A sexy trainee (BoyXBoy)

Chapitre 10: Décision cruciale

Bonjour ou bonsoir tout le monde, je reviens malheureusement tard, pour publier ce nouveau chapitre; les raisons sont les suivantes: -j'ai commencé les cours à la faculté et c'est sans aucun doute un choix de masochiste que j'ai effectué, car pour ceux qui bossent, la faculté n'est pas de tout repos et j'ai également eu un "blanc" suite à cette histoire, je n'étais pas capable de prendre une décision qui était, selon moi, la bonne. Je m'excuse donc pour ce gros retard et j'espère que le choix effectué vous semblera juste et à votre goût! Bonne lecture!

"J'appelais le barman, en lui demandant de me servir un autre verre. Je sens bizarrement que je ne risque pas de tenir longtemps vu dans quel état me donne déjà un verre. Mais ce n'est pas important.

Après plusieurs verres, que je ne saurais les compter, je parlais plus librement à Monsieur « quelque chose ».

Erden: Vous savez Monsieur « truc muche », ce connard va me payer! C'est un beau bâtard et tout!

Monsieur Guglielmani: J'ai cru comprendre que vous êtes homosexuels.

Erden: J'en sais stricte...ment rien moi et puis je m'en fou!

Monsieur Guglielmani: Si vous le désirez, je peux vous procurer ce que vous recherché mon cher Erden Konan.

Je sens que ce soir, je vais dépasser mes limites."

Point de vu Erden:

Je me sens léger, comme un oiseau volant dans les nuages, je songe même à en être un, dans un ciel impavide, où seul, le calme est roi. Je me sens bien, je ne voudrais jamais quitter cet univers, je sens, que si je redescends sur terre, toute l'animosité de celle-ci reprendra le dessus sur mon être.

J'observe ces cumulus autour de moi, comme c'est assoupissant... Mes yeux se fermèrent un instant et un être, un homme, que dis-je, un dieu, se présente devant moi, son corps est svelte et sans aucun défaut, sa peau est d'un blanc innocent, ses cheveux sombres , s'opposent parfaitement à celle-ci. Mais, celui-ci était de dos, par ailleurs, figurait sur celui-ci, un dragon tout du long, jusqu'au creux des reins.

Il était magnifique.

Cependant, l'inconnu, se retourna et là, un torrent de souffrance ravalait tout mon être.

Je repris soudainement conscience et ouvris les yeux. Ce que je vis, ne me rassura alors pas du tout.

L'homme de mes rêves se retrouvais devant mes yeux, habillé de son habituel costume trois pièces.

Comment un seul être peut-il faire ressentir tant d'émotions asymétriques; la haine et l'amour.

Avant que je puisse dire quoi que ce soit, ce cher Monsieur me coupa la parole:

Morvan: Bonsoir, ma belle aux bois dormants.

Erden: Arrêtez de m'appeler de cette façon.

Je me redressais et j'analyse donc la pièce ou je réside, elle était Somptueuse; seul une personne de la haute société peut en être le propriétaire et bien-sûr, Monsieur Jestin en faisait partie.

Erden: Où suis-je?

Morvan: Cette question pourrait être accompagnée d'un mot poli, surtout devant celui qui t'a sorti d'une gigantesque mouise. Cela t'amuse de t'attirer tous les problèmes de cette ville?

Erden: Je ne vois pas le problème que j'ai occasionné, c'est plutôt VOUS, Mon problème.

Morvan: C'est également marrant de constater que tu retombes toujours dans les bras de Ton problème, comme tu le dis si bien.

Erden: N'oubliez pas Monsieur Jestin ce que vous avez mentionné devant votre soit disant "femme". N'avez-vous pas honte? A cause de vos faits, je me sens souillé, humilié...

Morvan: Est-ce que je te fait rappeler comment tu as gémis pendant nos ébats? Je suis de loin le moins fautif de nous deux.

Erden: Je ne suis pas votre putain Monsieur Jestin!

Après ses dires, un courant de frisson parcourra mon échine; les yeux de Morvan étaient remplis de colère.

Morvan: Jamais, au grand jamais, Erden, je te considérerai de cette manière et je t'interdis formellement de le penser.

Pourquoi cette phrase me procure tant de bonheur? Malheureusement cette dernière, ne me fera pas oublier ces propos; "c'est un accident Judi","Je te donne ton du".

Morvan: Erden, je souhaite reprendre de début notre histoire. Laisse moi une seconde chance.

Erden: Il n'y a jamais eu d'histoire entre nous, je pensais que vous étiez sincère mais lorsque votre femme est arrivée, "nous deux"n'étaient plus qu'un lointain souvenir. Bizarrement, vous me refaite vivre des choses que je souhaite ne plus jamais revivre.

Des larmes menaçaient de couler sur mes joues. Tout ce que j'ai dit est vrai, envers cet homme, je me sens soumis et trahi au plus haut point. Des scènes morbides me revient petit à petit en mémoire; j'avais une envie de crier au monde, pourquoi dois-je subir cela?

Morvan: Erden, écoute, je sais que je suis un homme compliqué, je t'avoue même que je suis un brin bipolaire et je le conçois. Cependant, Erden Conan, tu es un être avec qui je sens un lien se tisser, la première fois, que je t'ai vu rentrer dans mon club, j'ai eu comme un déclic, "je devais te faire mien" à tout pris. J'ai pareillement, une attitude à dominer et à prendre ce que mon corps et mon âme exigent. Il n'y a aucune excuse sur ce que je t'ai fait subir, je crois même avoir abuser de ta résistance mentale; seulement, ma vie, sans être prétentieux, était tracée depuis que j'ai pris les rênes de cette multinationale et je devais faire "bonne figure" devant ce monde où seul le meilleur peut se hisser. Toutefois, tu m'as fait prendre conscience que je me voilais la face depuis des années. Je me suis caché derrière ma femme avec qui je n'ai aucun amour. Grâce à toi, Erden, je me sens libre d'affronter ce monde. Je te conjure, reviens à mes côtés, tu seras un collaborateur hors pair, tu as un don et ce-dit don, tu dois l'exploiter dans mon entreprise et ce n'est pas le seul facteur que je lorgne mais tout ton être Erden.

Bon dieu, comment rester ordinaire lorsqu'un homme vous fait un tel boniment? La convoitise de cet homme me fait chavirer. Toutes les barrières bâtissent depuis des années, s'écroulent. Devant ses yeux, qui expriment tant de puissance, je fonds devant se brasier d'or.

Morvan: Je souhaiterais t'avoir que pour moi, que tu me face de nouveaux confiance.

Délicatement, il me pris par les épaules et déposa un léger baisé sur mes lèvres. Cette accolade, était remplie de tendresse et tous ces dires, se métamorphosaient dans celui-ci. Alors, j'enroule mes bras autour de sa taille et me laissa bercer pendant plusieurs minutes. C'était les quelques minutes les plus belles de toute ma vie.

Voilà la suite, je m'excuse encore de ce malheureux retard et d'ailleurs, je souhaite écrire la suite le plus vite possible car j'ai déjà bien entamé celle-ci. Je désire également vous remercier pour les 1K de votes! Je suis tellement contente que cette histoire commence à être aimé, même si, j'écris celle-ci pour votre plaisir et le mien. Par ailleurs, ce chapitre fait partie de mes favoris car le lien entre Morvan et Erden commence à devenir soudé.

Une petite question avant de vous quitter; Souhaitez-vous que le prochain chapitre soit sous le point de vu de Morvan? Ou d'Erden?

Bonne soirée à tout le monde!