La réalité d'un bad boy tome 2

Chapitre 9

"Pour commencer un merci spécial à Oceane qui commente et vote souvent ça me fait un grand plaisir :3 sinon merci a tout ceux qui votes que e soit pour le tome un ou le deux!"

PDV ANGEL

C'était le grand jour. Après cinq ans je ne pouvais rêver de mieux! nous étions en direction de l'aéroport quand Stéphan reçu l'appel de Jack, disant qu'ils étaient arrivée. Je ne tenait plus en place.

Même si le chemin ne pris que quinze minutes, je trouvais que c'était trop long alors que le jour de le quitter va avait été trop vite en deux heures.

Je vis enfin l'aéroport et ont ce stationna alors que je sortis enfin de la voiture. Il restait tout de même du chemin a pied dans l'aeroport!

Steph: putain Angi! T'es comme un lièvre face a un champs de carotte!

Moi: la ferme et grouille toi

Johanna sourit et nous suivit calmement tout en rigolant a nos paroles. Cela nous pris une dizaine de minutes pour arriver au point de rendez vous. Je vis rapidement Brigitte, Jackson et.... LEUR FILLE?!

Brigitte approcha avec la petite alors que jack ce retourna. Je pris rapidement Brigitte dans mes bras, la serrant fort fort fort.

B: Angi, je te présente notre fille, Janie.

Je sourit et me pencha ver la petite. Elle me sourit a mon tours et quan je releva la tête, je le vis. Gabriel avait bien changer depuis cinq ans. Il était plus grand et plus musclé. Les larmes me montèrent aux yeux alors que je courus vers lui comme une criss de folle.

PDV GABRIEL

Nous venions d'arriver au point de rendez vous et Brigitte s'éloigna avec Janie. Jack me parla un moment avant de me sourire et de pointer dans la direction des deux filles. L'ouvrit légèrement la bouche en voyant angi. Elle était belle, encore plus belle que avant! je m'avança et elle courut vers moi.

Je l'attrapa et la serra contre moi alors quelle me serrait très fort elle aussi. Elle pleurait et je me mis a pleurer aussi. (Oui il pleur u.u ) Elle recula docement la tête sans pour autant me lâcher et m'embrassa alors que je le prolongea sans crainte ni dégoût.

Elle rompit doucement le baiser et je lui essuya ses larmes alors quelle me serra encore contre elle, calant son visage contre mon cou.

Moi: t'es.... magnifique! et toujours aussi petite!

Elle rigola légèrement et me regarda.

Elle: t'es idiot Gabriel..... tu m'as tellement manqué! je me demandais quand j'allais te revoir et...

Je ne lui laissa pas le temps de compléter que je l'embrassa a nouveau, la serrant par la taille. Nous étions a nouveau réuni