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POINT DE VUE JASMEEN.





J'étais complètement enveloppé par mes émotions négatives. J'ai étais conduite à une perte de perspective, de compassion et de rationalité. Je n'arrivais plus à voir la réalité avec clarté. Je perdais toute objectivité, je n'avais ni peine et ni pitié.

Ma haine et ma rage me poussent à agir de manière impulsive et destructrice sans prendre en compte les conséquences de mes actes.

Moi : Où peut-on trouver ce diamant ?

Sayed : Je ne peux pas vous aider.

Moi : Pourtant tu as dit que tu étais le seul qui pouvait aider Tarek à retrouver ce diamant.

Sayed : C'est le cas mais je suis sous ces ordres. Je ne peux pas le trahir et vous aidez.

Moi : Oh si, bien sur que tu peux.

Il secoue la tête de gauche à droite en me fixant droit dans les yeux, je ne détourne pas mon regard noir de lui.

Amal : Il ne peut pas vous aider ! Laissez-nous maintenant !

Je roule des yeux en entendant la voix insupportable de la soeur ainée des petits jumeaux.

Moi : Tu peux avoir la gentillesse de la fermer ?

Amal : Laissez nous !

Moi : Ma parole, si tu continues à parler je t'explose la cervelle devant toute ta famille sans la moindre hésitation.

Dis-je agacé de son comportement insupportable. Elle se raidit et baisse la tête en tentant de calmer ces tremblements. Je repose mon regard vers Sayed qui n'osait pas parler.

Moi : Je veux foutre en l'air tous ces objectifs sous ces yeux, je veux lui briser son coeur qui ne connaît jamais la réussite, le pouvoir et le bonheur. Je veux tout simplement détruire Tarek.

Dis-je d'un ton sec et direct sans émotions apparente.

Moi : C'est donc pour ça que tu vas m'aider.

Dis-je en lui adressant un grand sourire, il est totalement immobile et apeuré de ma présence.

Moi : Ai-je été clair ?

Dis-je en accentuant mon sourire en attendant impatiemment sa réponse.

Moi : Ai-je été clair, oui ou non ?

Dis-je en le questionnant du regard, il semble hésité à répondre alors je ne perds pas mon temps et je lui pointe mon arme sur son front.

Moi : Peu être que tu répondras plus vite comme ça.

Il prend une grande inspiration et il finit par soupirer et hocher la tête.

Sayed : Très bien.

Je range mon arme à l'arrière de mon pantalon et je tape des mains d'excitation en lui adressant un grand sourire.

Moi : Super ! On commence par quoi ?

Ils me regardent tous comme une folle en me voyant si contente et si souriante. J'étais comme une enfant à qui ont cédé à son caprice.

- 𝑬 𝑵 𝑬 𝑴 𝒀 -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant