Dilemme.

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- Frank ! C'est toi ?! Mais qu'est ce que tu fait l'as ? Je lui demander très clairement surprise.

- j'habite ici, répond t'il.

- francise, dit mon patron derrière moi.

- Bradley, riposte froidement Frank. Je voie que les choses se sont améliorer avec ton patron. Dit Frank a mon attention.

- c'est ...compliqué, je répond hésitante en lançant un petit regard discret a mon patron. Mais vous vous connaissez ? Je dit intrigué.

- très bien, répond Frank avec un petit sourire narquois.

- c'est...le future vice président de la RR & co ( Richard RENCY et compagnie), précise nom patron d'une voix amer.

- bon c'est pas tout ça mais vous avez l'aire occuper je vous laisse. Dit Frank en s'éloignant.

Je regarde mon patron encore déboussolé par les événement, le baiser et tout cas. Puis en voyant son visage perplexe une vague de colère me submerge:

- Frank attend! Je le saisie par le bras, tu veux bien m'héberger pour la nuit? il y'as une pluie torrentiel et j'ai peur de ne pas trouver de taxie a cette heur de la nuit.

Il me regarde surprit:

-je ...commence t'il.

J'appuie fermement sur son bras en le suppliant du regard:

- j'en serais ravie, dit il en lançant un dernière petit regard a mon patron, suit moi c'est par ici.

Au fond de moi, je sais pas pourquoi je souhaitai vraiment que Mon boss me retienne, je lui lance un dernier petit regard par dessus mon épaule. il me regarda l'aire indifférent, tourna les talons et reparti dans sa chambre.

Francise m'invita donc a entre dans la sienne, j'hésite un instant et puis je franchie le seuil de la porte et francise la referme derrière nous.

C'était une suite qui ressemblait exactement a celle de mon boss, sauf que la couleur était plus lumineuse, et la vue donnais sur la mer contraient a celle de mon patron qui donnais sur la ville.

Je m'installe dans le canapé, tel une petite fille timide, ne savant pas ou me mettre:

- fait comme chez toi, dit Francise en allant dans la chambre.

Un silence s'installe et je réponse au événements qui venaient de ce passer. J'était perdu dans mes réflexion quand soudain je senti quelque chose de chaud contre ma joue, je sursaute:

- pardon de t'avoir fait peur, tien un chocolat chaud, il me tend la tasse.

- merci, je répond timidement, désolé de te déranger..ça doit être bizarre que quelqu'un que tu n'a vue que quelque fois te demande de l'héberger, tu doit sûrement te dire que je suis une serial killeuse.

- t'inquiète pas, c'est pas comme j'ai un tas de choses a faire en rentrent a la maison, et puis j'aime le danger. il dépose une couverture sur mes épaules avant de s'assoir en face de moi sur un fauteil noir.

Je prend une gorgée  du chocolat qu'il m'avais offert, un vrais régale!
Puis je dis:

- je vais pas t'embête longtemps je fini ça et je vais y allé.

- absolument hors de question, il prend une longue gorge de son chocolat. Tu la dit toi même il y'a une plus torrentiel dehors, de plus tu m'intrigue, il marque une pose et rajoute, j'aimerais apprendre a te connaître.

Voyons mon regard inquiet il dit :

- et la c'est toi qui pense que je vais t'ouvrir le ventre.

Je rigole vraiment amusé par son attitude:

- non c'est bon je te fait confiance...enfin je crois.

Il rigole lui aussi.

- bon alors parle moi de toi. Il commence.

- crois moi, y'a rien d'intéressant a savoir sur moi, je suis la personne la plus morne et banale du monde.

- mais pour quoi alors a chaque fois que je te voie, tu es toujours dans des situations plus insolite les unes que les autres.

- ah ça ...,je prend une nouvelle gorger, c'est le drame de ma vie, les situation insolite ça me connais, et étrangement tu es toujours la au mauvais endroit au mauvais moment. Je me moque.

- ou toujours là au bon endroit au bon moment, tout dépend des perspective, répond t'il très sérieusement.

Je rigole alors a nouveau  et les traits de Franck traies s'adoucissent:

- mouai, peut être, en tout cas merci a toi tu et une espèce de super héros qui me sort des mauvais pas.

- un super héros que me connais rien de toi , étranger n'est ce pas? Il pose ça tasse et croise ses bras.

- et moi donc, tu pourrais être un serial Killer que je serais entrains de te remercie. Je ris .

Un petit silence s'installe, il baisse alors le regard sur ça montre et me dit:

- et bien il nous reste encore Humm..4 heur et demi, donc fessant plus ample connaissance.

Je fini ma tasse de chocolat et la pose une la petite table basse en verre devant le canapé qui nous séparais lui et moi. Je le regarde quelque instant et je dit :

- ok! Voyant donc qu'est ce que l'en peu apprendre l'un sur l'autre en 4h 30.

#######à suivre ##########

Working for the devil.Where stories live. Discover now