La réalité d'un bad boy tome 2

Chapitre 14

PDV ANGEL

Je marchais dans les rues en silence alors que le ciel s'assombrissait peut a peut. L'hôpital, derrière moi, était de plus en plus loin alors que la pluie ce mise a tomber légèrement. Les gens au tours de moi ouvrirent leurs parapluie mais moi je ne pris même pas la peine de mettre la capuche de mon manteau.

La pluie coulait sur mes cheveux, sur mon visage ou dans mon cou. Je m'en fouttais. Si je n'aurais pas été amoureuse de Gabriel personne ne serait mort... personne n'aurait perdu ses proches par ma faute...

Une femme me remarqua, s'approcha et mis son parapluie au dessus de moi. Je releva la tête et remarqua Marion, une stagiaire du poste de police.

Marion: vous allez attraper la crève si vous continuez de la sorte...

Je la regarda un moment avant de soupirer et de continuer de marcher, espérant quelle me laisse tranquille. Marion me regarda de ses yeux bruns alors que ses cheveux de la même couleur étaient court, lui arrivant aux épaules. Elle était a peut près de ma grandeur. A peut près.

Moi: pas grave...

Marion: vous ne semblez pas dans votre assiette... vous souhaitez en parler?

Moi:... Pas vraiment.

Oui... beaucoup mais je te mettrais en danger.

Marion: daccord... je vous raccompagne chez vous alors..

Moi: je ne voudrais pas te déranger..

Marion: j'insiste.

Je ne dit rien de plus et continua de marcher. Le trajet ce passa en silence mais sentais bien que parfois elle me regardait espérant sûrement que je vide mon sac mais non.

On arriva finalement chez Johana et je sortis mes clefs.

Marion: attendez! regardez la porte...

Je releva la tête et lâcha un juron. La porte avait été défoncée et refermée pour donner l'illusion qu'elle était toujours fermée. Je sortis mon arme que j'avais toujours sur moi et Marion aussi. Elle laissa son parapluie dans la rue et jj'ouvris doucement la porte tout en gardant mon arme en main.

J'entra, en silence ayant mon arme légèrement levée devant moi tout comme Marion qui réussissait à garder son calme. J'arriva a l'entrée du salon, me tournant face a la salle pour vérifier qu'il n'y avait personne. Marion alla à la cuisine quant un bruit nous fit sursauter, venant d'en haut. Ont s'y dirigea, montant les escaliers lentement quand je vis la porte de ma chambre s'ouvrir, laissant voir mon frère. Putain qu'il avait changé et si j'aurais pas été sa sœur je crois que j'aurais bavé.

Il fait une barbe de deux jours, donc assez courte mais lui donnant un certain style. Ses cheveux bruns étaient ni trop longs ni trop court alors que ses yeux semblaient toujours paires. L'un était brun-vert et l'autre brun.

Ludo: eh bien! je me demandais quand tu allais venir frangine.

Moi: tu n'es plus mon frère depuis que tu fais souffrir mes amis!

Ludo: oh... que de méchanceté en toi. Qui est cette fille?

Il désigna Marion d'un signe de tête. Marion ce crispa.

Moi: elle n'est en aucun cas au courant de tout ça !

Ludo: maintenant elle m'a vue et sait que je ne suis pas un agneau......

Avant que je n'eu le temps de dire quoi que ce soit, un coup de feu ce fit entendre puis j'entendis Marion s'écrouler dans les escaliers. Je me retourna rapidement, criant son nom et dévalant les escaliers pour la rejoindre. Elle avait laisser tomber son arme dans les escaliers et du sang était visible au niveau de sa poitrine. Du coin de l'œil, je vos un homme non loin qui baissait son arme a feu.

Ludo: tu voie Angi? tu apporte la mort et la souffrance partout où tu vas...

Je regarda avec peur et horreur mon frère qui descendait les escaliers, s'approchant de moi. Gabriel... désoler...