Encore merci

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PDV Preston:

Je me rappelle que la dernière fois dans le parc, ils avaient parlés d'une clés commune.

Donc je suppose qu'elle est sous le palier, comme toute les clés communes. Je m'accroupi même si c'est dur avec Miller dans mes bras, pour soulever le tapis où il y a effectivement une clés.

C'est pas très discret comme cachette mais bon en vrai chez moi aussi j'ai la même.

J'entre dans cette gigantesque maison, l'intérieur est aussi luxueux que l'extérieur et il y a une déco de bon goût.

Je vois un escalier au loin, je me dirige vers celui ci, en pensant que sa chambre doit surement être en haut.

En montant les marches, Miller commence à bouger et à marmonner, ce qui rend assez difficile l'ascension mais j'arrive quand même au bout de ces escalier qui me paraissaient si long, avec le poids d'Ash et surtout le fait qu'elle bouge.

Arrivé en haut, je m'arrête en réfléchissant et en me demandant où j'était sensé la ramener quand elle se décide enfin à parler.

Elle: C'est la première à gauche.

Au fond ça me soulageait un peu que sa chambre soit proche et que je n'ai plus à marcher beaucoup mais je souffle quand même d'exaspération dû au fait qu'elle soit réceillé mais qu'elle ne prenne pas la peine de marcher d'elle même. Mais je ressentait la fatigue dans son corps et dans sa voix donc je ne peux pas lui en vouloir.

Je vais donc dans sa chambre qui est très bien décoré, moderne avec des leds et des photos accrochés au murs.

Je la dépose dans son lit et la borde bien pour qu'elle puisse enfin se reposer comme il se doit.

Pui je me dirige vers le murs rempli de photo et l'examine. Il y a des photos d'elle avec toute la bande mais aussi avec d'autres gens que je voit comme ses amis de New York. Sur tout les clichés elle sourit, rigole ou fait des grimaces, elle n'est pas souvent comme ça donc ça me fait bizarre.

Elle: Tu peux arrêter de fouiller dans ma vie privée s'il te plaît.

Sa voix m'avait effrayé donc je sursaute, ce qui la fait exploser de rire.

Je lui fait un regard meurtrier qui n'a pas vraiment l'air de lui faire peur ou de l'empêcher de rigoler.

Elle: C'est bon je rigole. Ah et je voulais te dire avant que j'oublie, encore merci.

Moi: Miller serait elle en train de me remercier ? Attend je crois que je rêve.

Elle: Ahaha très drole, je suis sérieuse tu m'as sauvé à deux reprises, c'est la moindre des choses.

Moi: Quand on t'entend parler on dirait presque que je suis un héros. Enfaite t'as raison chui un putain de mec gentil, généreux, mais faut pas croire que je compte te sauver tout le temps, un héros ça  a besoin de congés.

Elle: Quand tu commence à parler je regrette toujours de me dire que tu peux parfois ne pas être chiant. Parce que même si tu te vois comme un "héros" maintenant que je t'ai dit merci, tu reste toujours le Cooper chiant et arrogant que tout le monde connait avec juste un peu d'empathie en plus.

Moi: Peut être mais j'aurai très bien pu te laisser te faire violer, la première fois, et la deuxième fois j'aurai pu te laisser entre les mains du colosse et ne pas te rattraper quand t'as failli tomber.

Elle: Oui c'est pour ça que je t'ai remercié mais toi t'as tout de suite abusé du baille.

Moi: En tout cas de rien pour ce que j'ai fait, même si je te déteste, personne ne mérite des se retrouver dans ses situations.

Ennemis or moreWhere stories live. Discover now