Chapitre 106

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J'attends sa réponse.

-Il est claire que de simples ados comme vous ne réussiront jamais à arrêter votre persécutrice.

-Quoi, vous voulez nous aidez ?

-Si vous le souhaitez bien sûr.

-Vu le mouchard, j'ai pas l'impression que vous respecteriez notre réponse.

Il sourit pour me faire comprendre que j'avais raison.

-Pourquoi nous aidez alors qu'on a tué quelqu'un ?

Il réfléchit.

-Ta copine m'a fait de la peine quand mes collègues l'ont retrouvée.

Je le regarde bizarrement.

-Mon côté justicier a prit le dessus, dans son regard je pouvais voir qu'elle criait à l'aide.

J'évite son regard doutant de lui. Il touche mon épaule.

-Madison, je suis un officier de police, jamais je ferais quelque chose pour vous mettre mal à l'aise. Fais moi confiance.

Je le regarde. Waw, son regard était si rassurant. Je souris.

-Ce n'est pas à moi que revient la réponse, je dois le demander aux autres, je ne suis pas sûr qu'elles vous feront confiance vu les antécédents.

-Il me semble qu'il y a 2 ans c'est vous qui êtes aller à la forêt, je n'ai fais que mon travail.

-Oe et vous étiez chiants.

-Non, c'est vous qui cachiez un truc et qui aviez peur de craquer.

Je ne dis plus rien. Je regarde mon puzzle et continue de le faire en ignorant. Il corrige l'un de mes pièces.

-Ce n'est pas parce qu'elles s'assemblent ensemble qu'elles font un.

-Oh je vois. Dis je en comprenant

Il continue de faire, il m'empêche de faire car il est doué, je souffle et pose mon puzzle. Il ne comprend pas.

-Bah quoi ? Tu ne veux plus faire.

-Sérieusement vous êtes trop doué, vous m'avez fait perdre l'envie de faire.

Il rigole.

-Ce n'est pas un jeu d'échec pourquoi réagir ainsi.

Je le dévisage.

Dans la peau d'Alicia :

Je suis sur mon lit, toujours sur le choc à cause de la mort de Julien. Les filles sont avec moi.

-Il est mort... Me répète-je

-Alicia, te le répéter te fera du mal. Dit Ashley inquiète

Je m'exclame d'un coup.

-Et je suis censée réagir comment ! Il est mort par ma faute, il est mort parce que les policiers m'ont libérer, je ne méritais pas d'être libérée.

Je regarde mes affaires, tout ce qui est ordinateurs et objets coûteux. Je me mets à tout jeter au sol et à les abîmer du mieux que possible. Les filles sont mal en me regardant. J'arrête et me met à pleurer. J'étais trop mal à cause de la mort de Julien j'avais l'impression que j'étais fautive. Que je ne méritais pas de vivre ni d'être riche, d'avoir des parents, d'être heureuse, non, je ne l'es méritais pas. Je regarde mes affaires au sol.

-Le pire c'est que j'ai la possibilité de m'acheter tout cette chambre si je l'abîme, quelle fille pourrie gâtée. M'insulte je

Isabelle me fait un câlin. Je pleure dans ses bras.

Dans la mafiaWhere stories live. Discover now