Réveille chez Franck.

8.9K 444 9
                                    


- Il est déjà 8h , je te dépose au bureau? Me demande Franck.

Oui, nous nous tutoyant maintenant.

Je sort des toilettes, et à ma grande surprise il était déjà près à partir, alors que je ressemblais a une rescapée de guerre.

- euh..., j'hésite légèrement ne voulant pas abusée de sa gentillesse.

- tu n'aime pas prendre le train aux heures de pointe et aucun taxi n'est libre a cette heure ci. il me dit en avalant une grande gorgée de son café.

Je me tourne vers le petit miroir du salon et réarrangé ma tête, assez mal en point.

- je voie que tu a retenue ce que j'ai dis hier soir...ou devrais je dire se matin , il était tellement tôt. Je grimasse m'étirant légèrement les épaules.

- un café ? Noir avec 2 sucres c'est ça? Il me dit tout fière d'exhibé son incroyable mémoire.

- non ! Au lait avec 1 sucre ...et demi. Je riposte clairement de mauvaise fois.

Il esquisse un petit sourire voyant mon aire satisfait.

- désolé .. Il n'y a plus de lait.

Au merci seigneur je marmonne dans ma barbe plus que soulagé.

- dommage ...bon et bien je le prendrai noir. Je rétorque toujours un aire condescendant coller au visage.

Je me dirige  vers le canapé pour récupère mon sac quand soudain:

- oh qu'elle chanceuse tu  es ! Il reste encore du lait !

Je sursaute et me retourne en horreur !

Voyant mon aire outrée, il ne peu retenir son rire.

- je rigole ! Tien voilà ton café. Il me dit en me tendant la tasse.

- ha Ha ! Tu te crois drôle monsieur je fait des blague a non plus finir. Je répond d'un ton amer.

- avoue que tu aime ça. Il dit d'un ton charmeur.

Je dois avoue que tout cela ne me laissais pas de marbre.

- bon et bien il est presque 8h 30, la tu n'a plus d'autre choix, je te dépose. Il conclu.

Il prit son trousseau de clés, et on étais parti.

{ ELLIPSE }

J'arrive au bureau, assez contente lorsque soudain une fois dans l'ascenseur, les souvenir de la soirée D'hier me reviennent.

Je perdis alors mon sourire, qui fus aussitôt remplacé par de la colère doublée d'amertume et de l'appréhension du face a face qui m'attendais.

Je pris alors une grande bouffé d'aire, je me calme, et me dis que nous étions tout deux, mon boss et moi, des professionnels, qui savaient faire la part entre vie privée et professionnel, et que nous allions  nous comporter comme des adules.

J'avais tore !

••••••••••••• à suivre ••••••••••••

Working for the devil.Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt