Jamais tranquille

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PDV Ashley:

Je me réveille doucement, en ayant une forte envie d'aller au toilettes. Avant de me lever, je regarde l'heure et à ma grande surprise je n'ai dormi qu'une heure trente, il est à peu près 2heures trente du matin.

Je me lève donc du lit confortable que Lia m'a passé pour la nuit, en marchant doucement pour ne pas la réveiller, comme elle a la chambre juste à côté.

Je fais donc mon affaire au toilettes puis me rend compte que j'ai la gorge sèche, donc je me dirige vers la cuisine, j'allume la lumière. Je me dirige donc discrètement vers l'armoire où sont rangés les verres, je ne veux pas déranger celle qui m'accueille si gentiment.

Je me sers de l'eau et la bois tranquillement, je sens le liquide froid se glisser dans ma gorge, me revigorant, puis je me redirige vers la chambre mais avant que je ne sorte complètement de la cuisine, j'entends un gros bruit venant de la porte d'entrée.

Des coups assez violents sont portés à celle-ci et si ça continue, ça va réveillé Aurélia.

J'hésite quand même à ouvrir au grand malade qui tape aussi tard à la porte, mais qui fait ça ? A tout moment c'est un psychopathe ou un tueur et j'ai enlever mes armes avant de venir ici et si lui est armée, j'aurai du mal à m'en sortir en sauvant Lia qui ne dort surement plus à cause de l'inconnue qui fait le ouf devant la petite maison.

Il continue de frapper augmentant mon stresse en flèche par la même occasion.

Mais d'un coup ile grand fou parle, me coupant dans toute envie de m'enfuir:

?: Bordel qui que vous soyez ouvrez cette putain de porte, je vois de la lumière, je suis pas con, je sais qu'il y a quelqu'un alors si vous voulez pas que je défonce la porte, ouvrez la avant, dit une voix que je reconnais tout de suite mais que je ne suis pas du tout heureuse t'entendre.

Moi qui croyait qu'il y avait un psychopathe, c'est encore pire, Connard frappe comme un dingue à la porte en train de m'insulter sans savoir que c'est moi.

J'hésite encore à vraiment lui ouvrir parce que seule avec lui je ne sais jamais ce qui peut m'arriver, en plus je l'ai énervé à ne pas ouvrir.

Mais mes jambes avancent toute seules vers l'endroit où se trouve mon tyran, au fond je veux quand même savoir ce qu'il fout là.

Je met ma main sur la poignet mais je sens un tremblement violent contre, il a donné un coup plus fort que les précédents est donné dans la porte qui souffre depuis tout à l'heure. Je ferme mes yeux et me donne du courage en essayant de ne pas imaginer ma tête à la place de la porte.

J'ouvre donc rapidement la porte avant de ne plus oser et à peine est-elle ouverte, je vois le poing de Preston s'arrêter juste avant de me mettre une patate.

Je le regarde mal, appréhendant déjà la suite.

Lui: T'es vraiment conne j'aurai pu t'en mettre une, pas que ça me dérange hein mais on dirait que t'aime ça. T'as juste à me le dire, me dit-il d'un ton arrogant et supérieur que je déteste.

Je ne lui répond pas, trop fatigué par son comportement et par lui tout court pour lui répondre. Je croise les bars en dessous de la poitrine en attendant qu'il parle parce que personnellement je ne compte pas le faire.

Lui: Qu'est-ce que tu fais là ? J'ai dû chercher partout dans les maisons alentours pour enfin te trouver. T'es qu'une salope, c'est sûre que tu l'as fait exprès, tu voulais me faire chier hein ? crie t-il alors que je ne sais même pas quoi répondre, paralysée par sa colère.

Ennemis or moreWhere stories live. Discover now