Un trop plaint d'émotion

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J'étais assise et attendait. Une odeur de médicament flottait dans l'air. L'hopital me rendait nerveuse. Je ne sais pas pourquoi.

- Madame Baji ? Une infirmière était entrer dans la salle d'attente. Je me levais précipitamment et la suivit.Elle n'est pas en danger de mort, dit elle. Je me détendit et elle continuât. Son état ne lui permet pas de sortir tout de suite de l'hopital. Elle devrait rester deux jours tout au plus. Elle tourna une page de son rapport et continua. Sa coupure est asse profonde. On a donc du le lui recoudre en urgence, c'est bandage seront a changer chaque jour. Un point sera refait dans quinze jour. Elle fini son monologue et me regarda. Des questions ?

-Non, merci.

-Je vous laisse entre. A partir de demain les visite se feront entre dix heure et quinze heur et demis. Pour aujourd'hui vous avez jusqu'à vint-trois heure. Elle fit coulisser la porte et me laissa passer. Pas plus de quinze visiteurs a la fois, et elle partis. Une chaise était posé au chevet de Lisa. Javait beau la détester elle me fesai ressentir un mélange déchirant de pitié et de d'empathie. Elle était la allonger dans son lit et était pale. Des bruit de pas et des voix que je connaissais bien retentir dans le couloir adjacent. J'ouvris la porte et les vies. Il était tous la et je vit Keisuke commençais a courir vers moi. Je lui ouvris les bras mais au lieu de venir me serré dans sec bras il se précipita dans la chambre. Mon cœur pulsa douloureusement dans ma poitrine. Sans que je m'en aspersoir Kazutora avait enrouler ses bras autour de mon corps et me serait dans une étreinte a m'en faire craquer les cotes.

-Tu vas bien,me demanda Emma ? Je remuais ma tête de haut en bat puis fourrais mon visage dans le coup de Kazutora et me mis a pleurer. Non pas de soulagement mais de dégout. Javait fait ça pour Keisuke, pour mon frère et lui il préférait d'abord voire Lisa que sa petite sœur. Un sanglot s'échappa de ma gorge et Kazutora me donna de petite tape dans le dos. Mes larmes ne voulais plus s'arrêter de couler. C'était trop, mon cerveau rompais les digues, je n'arrivait pas a me reprendre et décidais de me laissez aller. Je le serrais plus fort et il me rendis mon étreinte en chaleureux :

-Ça va allé. Heureusement il étaient tousses rentrer dans la chambre de Lisa. Il n'y avait qu'Emma et Hinata qui m'avait vu pleurer. Je me dégageai des bras de kazutora puis essuyais mes yeux rouge et gonflé en un bruyant reniflement. Je relevais la tête et me perdis dans les yeux jaune de Kazutora, la notion du temps avait disparus, un reniflement retentissais par instant.

-Tu n'a rien, finit-il par dire.

-Non,dis-je d'une voix tremblotent.

-Tu veux comme même entrer. Il avait désigné du coude la chambre ou était Lisa et les autres.

-Il faut que je leurs dise ce que ma dit l'infirmière,reniflai-je.Il me tapota l'épaule et ouvris la porte. Il se tournèrent tous sauf Keisuke qui tenais la main de Lisa. Je prit une grande respiration pour calmer mes hoquettement et transmis les mots de l'infirmière.Ils écoutaient attentivement et quand j'eus finis il me remontèrent doucement les bretelles.

-Nous nous fait plus peur comme ça, dis Hinata. Elle se leva et me fit un câlin. Tu a été merveilleuse, souffla t-elle. Ceux qui l'entendirent hochèrent la tête. Il faisait déjà nuit et mon téléphone indican vint-deux heure passé.

-Elle a bougé, s'écrilla Keisuke, elle a bougé. Elle papillonnat des yeux et un soupire de soulagement collectif sotie des bouches de tout le monde  de Kazutora et moi.

-Rui vite vas chercher une infirmière, ordonna mon frère. Je ne bougeais pas. Alors quoi, il ne m'avait pas calculer de toute la demie heure et maintenant il me prenais pour sa chienne. Voyant ma non réaction, Il se leva lui même et couru chercher les gent qu'il fallaient. Une vingtaine de minutes plus tard nous pûmes a nouveaux entrer dans la chambre.

-Lisa,souffla Keisuke en fondant sur elle, de nombreux hooo retentir mais je n'avait envi que d'une seule chose qu'elle se rendorme.

-Hooo Baji , merci merci. qu'est ce que j'aurais fait sans toi, sanglota t-elle de joie. Je mit ma main devant ma bouche choquer. C'était moi qui l'avait amener ici, c'était moi qui avais appelé l'ambiance et c'était moi aussi qui avais fais plein d'autre chose pour elle. Une douleurs a parut dans mon estomac et je me pliais en deux.

-Kazutora,l'appelai-je. Des larmes perlai a nouveaux de mes yeux, Kazutora.Il se retourna la mine inquiète.

-Qu'est-ce qu'il y a ?

-On peut y allé. J'en est marre de voire Keisuke. Il fit oui de sa tête et prévint les autres de notre départ. Une fois dans le couloir une véritable plainte sorti de ma gorge. Je pleurais a en avoir mal a la tête. Ma main était toujours plaqué contre ma bouche et Kazutora me regardais l'aire désemparer. Finalement il me fit monter sur son dos et nous conduisis jusqu'à sa moto. Je mi ma tête dans sa nuque et essayais de me calmer. Rien a faire je pleurais comme un bébé.Une foit arriver il me déposât dans un lit et m'apporta de l'eau et un cachet.

-Euu tien c'est ce que me donne ma mère quand j'ai mal a la tête. J'avalai le médicament et le remerciais en hoquetant. Il se tourna et posa une pille de vêtement.

-La douche est juste a droite en sortant, dit-il doucement. Tu peut dormir ici ce soire, j'irais dans le salon.Il se leva et me jeta un dernier regard avant de partir. Cette douche m'avait fait le plus grand bien. Je santai l'odeur de Kazutora partout. Je supposait que le T-shirt qu'il m'avait donner et la pièce ou j'étais était a lui. Il toqua a la porte et dit :

-Je peut entrer tu est visible?

-oui. Il vins s'assoire sur son lit.

- Si tu a besoin de quoi que se soit n'hésite pas, je suis a coté. Et ne t'en fait pas pour ce connard, il ne mérite pas tes larmes, dit- il est  parlant de Keisuke.je reniflait une bonne foit pour toute.

-Merci de t'occuper de moi vraiment. Je te suis reconnaissante.

-Aller bonne nuis, il est tard.Il éteignit la lumière avant de sortir et je m'enroulais dans ces draps. Le parfum de kazutora était partout , c'était comme si il était vraiment la. Un plus tard dans la soiré morphe vint me prendre dans ces bras pour m'emporter vers un sommeille profond dont javait bien besoin.



     

Ma casse couilles de soeurWhere stories live. Discover now