Chapitre 49

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SCARLETT

On arrive à la maison et George nous dit.

George : ça vous dérange si je pars me plonger dans ses papiers ?

Moi : non vas-y.

Il s'en va et Lockwood arrive à côté de moi.

Lockwood : tout va bien ?

Moi : ouais.

Lockwood : t'es sûr ?

Moi : ouais ça va. Mais...je vais ranger le crâne dans un coin. On peut pas lui faire confiance.

Il me rend le sac, et je pars au sous-sol. Après l'avoir rangé, je remonte et quand j'allais monter à l'étage je vois quelqu'un glissé quelque chose sous la porte. Je fronce les sourcils avant d'aller voir ce que s'est, et je récupère l'enveloppe et je vois qu'il y a marquer le nom de l'agence. Je pars vers le salon pour aller voir Lockwood et j'entends la voix de Flo.

Flo : t'a trouvé une nouvelle fonction, à la pièce, sur le palier ?

Donc elle serait au courant pour ce qu'il y a dans cette pièce ?

Lockwood : non.

Flo : il va bien falloir que tu t'y colle.

Lockwood : ouais.

Flo : bon je suis pas là pour une intervention. Il paraît que Carver à reçu ton message.

Lockwood : il a passé la porte d'entrée avec un couteau dans le dos. Tu penses que c'est Winkman ?

Flo : ça serait pas étonnant. Si tu as besoin d'une planque, il y a une péniche près de l'île Eel Pie.

Lockwood : plutôt tentant. On est toujours à la recherche du miroir. Tu sais quelque chose ? Winkman a essayé de le vendre ?

Flo : si la péniche est pas assez éloigné, je te propose qu'on se loue une caravane à Camber Sands ?

Lockwood : okay, ça veut dire oui.

Flo : j'ai un plan, dans un entrepôt à minuits sinon, un entrepôt plein de criminels et de fou furieux qui veut ta peau. C'est plus ton style, ça je crois ?

Lockwood : minuit, ce soir ?

Flo : vente aux enchères privés. Relique très rare.

Lockwood : dont le miroir.

Flo : quai Fothergill, près de la Tamise. Mon territoire. Ça serait de la folie de t'y aventurer. En tous cas pas s'en moi.

Lockwood : Flo, je pourrais t'embrasser.

Je sens un léger pincement au cœur en entendant cette phrase.

Flo : reste en vie c'est tout. Et ça m'ira très bien. Garde tes bisous pour l'autre.

Lockwood : qu'elle autre ?

Flo : t'es différent quand t'es avec elle.

Lockwood : c'est une collègue c'est tout.

George : tient Scarlett, je te chercher.

Moi : qu'est-ce qu'il y a ?

George : faut que t'aille dans ma chambre.

Moi : d'accord.

Je pose pas de question et je pars dans la chambre de George et je vois que Lucy et là. Après quelques secondes, Lockwood arrive avec George. On regarde sa chambre qui est remplie des papiers que j'ai pris.

George : ce sont d'ancienne illustration ou on voit les esprits être reliés à leurs sources. Bickerstaff a dû trouver ces pages et à essayer de tester cette théorie. C'est surement pour ça, que son sous-sol ressembler à un film d'horreur.

Lockwood : il tuait ses propres patients pour créer des sources ?

George : non il y aurait eu peu de chance, pour que ça réussies. Si jamais on tue une personne, son corps ne deviendra pas forcément une source. Sauf si on s'en assure avant.

Moi : donc il coupait des parties de ses patients alors qu'ils étaient vivants.

George : oui et c'était si traumatisent que leur fantôme restait liées à leurs os pour toujours. Et regardez ça.

Il prend un papier et on s'approche de lui pour regarder ce que s'est et c'est un dessin.

George : sept fantômes.

Lockwood : ça rejoint ce qu'a dit Carver.

George : ça les amis c'est le mode d'emploie pour fabriquer un miroir d'os. Tu crois que le crâne serait reconnaître cette écriture ? Me demande-t-il.

Moi : j'en sais rien. Dis-je en partant vers son lit. Et puis on sait pas quitter en bons termes. Dis-je avant de m'assoir sur son lit.

George : Joplin doit avoir les réponses.

Lockwood : non pas question de la mettre au courant.

George : on peut lui faire confiance. On a bien parlé après les archives hier soir. J'ai dîné avec elle.

Lucy : ta dîné avec Joplin ?

George : on a manger des restes chez elle. Et franchement elle est adorable. Ah et c'est pas tout. Mary Dulac a écrit un livre.

Lockwood : qui ça l'espèce de folle ? Ça doit être que des conneries.

George : non, ce sont ses aveux. Ça pourrait très bien être la clé de cette histoire. Mais il y a eu très peu d'exemplaires. La seule copie que j'ai trouvée est dans la bibliothèque noire chez Fittes.

Lockwood : déjà entrer chez Fittes c'est mort, mais alors dans la bibliothèque noire, je t'en parle même pas...

Moi : à ta place j'en serais pas si sûr. Lui dis-je en lui donnant l'enveloppe. C'est tomber de la boîte aux lettres tout à l'heure.

Il ouvre l'enveloppe avant de lire le carton.

Lockwood : ''Anthony Lockwood and Co., l'agence Fittes a le plaisir de vous convier au gala qu'elle organise pour ces cinquante ans''. C'est ce soir ! Super. C'est excellent. La partie est pas fini. Bon, voilà le plan. Tout ces papiers on les fait traduire, on apprend comment le miroir d'os a était fabriqué. On va au gala ce soir, on trouve le livre de Mary Dulac, on découvre exactement ce que ce truc lui a fait. Et ensuite, on va le chercher.

Moi : ah ouais et comment, selon toi ?

Lockwood : Flo à trouvé une solution.

Il reprend le carton à George avant de me le tendre à Lucy et moi.

Lockwood : c'est l'heure de faire du shopping.

Je regarde le carton.

Moi : ''tenue de soirée exiger''. Super.

Avec Lucy on se regarde avant de se lever et on part de la maison.

Lockwood & CoМесто, где живут истории. Откройте их для себя