Partie 41.

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Salam.

Celui à qui Allah il veut du bien, il lui fait comprendre la religion......

AMIR AÏDARA....

Elle venait encore de fermer les yeux. Je soupire et change mon short en jogging gris.
Je prends un grand hijab dans le placard et le lui fais porter.

J'appelle ensuite le docteur.
.....

Je repensais aux paroles de mon père....

Flash back 1.

Je sors de la voiture et monte rapidement au salon d'en haut.

Sihame: AMIIIIIIIIIIIRRRRRRR

Moi: Seigneur...

Naïla: coucou Amir...

Moi: tu vas bien mon petit bébé ?

Sihame: je t'aime pas aussi...

Moi: vous êtes venues depuis quand ?

Naïla: ce matin.. Abir ne se sent pas bien..

Moi: qu'est ce qu'elle a ?

Elle: elle est malade..

Moi: comment ça elle est malade.. elle a quelle maladie?

Elle: le docteur est avec elle.

Moi: Sihame...

Elle:

Moi: tu es fâchée !?

Elle:

Moi: Oumy...

Elle se blottit dans mes bras... on se fait une longue étreinte.

Elle: alors tu vas bien?

Moi: Alhamdoulillah...

Elle continuait à me regarder dans les yeux.

Elle: Amiiiirrrrrr.....

Moi: non...
Je monte voir papa Vas-y bouge.

Je toque à la porte avant de salam..

On se fait une accolade

Moi: papa...

Lui: ça va...

Moi: comme d'habitude.

On prit place.

Il y'avait sa photo sur la table...

J'en fis pas vraiment cas...je n'y peux rien d'ailleurs. Sans trop tarder, j'entame la discussion avec lui.

Ce que j'ai toujours aimé de mon père c'est cette écoute qu'il t'offre.... cette oreille généreuse et religieuse. Il m'a écouté sortir tout ce que j'avais sur le cœur. Je lui parlais de mes craintes, des douleurs et de tout ce qui n'allait pas psychologiquement.

Nouria: Péripéties de la vie.Where stories live. Discover now