- Code 13 - Cherche travail

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[07:40]

La matinée semble léger pour ce cher Rover, se levant mais sans que quelqu'un sonne à sa porte.

C'est une journée tranquille qui commence puisque Ergo a décidé de laisser à Rover deux semaines de quartier libre. Cependant, il lui a laissé une petite note le disant de chercher du travail, ce qui est un peu embêtant parce qu'il n'y connaît rien à ce qu'il y a à faire dans ce monde. Même son voisin ne pourra pas tout lui apprendre.

Chercher quelque chose à faire est essentiel, même pour une personne de la trempe de Rover qui, auparavant, dans son monde, était chasseur de prime et vivait en trouvant des trésors ou en jouant les mercenaires avec des forces armées. Mais dans cette grande ville, il semblerait que tout attitude de bataille, tout le monde vit en paix, et c'est un peu l'ennui. Rodsky avait expliqué qu'ici, le travail avait une importance capitale pour le succès personnel, ce qui, de base, ne devrait causer aucun problème à rover. Mais son plus gros souci, c'est qu'il n'y a ni guerre, ni règlement de compte, ni action pour qu'il puisse pouvoir faire quelque chose. Ce qui est plus embêtant, c'est que malgré le fait de vouloir un petit boulot, il faudrait un minimum de connaissance intellectuelle pour avoir quelque chose qui rapporterait plus, et cet intellect est aussi payante avec ce système appelé "études supérieures et professionnelles", ou avec un autre terme: "diplôme": un morceau de papier attestant que la personne est capable de faire ce qui est indiqué sur le papier en question.

Submergé par ses pensées, il décida de quitter la maison et de faire de nouveau un tour dans la ville. En sortant, il regarda tout les environs: les gens sont, en quelque sorte, en paix. L'ordre règne, mas de danger dans les environs, à l'exception d'accidents et d'accrochage entre des gens qui foncent sans faire attention:

"- Voilà donc à quoi ressemble un monde en paix. Je ne pensais pas que ce serait aussi mouvementé que dans des périodes troubles." Dit Rover.

Il scrutta tous les recoins et decouvrit divers sortes d'occupation, de gagne-pain des gens. Entre restauration; petit commerce; transporteur; livreur, tous ces emplois ne plaisent point au jeune garçon qui fut autrefois un habitué des actions; des sensations de dangers; des conflits. Alors, la transition dans ce monde affecte son état d'esprit de mercenaire et de chasseur de prime:

"- Je comprends mieux maintenant la peur de certains soldats: celui de ne.plus trouver quoi faire après la guerre. Parfois, je ne regrette pas le fait de ne pas être enrôlé dans l'armée. Au moins, en tant que mercenaire, la guerre n'est pas une condition obligatoire de pouvoir faire quelques sales besognes que seuls les soldats ont l'honneur de faire."

Totalement emporté par ses pensées, Rover ignora complètement son environnement, bousculant des passants et quelques petites structures comme des pancartes. Des gens se plaignit du jeune homme qui ne regardait pas son chemin. C'est alors qu'il revint sur terre lorsqu'une personne l'interpella par derrière:

"- Hé! Monsieur! Vous m'entendez?" Dit la personne en question.

Soudain, la réflexion de Rover prit un coup comme si on avait éclaté une bulle. Il se retourna et vit celui qui l'a interrompu, un homme habillé en uniforme foncé, avec des appareils sur le haut et armé puisqu'il y avait une ceinture muni d'un pistolet similaire à ses agresseurs de la dernière fois. Rover paniquait aux premiers abords, mais réfléchissais à ce qu'un homme armé pourrait faire en pleine rue. Puis, il vit un insigne sur le haut de son uniforme: "Police Départementale"

"- Monsieur, vous m'entendez?" Demanda le policier.

"- Ah! Euh! Excusez moi, Monsieur. J'étais perdu dans mes pensées." Sursauta Rover.

"- D'accord, je vois. Mais vous vous sentez bien si je puis me permettre?"

"- Ne vous inquiète pas, tout passe à merveille. C'est just que, je réfléchissais à ce que je pourrai faire dans une si grand eville comme celle-ci. Il y a tellement de chose à faire mais ... je n'en trouve pas un qui me plais vraiment." Expliqua Rover.

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