Aimes moi autant que je te déteste ( EN PAUSE)

Chapitre 1

PDV Nour

- Papa ! Ils sont où mes gants de boxe ? criait je depuis ma chambre.

- Cherche bien Nour me cris t'il sur le même ton, avec en plus son accent du Maroc.

Mes gants de boxe, impossible de mettre là mains dessus, pourtant je suis presque sûr de les avoir mis dans mon sac de sport comme à ma grande habitude.

- Dépêche toi Nour, ton sac aurait dû être préparé hier, ajoute mon père.

Commençant à sentir l'énervement me monter, je reconnais bien mon mélange Espagnol et Marocaine, j'ai le sang chaud, et je m'énerve rapidement.

Soudain il me paraît comme une évidence que c'est ma demie sœur Lilia qui a dû me les prendre, mon père après qu'il ai était lâchement abandonné par ma mère a refait sa vie avec Safia, qui a une fille.

J'ai découverts qu'elle avait couchée avec mon copain, Naïm... mon premier grand amour et le seul, je n'ai plus envie de connaître une peine de cœur comme sa je ne veux pas revivre ce que mon père a vécu.

Malgré tout Lilia à décidé de me mener la vie dure, entrant en trombe dans sa chambre un regard assassin elle ne me prête aucune attention, trop occupée à je ne sais quoi sur son téléphone

- File moi mes gants Lilia.

Elle lève les yeux sur moi, mais ce geste fut de très courte durée, putain Nour t'as 24 ans tu es plus mature et plus grande qu'elle, enfin personnellement a 20 ans j'étais bien mature aussi.

- Putain Lilia, si je loupe mon entraînement par ta faute-

- Regarde derrière mon bureau me coupe t'elle.

Je l'es vois et les attrape, j'empresse le pas et me dirige vers la porte quand elle se racle la gorge, lui tournant le dos je ne bouge plus attendant sa réflexion.

- Si tu agissais comme sa avec Naïm c'est normal qu'il s'est retrouvé dans mon lit, Sœurette.

Je déteste qu'elle m'appelle comme sa, elle a beau être la fille de la femme à mon père, Safia, je ne la considère pas comme ma soeur, pourtant un détail me loupe, sa mère est un amour avec moi alors qu'elle semble me détester, je ne sais pas pourquoi et je pense en avoir strictement rien à foutre.

Je lui offre mon majeur avant de repartir dans ma chambre, mon sac de sport d'une main, et d'une autre mes gants, je dévale les escaliers comme si quelqu'un me pourchasser avec un couteau.

- Enfin te voilà, ton père t'attend dans la voiture, il s'impatiente, me dit ma belle mère.

Je lui fais un câlin, qu'elle me rends, j'attrape une banane sur la table et sors dans le jardin là où mon père m'attendait dans sa voiture.

J'ouvre la portière et m'installe cotée passager.

- Tu les a trouvés tes gants Nour me demande mon père.

- Oui, papa...

- Il fallait préparer ton sac en avance !

- Mais papa, Lilia les avaient dans sa chambre.

Il me regarde perplexe et ne dis rien, il a appris maladroitement ce qu'il s'était passé, bien sûr qu'on avait rien dit au parents ils ne faut pas qu'ils s'en mêlent, surtout si c'est pour diviser notre famille.

- Ils faut que vous fassiez des efforts toutes les deux, sa ne peux plus duré.

Je ne dis rien, il a raison et le sait, parce que même si papa est au courant Safia elle ne sait rien, et ne doit pas savoir, elle s'en voudrait trop si elle le saurais.