La réalité d'un bad boy tome 2

chapitre 17

"Ce chapitre va donner sur un sujet assez lourd pour certaines personnes alors ceux ou celles qui ne supporte pas ce qui est en rapport avec le viol, sautez ce chapitre. Je sais, je vous spoil mais je préfère vous avertir "

PDV GABRIEL

Je courais au point d'en avoir mal aux poumons car j'entendais les alarmes de police,me laissant savoir qu'ils avaient déjà remarqué ma fugue.

Alors que je vins pour tourner au coin dune rue, mon cellulaire sonna. Je me précipita dans une ruelle pour me cacher et regarda le numéro. Masqué... Ça ne m'étonne pas...

Conversation téléphonique

Moi: c'est qui?

Ludo: hoho déjà sur la défensive?

Moi: connards! Tu as fais quoi de Angie?!

Ludo: eh bien.... Disons que je m'amuse un peut. Comme dans le bon vieux temps. Mmh... Je comprend pourquoi tu as craqué pour ma soeur, elle a un corps de ouf!

Je me crispa.

Moi: bâtard... Je te trouve et je te jure que je te fais avaler ta criss de queue!

Il ne lavait pas touchée... Il bluffait.

Ludo: ne t'en fait pas je ne lai pas encore touché, je n'ai que... Regardé son jolie minois. Les gars... Deshabillez la.

Moi: LA TOUCHE PAS!!

Ludo: eh bien eh bien, le chien souhaite protéger sa chienne?

Moi: CEST DE TA SOEUR QUE TU PARLE TABARNAK! LA TOUCHE PAS!!!

Angie*en sons de fond*: LÂCHE MOI! ME TOUCHE PAS CONNARDS! LÂCHE MOI!!!

Je lui hurlait de la lâcher au travers le téléphone. Il riait, Angie criait et pleurait alors que j'entendais ce bâtard la frapper, la sentir et prendre du plaisir avec ma belle à moi. Après un moment, je l'entendis grogner et reprendre le téléphone. Il semblait essoufflé.

Ludo: oh lala... Elle est une vrai... Tigresse hein...

Moi: dit moi... Que tu ne l'as pas touché!

Je disais ça pour me convaincre.

Moi: Connards! Je vais te crever et te faire avaler tes deux couilles!

Ludo: commence par te rendre a la vieille baraque sur le bord du fleuve et ont verra...... Ciao.

Fin de la conversation téléphonique.

Mes cris de rages avaient visiblement alertés les policiers car deux voitures s'arrêtèrent à l'entrée de la ruelle. Moi? J'étais dans un état second. Jhurlais, je lança mon téléphone qui éclata juste à coter dun policier. Ils durent sûrement me maitrisé car je ne me souviens pas de ce qui ce passa durant les dix minutes suivantes.

Je ne me souviens que du fait que je me retrouva dans la voiture,leurs criant quelle était dans cette vieille baraque. Ils finirent par m'y emmener. Une fois arrêté, je sortir contre le gré les policiers, me lançant vers cette vieille maison. La porte était ouverte, tour comme la trapèze de la cave. Quand je fut en bas, je vous sentir l'odeur de renfermé et de sueur. Je la vis, au fond de la salle, en boule sur un matelas crade et recouverte dun draps. Du sang tâchait quelques endroits sur le sol et la couverture alors que je mapprochais de Angie. Je me pencha vers elle, tremblant avant de doucement tacer les cheveux cachant son visage. Elle avait la lèvre fendue, le visage plein de bleus tout comme ses épaules. Doucement,je la pris dans mes bras , prenant soin de la gardée couverte.

Moi: oh merde...... Angie.... Angie regarde moi....

Quand elle me regarda, ses yeux étaient rouges dû au fait quelle avit énormément pleurée. Elle tenta de parler, mais un simple couinement de douleur me parvint. Une grande marque couvrait son cou, montrent qu'ils avaient tenté de l'étrangler.

Ma gorge ce serra et je passa doucement une mains sur sa tête, caressant ses cheveux. Des larmes roulaient sur ses joues et quand je retira ma main, du sang recouvrait ma main.

Moi: criss..... Angie regarde moi okay?ne pleur pas je suis là.... Je suis désolé.... Tellement désolé Angie....

Les policiers étaient là, depuis un moment sûrement.

Angie: je...... *tousse* j'ai froid...... Je ne sent plus ... Mon corps......

Je pris alors sa main, la serrant doucement.

Angie: Gabriel..... Je... Je t'aime.... Ne l'oublie pas....

Moi: ne dit pas n'importe quoi! Tu vas te rétablir ok?!

Angie me regarda et une larme coula sur sa joue gauche alors que sa main ne serrait plus la mienne.

Angie: prend .... Soin de toi....

Elle sourit légèrement en me regardant avant de me quitter.

Moi: Angie? Angie!

Je me pencha et la serra contre moi. Les policiers vinrent vers moi et tentèrent de me faire reculer mais je les repoussa avec force, hurlant le nom de Angie. C'est ainsi que je la perdis...

Les mois passèrent et les funérailles de Angie avaient eu lieux. C'était ce jour là que ludo fur arrêté. Il serait présente aux funérailles avec le sourire aux lèvres. Heureusement que les policiers étaient la car sinon, il serait mort. Comme mon coeur l'était maintenant par sa faute.