5 ANS APRÈS

VI

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"La ville était de papier,
mais pas les souvenirs."
John Green (Paper Town)
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COMMENT EST-IL POSSIBLE DE TOMBER aussi vite pour une personne inconnue ? De ressentir les papillons dans le ventre, le coeur qui explose quand on est proche de la personne en question, les frissons qui nous parcours quand tu touches son bras, les émotions riches qui surviennent quand on plonge dans ses yeux...

Matthew les avait vécu ses petites choses et bien plus. Kaya aussi d'ailleurs. Depuis deux semaines, les jeunes adultes sont amoureux et passent leurs temps ensemble, mais ne sont pas officiellement en couple. Le jeune homme avait même inviter son "amoureuse" au bal de fin d'année qui s'est déroulée parfaitement. Comme dans un rêve. Bien qu'ils ne sont jamais encore embrasser à part sur la joue ou le front, Matthew et Kaya percevaient cela comme un rêve comparer leurs amis. Un rêve qui ne dura pas très longtemps. La réalité va rattrape vite les tourtereaux. Il ne reste qu'une semaine avant les vacances. Matthew avait planifié plein d'activités pendant les grandes vacances. Il voulait aussi officialiser la relation qui se passait entre lui et Kaya. Mais les choses ne se déroulera pas comme prévu.

1 SEMAINE PLUS TARD

Matthew se réveilla surexciter. C'était le dernier jour d'école et de plus – pour lui et pour les autres secondaire cinq – c'était aussi le dernier jour du secondaire. Tout excité, il pris sa douche en vitesse et mit un gilet à manche courte Hollister gris aux manches noirs avec dessus un graphique indiquant le nom de la marque encerclé par un cercle d'un gris foncé et un jogging short beige d'American Eagle. Il descendit les marches quatre à quatre pour déboucher dans la salon. Il se dirigea vers la cuisine – qui était ouvert avec le salon. Il prit des céréales avant de s'assoir à la table avec sa mère et son père et prendre le déjeuner avec eux. Ce qui était très rare d'ailleurs puisqu'ils étaient charger de boulot, mais ses parents voulaient tout de même le fêter ce jour spécial. Un fois assis entrain de manger son déjeuner, son père pris parole :

« Je suis fier de toi. Tu as été formidable. Autant dans tes études que dans tes loisirs. Nous t'aimons très fort, tu sais?

— C'est vrai! Tu as tellement grandi, tu sus comment surmonter les épreuves de la vie qui t'as fait devenir quelqu'un de mieux et bien, ou encore plus mature, renchérit sa mère.

— Merci, dit-il un sourire scotché au visage. Mais arrête ses monologues, vous savez très bien que je n'aime vraiment pas pour ne pas dire haïr.

— Je sais Matt, mais nous étions obligés. Tu vas finir une partie très importante de ta vie, ricana son père. »

Ils se souriaient pour après partir à rire en famille. Matthew aimait beaucoup sa famille pour cela. Ils avaient un esprit de famille inexplicable pour lui. Bien qu'ils se voyaient peu, ils aimaient par-dessus tout passer du temps ensemble. Matthew regarda l'heure sur son téléphone. 8hO5.

Merde, jura-t-il mentalement. Je vais manquer l'autob'.

Il se dépêcha de mettre son bol dans le lavabo tout en mettant maladroitement son sac sur son dos. Le finissant embrassa au passage ses chers parents et partir à la course les pieds mal placé dans ses chaussures. Matthew courra – ou plutôt essaya de courir jusqu'à l'arrêt d'autobus. Par chance, elle n'était pas encore là. En regardant autour de lui, le jeune homme remarqua que comme l'autobus, les quelques personnes à son ticket pour le bus n'était pas là. Même Kaya. Triste d'avoir manqué l'autobus, il mis ses chaussures noir comme il faut – ce qui est plus confortable – et attendis que la voiture qui passait ai fini, ce qui pris un millième de seconde, pour traverser. Mais une main se posa sur son épaule et mis une légère pression pour faire tourner Matthew qui pensait avoir manquer son autobus.