VII. L'enterrement.

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Assise à mon bureau, j'avais peur pour Deaton. Et si il lui était arrivé quelque chose de grave. Je n'arrivais pas à me concentré. Ma feuille était vierge. Dés que mon stylo approchait cette page, des images du vétérinaire qui se faisait torturer me torturais à leur tour. Je décida donc de me coucher dans mon lit et de laissé le sommeil venir à moi.

7h.

Mon réveil sonna. Je me leva et m'apprêta. Aujourd'hui, je devais me rendre au cimetière. Je n'en avais pas le courage. Voir une boîte de bois être enterré et qui était censé représenter le corps de mes défunt parents. Cela me brisait le cœur. Je sorti de la maison et me dirigea vers le cimetière. Des journalistes. Il y en avait partout. Leur caméra et micro braqué sur le premier passant. Ils se jetèrent sur moi. Des tas de questions sur mes parents firent le trajet jusqu'à mes oreilles. Je ne répondais pas. On m'avait conseillé de ne pas le faire. Il valait mieux suivre ce conseil. Il n'y avait personne de ma famille. Ils ont tous trouvé une excuse pour ne pas venir. Comme si ce n'était pas assez dur comme ça ! Le monde s'écroulait sous mes pieds. Je ne rigolais pas ! Je le sentais vraiment s'écrouler sous mes pieds. Mon frère me sortît de mes pensées et m'amena devant la tombe. Je ne voulais pas la voir. Je ne la regarda pas. Je ne pouvais pas. C'était trop dur. Leur nom était gravé sur la roche. La tombe était magnifique, certes, mais je ne pouvais pas la voir. Je me demandais comment Tibo à pu payer une telle tombe. Un prêtre s'éclaircissait la voix tandis que je fixais le bois espérant pouvoir m'enfuir. Il fit son discours. Long et ennuyeux. Son discours parlait de tout sauf de mes parent. Le discours finis, c'était à mon tour. Je m'avança. Les mots ne sortirent pas. Je tremblais. Mon frère attendait de moi un beau discours. Les larmes montèrent. Je tenta de les retenir mes c'était trop dur. Je couru dans les bois. J'avais besoin de courir. Je m'enfonça dans ceux-ci. Je me rendais, sans m'en rendre compte, à l'auberge.

C'est un vieux bâtiment abandonné. Il a fait faillite après 30 ans.

La vieille femme qui le dirigeait était toujours de ce monde. Je la voyais souvent. Mes amis et moi étions très proche d'elle. Elle était géniale.

J'arriva devant l'auberge. Elle était aussi belle que le jour où je suis née. Je poussa la porte, me rendant compte que celle-ci commençait légèrement à grincer. Je n'y prêta pas plus attention. A l'intérieur tout étais sombre et saccagé. Ce n'était pas comme ça la dernière fois que je suis venue. Cela m'étonnait que en à peine 1 semaine elle est pu se détruire à se point. L'extérieur avais l'air en bon état.

"L'habit ne fais pas le moine...pensais-je en esquissant un léger sourire."

Un bruit venant du sous sol me fis sursauté. Un cri de laissa entendre dans tout le bâtiment. La ruine tremblais sous ce cri puissant.

Je m'enfuis par peur.

Je n'aurais pas dû...

True Alpha.Where stories live. Discover now