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Ysaline avait mentit à Athina. Elle lui avait racconté la même chose qu'au flics. Elle ne pouvait pas lui avoué qu'elle avait vue Damien prendre l'âme de Madame Ardakamie. Il ne l'avait pas réellement tuer. Mais la confusion était facile à faire. Elle se contentait de dire qu'elle dormait dans sa chambre, qu'un bruit l'avait réveillé et qu'elle avait trouver une momie dans le jardin. Il lui avait fallut un moment pour comprendre qu'il sagissait de la nécromancienne. Elle avait appellé la police et n'avait pas réveillé Diego.

Athina avait froncé les sourcils. Elle savait reconnaitre un mensonge quand elle en entendait un. Quand on a l'habitude d'entendre des témoins ou des suspent. On se rend vite compte à qu'elle point il est difficile de connaître la vérité. Les souvenir se mélange et son reconstruit. Les gens se concentre sur des détailles, réinterprétés, tente de plaire à leur interlocuteur.

Ysaline savait tout cela et elle savait comment les flic et les interogeait leur témoin. Elle se contentait de répéter la même histoire,, les même mots, les même informations de la façon la plus concie possible. Elle restait sur son histoire. Elle n'avait rien vue. Quand on lui demanda, pourquoi madame Ardakamie semblait être mortre depuis des siècle. Ysaline déclara qu'elle lignorait.

Le lieutenant qui se tenait en face d'elle sortit lui tendit une tablette électronique, Ysaline n'avait pas fait le moindre effort pour retenir son nom.

— On a trouver ça, en foullant dans les archive. Heureusement qu'on numérise tout.

Ysaline prit le temps de regardé le dossier. Il sachissait d'une compilation de toute les fois où le nom ardakamie en lien avec la nécromancie était mentionné, les archive les plus ancienne remonté à 1838. On pouvait douté des archive les plus ancienne, mais en regardans les photos d'arrestation dans la ligue communiste des année soixante, Adélaïd semblait déjà avoir dépassé les soixante-dix ans.

— Je ne comprend pas, murmura Ysaline.

La nécromancienne se rappellait avoir rendontré, la grand-mère d'Adélaïd, il y une vingtaine d'année alors qu'elle commençait son apprentissage. La vieille femme avait plus de cent ans et elle perdait la tête. Elle appellait Adélaïd, maman. Ce souvenir glassa le sang d'Ysaline.

Elle leva les yeux vers les policier.

— Nous n'ont plus, comment quelqu'un peu vivre aussi vieux ?

Ysaline déglutie.

— Certaine nécromancienne en sont capable. On les appelle des Liches. Elle parvienne à un état entre la vie et la mort, ni vraiment l'un, ni vraiment lautre. Elle enferme leur ame dans un filactère, un obget totem qui ne doivent jamais les quitté. Pour tuer une liche, il faut détruire le filactère.

— Donc, c'est un meutre !

— Le sorcier peu aussi décider de détruire lui même son filactère.

— Pourquoi maintenant ?

Ysaline se refrogna dans son fauteuille. les bras croisé sur sa poitrine.

— Comment voulez que je le sache. Elle a regarder sa propre fille mourire de vieille. Je ne la connais pas. Je croyait la connaitre.

Les deux policier s'entre regardèrent. Leur dossier était vide. Il avait un cadavre, mais aucun moyen de prouver qu'on l'avait tuer ou qu'elle avait tenté de ce scuicider. Ses proche ne sembla pas présser de découvrir ce qui lui était arrivé. Le silence s'installa. Athina le brisa en se redressans.

— Bien monsieurs, je pense que cette entretient arrive à sa fin. Nous restons à votre disposition.

Ysaline se redressa.

BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'AmarokWaar verhalen tot leven komen. Ontdek het nu