Chapitre 15

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PDV Nour

TW : AGRESSION ! PEUT CHOQUER CERTAINES PERSONNES.

Flashback

Maman doit venir me chercher à la maison aujourd'hui, sa fera le troisième week-end où je vais chez elle, papa s'inquiète mais tout se passe bien.

Elle m'a présenté son nouveau copain, et je ne me sens pas très à l'aise avec lui, mais c'est sûrement parce que je ne le connais pas que je me fais des idées.

Mais ses yeux sur moi lorsqu'on mangeait m'envahissent, il me fout la chair de poule, comme si un sixième sens venait de s'activer, comme si on me prévenait de quelque chose, je dois sûrement arrêter d'espionner papa quand il regarde ses films d'horreur.

La sonnette interrompt mes pensées, mon cœur s'affole comme si un danger allez se produire, mais non Nour tu hallucines complètement.

***

Je pousse la porte d'entrée à mes côtés ma mère qui est devenu très silencieuse lorsqu'on est montées dans la voiture, mais elle devait sûrement être fatigué.

Je m'allonge sur mon lit, peux de temps après ma porte s'ouvre et laisse apparaître mon beau père, qui me regardent très bizarrement, soudain je suis mal à l'aise alors je me redresse sur mon lit lui faisant face, il prend soin de fermer ma porte.

- T'as mère dors, dit t'il me faisant presque sursauter.

- Toque la prochaine fois, je suis une femme... enfin presque dit je encore plus stressée qu'au début.

Son poing se referme et en quelque instant il me tire le bras pour me sortir du lit, un cri de douleurs s'échappe de mes lèvres.

- T'es une femme tu dis ? Dit il en levant la voie

- J'ai dit presque !

Il me tire le bras me faisant tomber sur les genoux, j'essaye de me relever mais ses mains sur mes épaules m'empêche de bouger, mon cœur s'affole, la panique est à deux doigt de prendre le contrôle de mon corp.

- Lâche moi ! Gueulait-je.

Il me pousse si violemment que ma tête frappe contre le sol faisant résonner tout son contenant, comme si j'étais une bouteille en verre vide, ma vue devient floue je suis presque assommée mais il ne faut pas que je sois sans protection l'espace d'un instant avec lui.

J'essaye de me débattre essayant de ne prêter aucune attention a mon mal de crâne mais son corps s'allonge sur moi et je comprend à l'instant même que je n'ai plus aucune chance.

Ses mains se bal dent sur mon corp alors que je gesticule comme un vers de terre.

Quelqu'un toque à ma porte, sa main se met aussitôt sur ma bouche, mes yeux se remplissent de larmes.

« Nour tu es la ? » demande ma mère, mais elle n'obtiendras aucune réponse.

«  Elle est encore sortie, c'est vraiment une enfant pourrie gâté »

Mon beau père rigole face à cette remarque, alors que mon cœur se resserre de douleurs.

- Arrête de gesticuler.

Je fais ce qu'il dit parce que je sais que j'ai perdu d'avance.

Il glisse sa main sur son jean pour... il l'enlève.

Papa m'en a déjà parler, « le consentement est très important Nour, si tu n'es pas d'accord personne ne doit allez plus loin, si tu dis non et qu'on fait quand même ce que tu ne veux pas, dit le moi »

Le soir même je suis allongée sur mon sol, le regard vide, mon âme vide, j'ai presque onze ans mais je comprend que ce que j'ai vécu n'est pas normal.

***

Arrivée chez papa, je ne dis rien et m'enferme dans ma chambre comme la semaine dernière, dans mon lit les larmes n'arrêtent pas de couler.

Ses deux jours devaient être normal, mais ils ont étaient les pires jours de ma vie.

Alors que le week-end dernier le copain de ma mère avait déjà essayé de... ce mot n'arrive pas à mes lèvres.

Ce week-end il a atteint les limites, pendant les 2 jours il m'a salit, j'ai essayée de le dire à ma mère mais elle n'avait jamais le temps, alors peut être que c'est juste moi qui me fait des illusions, sûrement ma faute... NON, NON, ce n'est pas ma faute pas la mienne je n'ai rien fait.

Quelqu'un frappe à ma porte, mon père comme toute la semaine dernière il s'inquiète pour moi.

- Entre dit je d'une voie bien trop faible.

Il pousse la porte bien trop doucement et des pas sont si léger qu'ils sont semblables à de la plumes que l'ont touchent.

- Nour, dis moi ce qu'il ne va pas.

Je me redresse et les yeux affolés de mon père me percutent lorsqu'il me voit dans cet état.

- Sa ne va pas chez ta mère ?

« Tu vas être bien sage et fermer ta gueule »

« Personne ne croiras une gamine comme toi »

Les mots son bloqués dans ma gorge, je rencontre des yeux, et je ne comprend pas pourquoi mais à cet instant j'ai envie de tout casser sur mon passage.

- Pourquoi sa devrait être maman ? C'est juste tout simplement MOI.

Les mots restent dans la gorge alors que l'image de lui transpirent nu sur moi me vient en tête, mon corps paralysé et moi qui lui demande d'arrêter.

Il m'a volée mon innocence, il m'a prit une part de moi, il m'a arraché ma première fois mais pire que tout il m'a violée

Aimes moi autant que je te déteste ( EN PAUSE)Where stories live. Discover now