PARTIE QUARANTE-NEUF

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BISMILLAH RAHMAN RAHIM

BONNE LECTURE MES AMOURS ❤️

   DANS LA PEAU DE ZAÏNOUL

Heureux je le suis, comblé on en parle même pas,et voir Oumou Khaiïry enceinte jusqu'à 7 mois de grossesse est un miracle sans vous mentir,et Mme la deuxième est à terme, avec ces chichis qui n'en finissent pas,je me demande si elle se venge de moi pour mon abandon, oubien c'est autres choses, avant-hier c'est à 2h du matin qu'elle m'a réveillée genre qu'elle veut de la glace, vous et moi,savons tous que les crèmerie seraient déjà fermées,mais elle étaient catégorique et a même commencé de verser des larmes,et je t'ai tenu obligé d'y aller, heureusement il y avait une qui était encore ouverte,et je les ramène elle ose me dire qu'elle n'en a plus envie,je ne lui ai même pas répondu,je dois la déposer chez Rayanatou,ces amies y sont déjà,ont doit aller prendre les enfants chez zainab, c'est là-bas qu'ils ont passé le weekend, moi qui pensais qu'après l'incident de la dernière fois,tout était rentré dans l'ordre avec elle et Oumou Khaiïry,mais Heyyy, vaut mieux que je me tais là dessus.

MOI : Aldjannna dépêche toi,je suis déjà prêt.

HAFSSATOU : Je suis là Habibi 💜, allons-y ......... À notre descente l'appartement d'Oumou Khaiïry était fermé à clé, cette bonne femme je lui ai toujours dit,de me demander la permission avant de sortir,mais non elle n'en fait qu'à sa tête, avec Al-Alim, Bilal,mon frère Souleymane, Wazid, Seyd et Badroudine,nous avons une belle surprise pour nos épouses. Ohhh Oumou Khaiïry est à la maison familiale.

MOI : Oumou Khaiïry, pourquoi ne M'as-tu pas dis que tu sortais ? Surtout avec ton état,je ne veux pas qu'il t'arrive Quelques choses,sinon je ne me le pardonnerai Jamais.

OUMOU KHAIÏRY : Je suis désolée ,je suis passée voir Maman avant d'aller à l'hôpital.

HAFSSATOU : Bonjour Papa comment allez-vous ?

PAPA JALIL : Je vais bien ma fille, tiens donne ceci à Rayanatou.

HAFSSATOU : D'accord Papa,ils sont où mes enfants ?

PAPA JALIL : Avec zainab,ils lisent le coran dans la salle de prière.

HAFSSATOU : Hayati ❤️, allons-y alors,en rentrant ont passe les prendre.

MOI : Ok , minutes je vais saluer Maman.

HAFSSATOU : Ok je suis dans la voiture................. Je trouve maman entrain d'égrener son chapelet,et les larmes perlait sur ces joues.

MOI : Maman pourquoi vous pleurez encore ?

MAMAN AÏSSATOU : Dis à ta femme de me pardonner Elhadj Zaïnoul, s'il te plaît, j'ai entendu sa voix en bas , même si elle ne me vois pas, dis-la de me pardonner pour tout le mal que je lui ai fait 😭😭😭😭😭😭😭.

MOI : InchaAllah maman, je ferai de mon mieux,nous nous rendons chez Rayanatou.

MAMAN AÏSSATOU : Ok, salut ma princesse de ma part elle me manque tellement et dis-la que je suis fière très fière d'elle.

MOI : Nous le sommes tous maman et InchaAllah je n'y manquerais pas,bon le soir je passerai prendre les enfants,vue qu'ils lisent le coran avec zainab.

MAMAN AÏSSATOU : D'accord mon fils.................... Ainsi nous avons pris le chemin pour nous rendre chez Wazid, après quelques minutes de trajet, Mme commence a se tordre de douleur je suis qu'il est l'heure.

HAFSSATOU : ZAÏNOULLLLLLLLLLL JE SUIS SÛR QU'IL EST L'HEURE REBROUSSE CHEMIN ET ALLONS-Y À L'HÔPITAL,OHHH MON DIEU JE VAIS MOURIR.

MOI : Ne dis pas celà Galbi 💜,je suis avec toi et rien ne va t'arriver............ Arrivés à l'hôpital elle est directement prise en charge,qui vais-je appeler pour l'apporter le petit sac qu'elle avait préparé depuis une semaine maintenant,Ohh belle sœur Zainab.

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