Chapitre 57

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SCARLETT

Il est complètement malade.

Monsieur Winkman : depuis des décennies que je m'occupe de reliques psychiques notables, je n'avais jamais encore eu entre les mains d'objet plus puissant que ce miroir. Vous pouvez faire venir nos cobayes.

Moi : non, ce ne sont que des enfants ils n'y survivront pas. Dis-je en chuchotant à moi-même.

Des enfants montent sur l'estrade et il les forces à aller devant le miroir.

Monsieur Winkman : tourne-toi. Me force pas à te faire du mal.

Cette petite fille se met à crier et tous les enfants s'en vont.

Monsieur Winkman : voilà la preuve la plus contestable de l'authenticité de cette relique, j'imagine que vous serez d'accord. Donc, si nous commencions les mises à prix à 50 000 £ ?

Plusieurs panneaux se lèvent dans la foule.

Monsieur Winkman : j'ai cinquante ici. Merci madame.

Les enchères continuent, et continue et je vois Lockwood qui lève son panneau.

? : 550.

Lockwood : 600.

Mais qu'est-ce qu'il fou ?

? : 650.

Monsieur Winkman : mes amies, votre dévouement pour cet article dépasse toutes mes attentes. Pourrais-je vous demander de vous approchez afin que vous puissiez me fournir une preuve de vos moyens ?

Les deux s'approchent.

Madame Winkman : il suffit simplement d'une simple formalité.

Je sors les fusées et mon briquet.

Monsieur Winkman : prenez votre temps monsieur.

Je vois des hommes attraper Lockwood.

Moi : allez.

Mon briquet ne veut pas s'allumer et je vois un homme donner un coup à Lockwood.

Monsieur Winkman : amenez-le-moi.

Moi : allez briquet à la con, c'est le moment de s'allumer.

Monsieur Winkman : toi ?

Madame Winkman : où est l'autre ? Y'en avait une autre avec lui.

Des personnes commencent à me chercher et j'arrive à allumer les fusées et je les jette vers eux. Tout le monde commence à paniquer et à me bousculer. Lockwood arrive vers moi et il m'attrape le bras avant qu'on ne parte en courant tout les deux. Quand on est éloignées on retire nos toges et on arrive devant une porte.

Moi : comment on sort d'ici ?

J'essaye d'ouvrir la porte mais elle est verrouillée.

Moi : elle est verrouillée !

? : par ici.

On voit plusieurs hommes dont monsieur Winkman arriver et je sors ma rapière.

Monsieur Winkman : doucement.

Moi : Lockwood.

Lockwood : ça va aller. Donne-moi ta rapière.

Je lui donne ma rapière et il la pointe vers ces hommes.

Monsieur Winkman : donne-moi le miroir d'os, et je vous tuerais en douceur.

Lockwood regarde l'homme qui travaille sous couverture et il lui fait non, de la tête.

Monsieur Winkman : tu le connais ? Demande-t-il cet homme.

? : non, monsieur.

Monsieur Winkman : t'es sûr que tu le connaît pas ?

? : oui, monsieur.

Monsieur Winkman : alors prouve-le.

Moi : quoi ?

Il s'approche de Lockwood, alors que Lockwood se recule. Il lève son épée et on se décale à temps, le cadenas qui était sur la porte se brise et j'en profite pour l'ouvrir et avec Lockwood on s'en va.

Monsieur Winkman : je le savais !

Les hommes de Winkman s'en prenne à lui et Lockwood ne bouge pas.

Moi : Lockwood, vite !

J'attrape son bras avant de le tiré avec moi dans l'ascenseur.

Lockwood & CoWhere stories live. Discover now