Impossible [Lockzie]

Chapitre 22

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Salut, j'ai enfin réussi à terminé ce chapitre !!! J'ai mis du temps putain. Et en plus il est assez long. J'espère qu'il vous plaira bonne lecture !
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[ PDV général ]

C'est l'heure de la mission.

Nos quatre héros se retrouvèrent au garage de la Division pour charger la camionnette et commencer à partir. Il avaient pas mal de chose à emmener vu que le but de la mission consiste à apporter de la cargaison à un camp de réfugiés. Leur seul problème est qu'ils peuvent croiser des membres des Hyènes. Et même peut être Cyril. Depuis que nos deux survivants étaient revenue, ils avaient pas mis les pieds une seul fois dehors. Maintenant qu'ils ont franchies cette étapes, le plus dur reste à venir et ...

Ils ne sont pas au bout de leurs surprises.

[ PDV Lucas ]

J'en ai déjà marre. Je suis à l'arrière de la camionnette avec Max. Il était hors de question que je me mette à côtés de l'autre idiot.

La tension dans la camionnette était palpable alors qu'on roulait en direction du camp de réfugiés. Je jeté de temps en temps un regard vers Baptiste, assis à côté de Jordan qui est lui même au volant. Max, assis à mes côtés, pouvait clairement sentir le malaise. La route était cahoteuse, et le silence était seulement brisé par le grondement du moteur et le bruit des secousses. Tout c'était passé pour le mieux en nôtre départ. Un ou deux agents ont justes lancé quelques regards méfiant envers Lock. Mais de toute façon, fuck les rageurs.

Bref je vais pas vous mentir, il ne s'est pas vraiment passé grand chose pendant le trajet. Des conversations par ci par la, des petits piques entre Lock et moi. Mais sans plus ...

On arriva donc à notre premier endroit de pause étant donner qu'on a conduit toute la journée et que le camps est encore à quelques heure de routes. Nous avons eu quelques obstacles sur notre chemin mais aucun signe de Cyril ou de n'importe quelles Hyènes.

Baptiste descendit du véhicule, suivi Jordan. Max et moi restâmes à l'intérieur. J'étais toujours un peu agacé par la présence de Lock, mais je devais admettre que son expérience sur le terrain pouvait être précieuse.

Je sortis finalement de la camionnette, prenant une grande bouffée d'air frais. Le paysage autour de nous était désolé, marqué par les ravages de la guerre. Les bâtiments en ruines témoignaient des horreurs qu'avaient endurées ces terres. Jordan pris un peu de bois de la cargaison et nous prépara un petit feu. Tout le monde était en action mais personne ne parla.

Soudain, un bruit de brindilles craquant sous un pas se fit entendre à proximité. Nous nous figeâmes tous les quatre, nos regards se croisant avec une lueur d'inquiétude. C'était peut-être une faction ennemis qui nous avaient trouvés.

Noue nous dirigeâmes vers le bruit, armes à la main, prêts à faire face à la menace imminente. La tension montait, et nous étions sur le qui-vive, prêts à réagir à la moindre provocation.

Mais alors que les secondes semblaient s'éterniser, il s'avéra que ce n'était qu'un animal sauvage qui avait causé le bruit. Nous poussâmes un soupir de soulagement collectif, mais nous restions vigilants. La nuit tombait rapidement, et la mission n'était pas encore terminée alors tout le monde alla se coucher. Toujours dans un silence pesant.

[ PDV général ]

Le lendemain matin, nos quatre survivants reprirent bien vite la route vers les camps. La route se passa assez rapidement et la destination commençait à se faire apercevoir.

Le camp de réfugiés était finalement en vue, une collection de tentes et de bâtiments précaires entourés par une palissade de fortune. Des gens se déplaçaient nerveusement à l'intérieur, et l'atmosphère était chargée d'incertitude. Lucas, Baptiste, Max, et Jordan savaient qu'ils devaient rester vigilants.