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Ysaline sortit sur la terrasse du jardin emitouflé dans un plaide. La neige recouvrait le jardin d'un blanc linceul. De sa bouche s'échappait la brume. Elle aurait du être transit de froid. Mais elle ne ressentait pas sa morcure. S'était cela de ne plus avoir d'âme ? Ne plus rien ressentir, ni le froid, plus rien du tout. Le coeur vide, geler.

La nuit recouvrait le monde. Les étoile parcement le ciel malgrès les lumière de la ville. En cherchant bien, on finissait par trouver la lune qui n'était qu'un traie au millieux des ténèbres.

Il n'y avait que le silence parfois vombrissement d'une voiture le brisait. Mais le calme demerait se soir, le froid forçait tout le monde à resté dedans. Sauf Ysaline, elle s'installa sur le rocking chair et se laissa bercé.

Le jardin de madame Ardakami était grand. Bon nombre d'arbre au essence diverse sélevait formant une petite forêt. Au centre une marre abritant grenouille crapeau et tryton l'été semblait avoir geler de froid. A droit près de la palissade un potager avait été blanté et à gauche une serre se dressait, contenant des plantes et champignon exotique, narquotique et féérique. Le jardin d'une sorcière.

Malgrès le froid le lierre grimpant au mur de pierre n'avait pas perdue ses feuilles, elle n'avait pas gelé. A la lumière des étoile elle semblait luire d'une sombre clarté bleuté. La maison été protéger. Seule les amis pouvait en franchir les murs. Ysaline sentit son coeur se réchauffé, lenssèrement dans son estomac se deffaire. Elle était toujours la bien venue ici. Bien qu'elle est changer, cette maison continué de l'acceuillir, de lui ouvrir sa porte. La nécromancienne n'avait jamais vue la maison se défendre contre un individue. Elle n'y tenait pas vraiment.

Un craquement, le son d'une foulé écrasant la neige la fit se redressé. Sous les arbres se dressait une silouette. Ysaline se leva du rocking chaire et fit quelque pas. Elle ne ressentait aucune peur. Elle aurait dut. La silouethe était grande, ses yeux rougeoyait d'une sombre lumière. Elle portait une odeur de fumer, de souffre. La première pensé qui vint à Ysaline fut qu'il devait sagir d'un dragon, mais il avait diparue depuis des siècles.

— Sortez ! ordonna-t-elle.

La silouethe s'extirpa des ombres. Ysaline crue que son coeur allait se fendre. Damien se trouvait devant elle. Il était pratiquement transformer, des crocs sortait de sa bourche, ses oreille se dressait, ses main se terminait en griffe, sa peau se déchirait révélant une chaire de cendre et de braise. Ses yeux s'embrasèrent, flambayant comme les feu de l'enfers.

— Qu'est ce que tu fait là ! rugit Ysaline. Tu ne voulait plus me voir !

La colère, il ne lui restait plus que cela. Pour ne pas tombé, pour resté debout. Elle sentit la terre grouillé sous ses pieds, le royaume des mort ne lui a jamais semblé si proche. Un geste, un mot et elle pouvait le laisser jaillir à la surface.

« Tombe l'Ombre

Car Tien est le Royaume »

Ysaline se retint au dernier moment de ne pas laissé les armée morte envahir le jardin de Madame Ardakamie. Elle devait se maitrisé. Controler cette nouvelle puissance qui ne demander qu'à exploser.

Damien ne la regarda pas. Il passa à coté d'elle sans la voir, comme un zombit. Elle lui saisit le bras. La chaleur qui se dégage de lui incendia sa chaire. Elle poussa un cris de douleur. Ysaline regarda sa main, des cloque s'était former et l'aire se s'aturait de l'odeur de la chaire bruler. Etonner, Damien se retourna sur elle. Ils se fixèrent avec incompréhension, comme des inconues.

— Qu'est ce qui t'arrive ? murmura Ysaline.

— C'est un cerbère, un chien des enfers, il a perdue toute concience humaine.

BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokOù les histoires vivent. Découvrez maintenant