L'envole

92 4 3
                                    

La nuit était tomber et les étoile brillait. Kazutora était accouder sur la rembard du balcon et pianotait sur son téléphone. Notre journée a la plage c'était achever sans mauvaise onde et tout le monde étaient dans ça chambre. Emma avait fait la répartission des chambres. Elle m'avait mis bien sur avec Kazutora. Je me souviens l'avoir fusiller du regard avant d'entrer dans ma chambre. J'ouvris la porte de la salle de bain et de la vapeurs en sortis, Kazutora avait eu l'élégance de me laisser me doucher en premier. J'arrivais jusqu'au balcon et lui dit qu'il pouvait y aller a son tours. 

-Ta passer une bonne journée, demanda Kazutora en sortant de la douche.

-Ouais c'était cool.

-Ta envie de dormir ?

-Non pas tellement, je me retournait.

-On sort ?

-Ok. Je me levais et enfilait un pull qui n'était pas le mien.

-Mais c'est mon pull.

-Oui, souri je. Nous sortîmes dans la nuit et nous dirigeâmes vers la plage. Personne ne parlai. Nous nous assîmes et un garçon passa devant nous.

-Heee, nous interpela t-il, vous fumer ? Je regardait Kazutora il s'avança vers lui et le garcon sembla se ratatiner.

-Ta quoi,demanda Kazutora.

-Extasie, shit, et on a une nouvelle qui peut te permettre de tout oublier.

-Je te  prend des trois.

- Soixante-dix s'teuplai. Il lui donna et re vein vers moi.

-Je savais pas que tu te droguai.

-De temps en temps, dit-il. Il se roula un joins, le porta a ces lèvres et l'alluma. Il inspira et quelque temps plus tard il expira en lâchant un râle de plaisirs.

-Je peux gouter, demandais je une fois que nous nous assîmes.

-Non.

-Aller, le poussai-je. Il souffla.

-Fait comme tu veut, il avait froncer les sourcil et me tendait le joins. Je tirai et m'étouffait. Il rigola et me le reprit des mains. Il le fini et  sortit une pullule blanche. Il la coupa en deux et mit une moitie dans sa bouche, il l'avala et s'allongea sur le sable. Mon esprit devenais brumeux. Je prit l'autre moitie et l'enfournait dans ma bouche. Je me laisser tomber a mon tour prêt de lui et il rigola d'un aire fatiguer comme si il avait la flemme. Je le suivit dans son rire et me tournait vers lui.

-Kazutora, dis-je en me relevant, je ... Je te,je tombai sur lui et me mis de nouveau a rire. Il se rassit et me fit assoir. Il me regarda dans les yeux et se rapprocha de ma tête. Je me perdis dans c'est yeux et finalement je réduit la distance qu'il y avait entre nos deux lèvres. Mon esprit était vide et la seule chose qui me rattachait a la réaliter était Kazutora et c'est croissant de chère qu'il avait commencer a se mouvoir contre les miennent. Je senti sa langue  contre mes lèvres et lui laissa l'acset a ma bouche. Je le senti mètre une main sur ma joue et une autre sur mes  hanches. Nous nous séparâmes et nous regardâmes dans les yeux.

                                 ***

Les oiseaux gazouillait et des chuchotement se faisait entendre. Un flash nous réveilla. J'ouvris les yeux lentement tombant sur Kazutora. Je le serrait dans mes bras et lui faisais pareille.

-J'en était sur, fit Emma qui tenais sont telephone dans la main.

-T'était sur de quoi demande Kazutora en s'asséillent et en se frottent la tête. Elle gloussa et montra sa photo. Nous étions en train de dormir en nous enlaçant. Je m'assis a mon tour et regarda la photo. N'y prêtent plus attention je me recouchait.

-On ne se rendors pas, siffla Emma.

-Laisse moi tranquille, grognais-je dans un semi sommeille. Javais mal a la tête puis je senti Kazutora s'allonger et me serrer dans ces bras.

-Debout la dedans, fit une nouvelle voix. Les volet s'ouvrirent inondent la pièce de la lumière. On retira la couette et j'eus soudains froid. Je me retournai et me serrait davantage a Kazutora qui était la seule chaleur a porter de main. La porte souvrie a nouveau et quelqu'un dit.

-Ils ne sont toujours pas lever. Mon mal de crane s'accentua.

-Non, dit Emma.

-Debout, hurla la voix. Je sentie Kazutora me lâcher et hurler :

-Mais fermer la ! Ils se turent et il se recoucha en me reprend dans ces bras.

-Mais il faut qu'on y aille,souffla Emma ? Finalement sentent que je ne me rendormirait pas je m'assis et ouvris les yeux. La deuxième voix était celle Chifuyu. Ma tête me lançai douloureusement. Je mis met deux main sur mon front et marmonnai -je :

-C'est bon vous pouver partir.

-On y va dans vingt minute dépêchez vous. Ils partirent et fermère la porte. Vingt minute plus tard nous étions dans les vapes mais prêt a partir.

-Mais qu'est ce que vous avez fait  hier, demanda Hina en voyant notre mine de légumes. Vous avez les yeux rouge. J'essayai de me souvenirs mais sen succès. Je me tournais vers Kazutora qui lui avait l'aire moins légumes de que moi.

-Je crois qu'on c'est balader, il se frottait les yeux, et âpres... Il haussa les épaules. Keisuke nous regardait l'aire mauvais. Il était assis avec Lisa et avait passer un bras autour de son coup. Je lui rendit la pareille. Mais la question se posai en effet qu'est ce qu'on avait fait hier pour se retrouver dans cette état. Je regardais Kazutora qui me regarda a son tour. Je senti un petit fourmillement dans on ventre et me sentie chauffer.

-Rui, appela t-il. Je me tournai vers lui.

- Tu te rappelle d'un truc. Je secouait la tête.

-J'espert que j'ai pas fait de connerie ? Il jeta un regard aux autres et se pancha vers mon oreille. Je put sentir son souffle sur mon oreille et il chuchota :

-On c'est droguer.

-QUOI, criais-je ! Les autres se  tournèrent vers nous. Et est ce que j'ai fait, quelque chose de grave ? Il souri malicieusement.

-Tu ma embrasser, il rigola d'un aire cristallin. Je rougie et me détournais. Il prit mon menton et fit pivoter me tête vers lui. Je me mordis l'intérieur de la joue et le regardais finalement dans les yeux. Ils pétillaient de vie et de malice. Moi j'ai beaucoup aimé, Il souri de plus bel et je suis sur que toi aussi. Mon ventre se tordait au fur et a mesure qu'il parlait. Tu sais ce que tu a fait quand on c'est arrêter, susurra t-il. Il fit une pose. Tu ma dit encore souffla t-il. Kazutora c'était rapprocher de plus en plus. Je louchais sur ces lèvres et il dit cette fois interrogateurs : Encore ? Je n'attendis pas et fondit sur ces lippes. Une envi me dis-je et il commença a mouvoires ces lèvres contre les miennes. Les autres pouvais nous voir a tout moment mais c'est qui rendait les chose pimenter. Il introduit sa langue dans ma bouche et commença une valsse endiabler. Finalement dans un dernier smac nous nous séparrames. Je baissai la tête et il reprit mon menton entre c'est dois.

-N'est pas honte. Il me souri et je fit de même.


Ma casse couilles de soeurNơi câu chuyện tồn tại. Hãy khám phá bây giờ