Nouria: Péripéties de la vie.

partie 25.

Salam.

.......On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser, on l'arrose et on la regarde grandir patiemment.......

NOURIA DIOR....

Ainsi se termine ma journée, j'avais dormi le restant de la journée. Astagfirollah j'ai grave raté des heures de prière.

Je rattrape aussitôt mes prières après mon réveil et me pose sur le lit. Je voulais descendre dans la cuisine me trouver un truc à manger mais il était 01h23. J'avais trop peur faut le dire, je peux pas non plus dormir le ventre vide.

J'ouvre le frigo. Il n'y avait que des friandises, pas le choix, je prends un petit packet. Pour la première fois je n'aime pas le chocolat parce que j'ai faim.

Je sors de la chambre espérant croiser mes belles sœurs dans les allées.

Je descends au second étage, il n'y avait personne. J'avais trop peur mais je pris mon courage à quatres mains mdr puis descends au rez de chaussée.
Les lumières étaient éteintes, merde alors.. où vais-je trouver l'interrupteur moi?

Je tâtonne pour pouvoir les allumer et accéder à la cuisine. J'allais allumer les lumières quand je me heurte à quelqu'un ou quelque chose j'en sais plus.

Mon dieu ne me dites pas qu'ils sont revenus ces djinns.... au moment où j'étais, mon cœur pouvait sauter, je pouvais faire une crise cardiaque d'une minute à l'autre.

AMIR AÏDARA.....

J'avais trop la tête ailleurs. Je décide de sortir prendre de l'air.

Cette fois ci je vais voir mon frère Aymen. Pour une première fois, j'avais vraiment envie de parler à quelqu'un qui me comprendra....Il est sûrement à la maison.

Eh oui, il était là.

Lui: Sira c'est quel jour aujourd'hui !? Note le, Amir est là.

Moi: t'es fou mec...Vas-y bouge.

Je m'affale sur le sofa comme pour me soulager.

Sira: Amir c'est toi!?

Moi: nan mon corps.

Elle: astagfirollah.

Moi: Aymen dis moi depuis quand elle est devenue une sainte celle là!?

Lui: là en est la question.

Sira: je te sers plus, t'as bien des mains hein.

Moi: wow Elle est énervée.

Elle s'en va en boudant.

Je bois un verre d'eau et m'affale sur le canapé. Je ne voulais réfléchir à rien.

Lui: Bro, tout va bien?

Moi: ouais.

Lui: qu'est-ce qui se passe!?

Je le regarde....une partie de moi me disait de me vider et l'autre disait le contraire. Ce n'est pas un étranger de toutes façon, c'est mon autre personne.