sur le volant et avais démarré sous son regard de petite fille timide... J'avais tellement envie de l'éloigner de tout ce trafic, que j'avais dépassé les limites de conduite, avais fais des queues de poissons, avais doublé sans en avoir l'autorisation ... J'avais même trouvé le moyen de nous éclipser vers Bukhansan Park, le célèbre point des randonneurs.
Le trajet se faisait en temps normal de une heure et un quart d'heure, j'avais tellement brûlé de feux rouges que nous avions fait le chemin en un peu moins de trois quart d'heure. Nous n'avions pas trouver le temps long, puisque nous avions fait que jurer encore et encore par peur de se prendre une voiture à cause de ma conduite suicidaire.
Cela nous avait provoqué des rires, puis des sourires immetrisables ornés de perles salines. Quelques regards complices c'est vrai. Il m'avait dit qu'il avait eu peur à cause de moi, que la nuit tombait et que l'on devait faire attention ; attention aux loups par exemple, aux regards indiscrets et maintenant faire attention à nous.

Je l'ai pris au piège entre mes deux bras.
Il a tellement maigrit et prit en muscle à la fois, je ne sais pas si cette sensation me vient tout droit de souvenirs lointains ou de frayeurs personnelles. j'ai juste abaissé les fauteuils du quatrexquatre pour que l'on soit à l'aise. Je l'avais obligé à aller sur les sièges arrière ; il ne s'était pas vraiment fait prier non plus... Tout ce qu'il avait fait, c'était de grogner un peu en disant que c'était mal et qu'il devait aller quelque part. Je me demande si il a quelqu'un d'autre dans sa vie maintenant.
Quoi qu'il en soit, il la délaissera bientôt pour le plaisir de se coucher le soir avec moi.

Son odeur n'a pas vraiment changé, il sent juste la fleur à cause des bouquets qu'il vend désormais. Sa peau eest effacée, je me demande si il dort bien, si il est efficace dans ce qu'il fait.
J'agrippe le haut de son jean, plonge tete en avant vers sa nuque, dévore de mon appétit sa peau en respirant le plaisir que j'ai à sentir son corps contre le mien. Se cacher comme ça, ca me rappelle mes années lycées : l'époque où j'étais heureux sans le savoir, l'époque où j'étais libre sans le voir. J'ai l'impression d'écraser sa carrure maigrichonne, ses lunettes ont vite finit sur le siège avant, tout comme son lainage et mon pull qui me tenait effroyablement chaud...
Chaud, c'est chaud, son corps.
Il est bouillant, il m'embrasse comme si c'était la dernière fois ou comme si cela était la première. Ses doigts courbés par le temps se perdent dans mes cheveux noirs, je me perds dans les siens aussi. Il gigote, tape de son bassin, agrémente mes faveurs en suçant ma langue.
Je caresse tout, tout ce que je peux.
Son genou gauche, remonte sa cuisse en frictionnant l'intérieur, passe sous son tee-shirt. J'en profite pour explorer sa cage thoracique, ses côtes perceraient presque sa peau si le muscle n'était pas épais par dessus. Il fait déjà noir dehors, l'obscurité tombe, la voiture tangue, on donne des coups de pied un peu partout, rions même parfois de l'incommodité de la scène.
On ne parle pas.
Je ne parle pas du moins, lui, il marmonne entre ses rides, tire sur mon jeans, dessangle ma ceinture. Il devient entreprenant, attend que je lui retire le haut de son apparat et finis par retirer le mien.
Il touche mon corps en etant étonné de voir que les années m'ont reformées, m'ont sculptées. Très vite, son corps passe au supplice, il tira la langue, mit en scène ce qui allait se produire puis déglutit quand je viens m'allonger à côté de lui. Nos jambes se bâtent, elles s'emmêlent, elles tissent et filent, passent par dessus et par dessous, pendant que nos mains ne se descellent pas.
Je me demande même si l'on ouvre réellement les yeux.
Je tâtonne dans son dos des cicatrices que je ne connaissais pas, idem sur ses bras. Il geint parfois, de douleur, quand les os de ses hanches rencontrent la doublure de mon jeans. Il rabat mes cheveux en arrière, attend un temps, observe mes lèvres sanguines par les sucions, plonge enfin ma main dans son sous vêtement. Il crispa ses babines.
Cela le dérange ?
Il semble apprécier pourtant. Je malaxe ses bras, forçant sant vouloir pour sentir qu'il est près de moi, que je ne rêve pas... Car ô combien de fois j'ai rêvé d'un moment comme celui la.
Mais c'est bien réel, je suis sur que l'erection que je tiens, semble être la depuis le baiser que l'on a échangé il y a maintenant une heure.
Voilà une heure et l'on n'est toujours pas passer aux choses sérieuses...

