Vampire Hunter - Tome 1, Black Mansion !

Chapitre -14

La salle est sombre tout à coup je cris pour me faire entendre et que quelqu'un rallume la lumière, un bruit fait taire mes cries, un homme s'avance vers moi et la panique qui m'avait pris plutôt s'évapore.
Moi: la lumière c'est éteinte, vous avez pas une lampe torche, je veux retourner dans ma chambre.
L'homme s'avance encore près de moi, plus il avance et plus la panique s'empare de moi la sensation de soulagement que j'avais ressenti plutôt c'est totalement évanoui, à quelques centimètres de moi j'aperçois ses yeux, ses yeux rouges, un ... Un vampire !
Vampire: n'ai pas peur petite, je te ferai aucun mal, du moins pas maintenant tu es bien trop précieuse !

Je me réveille en sursaut, c'était seulement un cauchemar, un cauchemar, mon coeur s'accélère tout comme ma respiration, il faut que je me soulage et pour me soulager il faut que j'aille à la salle d'entrainement cogner sur quelques sacs.

Quand j'entre dans la salle d'entrainement quelqu'un s'entraine aussi, je m'approche d'un sac de frappe et j'aperçois que cette personne est Alaric, je pouvais pas tomber mieux.
Un petit coup d'oeil dans sa direction et je peux voir ses muscles en action quand il tape ces sacs, je met ma serviette à terre et me met en action moi aussi, assez loin de lui mais je garde un oeil vers lui quand même juste pour ne pas me faire surprendre au cas où il vienne.
Il enlève son t-shirt et je peux apercevoir ses abdos, je secoue la tête puis reprend mon exercice, il est peut être vraiment très très con mais qu'est-ce qu'il est beau.
Ses muscles se contracte à chaque coups qu'il donne ce qui me déconcentre dans mon exercice, il me regarde et je vois de loin son sourire en coin très charmeur, il faut que je reste concentré sur mes exercices et pas sur lui, punaise.
J'entends cette vielle porte du meuble à armes qui s'ouvre alors malgré moi je regarde dans sa direction et je le vois sortir, un arc ! Alors ça je m'y serais pas attendu, il y a toute sorte d'arme ici et il prend un arc, j'appelle pas ça une arme moi.
Je trouve ce truc complètement inutile, on ne tue pas un vampires avec un arc, je ne vois pas pourquoi il s'entraine avec ça, mais je suis avide de découvrir ce qu'il peut en faire, alors je me met assise sur une chaise et le regarde.
Alaric: ça me gêne que tu me regarde comme ça, je sais que je suis beau mais sa reste gênant.
Moi: pas du tout, je veux juste voir comment tu t'en sortais avec ce truc. Dis-je en pointant l'arc du doigt.
Il arme son arc puis lance une flèche qui atterrit pile au milieu de la cible, puis une deuxième, une troisième et tous en plein milieu, j'en reste sans voix.
Alaric: alors, ce truc est pas mal non ?
Moi: hum.
Il sourit puis part chercher des balles de tennis il les lance devant lui et très rapidement il tire sur chacune d'entre elle, et tous à part une se retrouve planter dans le mur.
Alaric: c'est mieux ?
Moi: tu en à oublié une.
Alaric: ça faisait longtemps que j'en avais pas fait, tu veux essayer ?
Moi: non ! Je préfère les armes à feu.
Alaric: tu as peur de te ridiculiser c'est ça ?
Moi: pas du tout.
Alaric: alors essaie.
Moi: tu as pas peur que je te plante mes crocs ?
Alaric: je serais me défendre.
Je m'approche de lui hésitante, il me place de ses mains délicates devant la cible, il me donne l'arc et je le prends, je place la flèche et tire, celle-ci atterrit à trente centimètres de mes pieds. Que je suis nulle !
Alaric: hum attends, comme ça.
Il se met derrière moi, pose ses mains sur les miennes et les bouges de façon à quel soit bien placé, ce rapprochement me met mal à l'aise et je sens une chaleur me monter, mon rythme cardiaque s'accélère.
Alaric: met ton coude au même niveau que ton épaule, tir sur la ficelle et lâche. dit-il tout près de mon visage, je peux sentir sa respiration sur mes cheveux, sur ma joue, des frisons accapare tout mon corps.
Concentre toi Sunshine !
La flèche lancé je la regarde ce planter dans la cible, pas au centre sur ce point rouge mais j'ai quand même toucher la cible.
Alaric: tu vois ça vient.
Son bras contre le mien, son souffle contre mon oreille, j'ai tout les sens en éveille, je reprend ma respiration et me décolle de lui.
Moi: merci, je dois avouer que tu te débrouille.
Alaric: mouais.
Je le regarde quelque instant, il a l'air gêné avec sa main sur sa nuque, je souris faiblement et rebrousse chemin pour aller dans ma chambre, une poigne vient prendre ma main et je me retourne immédiatement.
Alaric: je suis désolé pour ce que j'ai dis, c'est complètement débile, tout ceux qui pensent ça son des abrutis, tu es juste douée, très doué, ils sont simplement jaloux.

Pensez-vous qu'Alaric est raison ?
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Bisous mes lecteurs. :*