Aimes moi autant que je te déteste ( EN PAUSE)

Chapitre 8

PDV Carlos

Flashback

- Votre femme a un cancer je suis désolé monsieur Garcia.

Sa faisait un bon moment que ma mère était malade, elle vomissait souvent, une respiration irrégulière, elle était très pâle et tout le temps fatigué, une fois elle est tombé par terre, mais ne sait pas réveillé, depuis elle ne quitte pas l'hôpital car elle enchaîne tout pleins de test.

- Sa peut se soigner Docteur ? Demanda mon père.

Des infirmières me prennent la main, et je comprends qu'on essaye de m'éloigner de mes parents, alors j'essaye de me débattre comme je le peux, mon père essaye de me calmer mais rien n'y fait, puis quelque chose me pique le bras.

Mon corp devient lourd, je ne sens plus mes jambe, ma vie devient floue, les lèvres du docteur et de mon père bougent.

- Son cancer a atteint la phase terminale on ne peux rien faire.

Mes yeux se sont fermer sur ses dernières paroles.

***

- Eh Carlos t'es avec nous ?

Mes potes sont tous entrain de me dévisager, merde j'étais perdu dans mes pensées que je m'y suis perdu.

- Euh, non mais vous disiez ?

- On essaye de voter.

- Voter pourquoi au juste ?

Maël et Diego me dévisagent encore plus qu'avant et échange un regard complice.

- Okay les footeux, c'est pas parce que je joue pas au foot que je vais pas utilisé vos têtes en guise de ballons.

- Et toi le fait d'avoir changé de salle te rend complètement con, peut être a cause de cette fille, comment elle s'appelle déjà ?

- Nour, répondit je la mâchoire serré.

- Ah cette fille qui te déteste mais que toi tu veux mettre dans ton lit.

- Ferme ta gueule Diego il est amoureux d'elle, renchérit Maël.

Déjà 1 semaine que j'ai changé de club, mais que je n'ai pas revu Nour, j'ai surtout l'impression qu'elle m'évite et sans savoir pourquoi sa me met en rogne, putain elle a ce caractère seulement avec moi.

- Amoureux lui ? Alors qu'il s'est tapé sa soeur ? Laisse moi rire.

Adrian qui était sur son ordinateur, sûrement entrain de finir son devoir de philo lève enfin les yeux sur nous tous.

Diego me dévisage de son teint plus bronzé que nous tous alors qu'à ses côtés Liam est tout l'inverse, blond au teint pâle.

- En gros on va au club ! Se réjouir Maël.

- Sans moi ajoute Adrian.

- Eh non tu bouges ton cul, t'as dit on alors toi aussi tu viens.

Tout le monde se met à rire, malgré le peux de temps qu'on passe ensemble à chaque fois qu'on se retrouve c'est comme si on ne s'était jamais quitté.

***

La musique résonne dans toute la salle, toutes personnes se trouvent sur la piste transpire, mais mes yeux se posent sur la barre de pôle danse.

Mes yeux parcourent toutes ses femmes qui se déhanche sur cette barre, des corps bougeant au rythme de la musique m'envoûte.

- Carlos, on va boire, t'as tout le reste de la soirée pour baiser m'interpelle l'intello.

Tout mes potes m'observent et se foutent de ma gueule, ils savent tous que lorsque mes yeux se posent sur des femmes déhanchant comme sa, tout le sex-appeal qui disparaissais lors de mes combat refait surface.

- 2 martinis s'il vous plaît, demande Maël.

- Et 2 spirytus s'il vous plaît, ajoutait je.

Mes potes me dévisagent, avant de se regarder, je m'assois sur une chaîne haute et prend appuis au bar.

Le barman pose nos boissons sur le bar, l'intello me dévisage avant d'écarquiller les yeux comprenant que un spirytus est pour lui.

- Non Carlos, je ne vais pas boire sa.

- Oh que si Adrian, tu vas boire et t'amuser.

- Mais c'est super fort comme alcool, et super dangereux, ajouta t'il en se grattant la nuque.

Il a pas tout à fais tord, cet alcool a le don de faire tourner le cerveau dès que quelque gouttes ont étaient bus, c'est super forts, les polonais ont pas fait semblant en créant sa.

Le verre fini, j'ai soudainement chaud, je retire ma veste et laisse apparaître mon débardeur blanc qui semble faire des ravages, des femmes autours du bar me dévorent du regards.

- Je crois que t'as plusieurs touche mon pote, s'exclame Maël.

On éclate de rire et nous observons Diego et Adrian qui sont partit sur la piste de danse, putain ils bougent presque aussi bien que toutes ses nanas.

Soudainement tout le monde se met à crier, à applaudir, mon pote et moi qui sommes assis au bar ne comprenons pas trop le changement, alors on se tourne vers l'entrée.

Mon corps se raidit alors que je vois Naïm avec ses potes, mais ce qui m'interpelle le plus c'est Nour qui est a ses côtés, elle ne semble pas à l'aise et regarde partout autours d'elle comme si on l'avait forcée à venir ici.

Mes poings se serrent, je descend de ma chaise sous le regard perplexe de mon ami.

- Eh mec, c'est pas lui qui t'as battu ?

- Ouais si c'est lui.

- Donc la nana à côté c'est Nour, putain comment peut elle être avec lui ?

J'éclate de rire alors que l'autre boxeur me bouscule en passant à coter de moi mais s'arrête net face à se contact.

- Oh Garcia, ça va tu t'en remet ? M'adresse t'il.

Mes potes sentant sûrement la tension qui se propage entre nous deux se ramène à coter de moi.

- C'est bien t'as ramené tes caniche pour pas que tu sois seul.

J'éclate de rire, et remarque que la petite brune me regardent avec une lueur que je n'ai encore jamais vu chez elle, mais son pote qui lui tient fermement le bras me dit que cette lueur est peut être de la peur, putain je parle de Nour elle n'a peur de rien.

- Ouais, et toi ta ramener ta salope a ce que je vois.

Tout le monde m'assassine du regard et je suis sure que même mes potes me regardent pareil, mon rival quant à lui se rapproche de moi que je sent son souffle.

- Putain mec t'as bouffé une gousse d'ail ? Répliquait je.

Son poing se rabat dans mon ventre, et sans comprendre comment mes potes se jettent sur les siens, et sa deviens un vrai bordel.

J'ai les phalanges qui me font mal, les mains en sang, du sang coule sur mon œil sûrement a cause de mon arcade qui est ouverte.

Des mecs plus baraqués que moi nous attrapent tous, habillés tout en noir on comprend que c'est la sécurité, et qu'on va être jeté dehors, mais regardant autours de moi je remarque que Nour a disparu, rah fais chier.