Je remonte sur lui, installe mon blouson derrière son cou, tandis que les lampadaires éclairent l'habitacle, la respiration condensée se fige sur les vitres. Le véhicule use de ses suspensions, arrive le moment où je laisse tomber mes chaussures et tente de faire de même pour lui. Il se débat, dit qu'il n'a pas besoin de les retirer quand à sa cheville fine comme mon poignet, je découvre un bracelet. Électronique cela va de sois. Je suis confus, je fixe, je demande du regard ce que cela signifie puis comprend par le sien que je dois éviter le sujet. Je souris, embrasse l'objet en question et baise par dessus son bas sa jambe, remonte jusqu'à sa fermeture éclaire et la descend. Il est calme et agité. Ses poumons sont en relief sur sa peau, ils sont presque dessinés : c'est horrifiant, mais je ne m'attarde pas. Je continue juste et retire enfin son pantalon noir, que je laisse pendre entre le volant et le rétro.
Je ne vois pas clairement, du à l'excitation, mais je discerne correctement sa virilité presque convulsé.
Il m'appelle, son corps me fait appelle.
J'ai juste envie de me jeter dessus et qu'il plante ses phalanges sur mes omoplates ; pourquoi dis je que j'en ai envie alors que c'est ce qu'il se passe ? J'ai l'impression qu'il fait des bons en dessous de ma bouche, que trop enjoué il ne se contrôle pas, quand je passe ses cuisses par dessus mes épaules pour en même temps rencontré le seul endroit qu'un seul homme ne lui ai jamais touché... Le seul homme, garçon a l'époque que j'étais, moi.
Que je pensai etre l'unique détenteur, il a visiblement vécu d'autre aventures ? Ou est ce Moi qui m'imagine que cela est différent rien qu'au touché, que ce n'est plus doux mais irrité et qu'il semble endoloris par l'idée de faire l'amour...

Il a quelqu'un dans sa vie.
Ou alors, la prison s'est avérée être plaisant pour son cul.
Je ne sais pas si je suis en colère ou agacé, dans tous les cas ça me donne envie de le serrer.
Je lui arrache presque sa douleur en tapant mes lèvres contre la naissance de son intimité. Je chatouille tout de ma langue, reste un peu distant comparé à l'engouement que je m'étais fais, puis bloque totalement.

Je reste figé, immobile.
Je ne monte pas ne descend pas, ne me dandine pas comme il fait.
Son gémissement à échapper une rale étrange, aiguë pour une fois, renferment un secret ou plus ou moins sorte de trahison. Je ne savais pas, cela a figé ma colonne alors qu'il se déverse en s'essoufflant, la jambe droite vers le plafond et l'autre reposant contre l'arrière du dossier face conducteur. Je suis toujours la au milieu, je m'étouffe presque en scrutant le plaisir qu'il jouissait sans retenu.





Il venait bien de prononcé le mot Papa ?











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j'ai essayé de sous entendre des trucs parce que g pas envie écrire dès citrons mdr ; y'a des comptes qui font ca très bien

du coup j'espère vous avez un peu comprit
désolé pour le retard
je crois ça fais 2 semaines ?
peut être 3 je sais pas
pardon




du coup j'espère vous avez un peu comprit désolé pour le retard je crois ça fais 2 semaines ?peut être 3 je sais pas pardon

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ᴋɪɴᴋ ᴍᴇ ᴅᴇᴜx, ygjmWhere stories live. Discover now