☾19

8 3 0
                                    

Ysaline arriva chez madame Ardakamie en ayant oublié de respiré. Elle n'était pas essoufflé. Elle n'en revenait pas. Elle aurait du être au bord de l'apoplexie. Elle remarqua allors qu'elle avait réellement cessé de respiré. Quand ses poumons et son coeur se remir marche, elle manqua une seconde de s'évanourir. Elle parvient à resté consiente. Il faudrait qu'elle face vérifié cela par Vanda avant que ça devienne plus dangereux. Diego attendait sur le seuil comme un chiot abbandonné. La nécromancienne s'approcha.

- Tu m'explique ce qui se passe ?

- C'est la maison, elle est devenue folle.

Ysaline ouvrit la porte. Elle avait déjà vue des maison hanté, en général quand on éait gentil avec les fantôme la cohabitation se passait bien. Elle avait du mal à imaginé qu'elle fantôme pourrait vouloir s'installé dans la maison de madame Ardakamie. La nécromancienne franchit le seuil de la porte. Elle comprit aussi tôt se qu'entendait Diego par folle. Les porte et les fennête se mirent à claqué comme si un vent furieux était entré dans la maison. Les meubles commencèrent à se soulevers. Ysaline se sentité décoler du sol. Elle ne put se retenir à rien quand elle fut propulsé hors de la maison. Elle atterie dans la neige en roulé boulet.

- C'est quoi cette connerie ! rugit-elle.

- J'en sais rien, grogna Diego mais ça ressemble pas à un fantôme.

- Ah bon ?

- Madame Ardakamie avait protéfer les lieux pour qu'aucun spectre ne puisse la hantée.

Ysaline se redressa sur ses jambes.

- En tout cas y a quelque choses qui veut nous en chassé.

- On fait quoi ?

- On lui montre qui est le patron. Je suis pas doué en chasse au fantôme, mais j'ai retenue un truc. Rien ne vaut le sel.

Les deux compères prirent la route de la supérette. Elle se tenait au bout de la rue, sur le carrefour. Le vieil homme qui la tenait leur adressa toute ses condoléence. Ysaline et Diego lui achetèrent tout le gros sel qu'il purent trouvé. Il ressortir de la boutique charché comme des anes. Sur le seuille de la porte, Ysaline éventra le sac de sel avec son akamé et répendit près d'un litre de gros sel dans l'entré. Elle passa la porte. La maison se remit en fureur. Mais cette fois-si elle ne les jetta pas dehors. Deigo et Ysaline utilisèrent le sel pour se créer des couloir de circulation dans toute la maison.

- Et maintenant on fait quoi ? demanda Diego.

- On prend une planche de Ouija.

- Sérieusement, t'as pas pire comme idée.

Ysaline soupira. Pour ainsi dire pas vraiment. Elle ne savait pas vraiment quoi faire pour réglé le problème et ce que c'était la mort de madame Ardakamie qui rendait sa maison folle ? Est ce que l'enchantement de sécurité bugait ? Elle n'avait pas d'explication. En tout cas le sel semblait calmé un peu la demeur. Alors que Diego et Ysaline tentait de rangeait un peu l'espace au frappa au loqué. Le démoniste alla ouvrit et quatre personne que la nécromancienne aurait prérérer ne jamais voir se tenait entrèrent. Le vieux notère ouvrait la marche. Ysaline se disait qu'un jours, il allait se brisé en deux. Il salua la nécromancienne d'un signe de la mains. Elle fut très surprise de le voir ici. En générale, il ne quittait jamais son bureau. Il était suivit de prèt par les trois matriarche du Coven, les femmes les plus puissante de la communauté des sorcières. Elle était vieille, toute tordue et cabeaussé. Elles ne restait pas moins extrèmement dangereuse. Ysaline se tint a distance, la vieille Mendosa vint embrassé son petit fils. Elle devait plus se rappellé de la qu'elle de ses filles était issut Diego. La padiglione ennetra dans la cuisinne et commença à fouillé dans les couloirs. Ysaline entendit la maison craqué. La présence des intruse la rendait dingues. La vieille Ferreira pris place sur le canapé, bientôt rejointe par ses deux comparses. Avec le notère qui s'installa sur le fauteuille d'Adélaïd, Ysaline et Diégo comprirent qu'il était contraint à resté debout. Le démonsite alla prendre place sur les marche derrière le salon. Il pouvait s'endormir tout en suivant la conversation. Ysaline resta a distance. La présence des trois corneille la méttait mal à l'aise. La maison grinça de rage.

BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokWhere stories live. Discover now