Chapitre 20

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SCARLETT

Le lendemain on est tous dans la cuisine à regarder la bague.

Lockwood : qu'est-ce qu'on est censé regarder ?

George : la bague je l'ai mis dans du verre-argent pour pouvoir l'examiner en toute sécurité.

Moi : mais enfin il fait encore jour.

George : bon puisse qu'on ai à lancer des évidences, je te rappelle que c'est moi qui m'expose au danger. Okay, notre invité masquer voulait la bague. Pourquoi ?

Il appuie sur un bouton et on voit l'image de la bague apparaître sur la télé.

George : la gravure.

Lucy : H 22 115.

Moi : c'est quoi ?

Lucy : j'imagine que le ''H'' c'est pour Hugo ?

George : j'y ai penser. Mais qui été le grand ''H'' dans la vie d'Annabel ?

Il donne un livre à Lucy et je penche ma tête au-dessus de son épaule pour le regarder.

George : acte 2, scène 2.

Elle ouvre le livre avant de lire un passage.

Lucy : ''Doute que les étoiles soient de feu, doute que le soleil tourne toujours, doute que la vérité soit mensonge, mais ne doute jamais de mon cœur''. Mais oui c'est ça ! La gravure est une lettre d'amour.

Moi : c'est pour ça qu'Annabel voulait que je prenne la bague, elle prouve qu'elle est Hugo était ensemble. Avec ça on pourrait l'enfermer.

Lockwood : non.

On regarde Lockwood.

Lockwood : c'est pas une preuve suffisante. Ça nous apprend certes qu'il était ensemble. Dit-il en prenant la bague. Mais ça prouve en rien qu'il l'a tué. Je vais la mettre au coffre, et je vais garder la clé avec moi, parce que...disons que tu n'es pas des plus fiables.

Il prend les clés et je lui dis.

Moi : mais c'est ça Source.

Lockwood : et tu l'as volée. Bien on vient de recevoir la décision pour Sheen Road. Si on se ressaisit pas on peut dire adieu à l'agence.

George : ''obligation de Supervision permanente'' ?

Moi : ça veut dire quoi ?

Lockwood : ça veut dire qu'on doit toujours 60 000 milles livres, mais qu'en plus on peut agir sous la supervision d'un adulte.

Lucy : non, non. Ça doit être une blague.

Lockwood : non, on est pris à la gorge. Mais j'ai un plan. On va aller parler d'un certain fantôme à quelqu'un.

...

On arrive devant Fairfax et on rentre à l'intérieur. On monte dans l'ascenseur et George dit à Lockwood.

George : donc ton super plan, c'est de bosser dans le groupe Fairfax, pour faire ce qu'on nous interdit ?

Lockwood : George c'est cette attitude négative qui explique que je te dis rien à l'avance.

Je peux pas m'empêcher de sourire et je prends le journal des mains de Lockwood. Je regarde ce qui la entouré et c'est une annonce pour une affaire.

Moi : ''nous recrutons agents pour enquête surnaturelle inhabituelle. Rémunération irrationnelle ou danger''. J'imagine que ça veut dire très dangereux, non ?

George : j'espère au moins que c'est payer 60 000 milles livres.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrent et plusieurs gens commence à rentrer alors on se retrouve coller au fond.

? : fermeture des portes.

Les portes se referme et Lockwood nous dit.

Lockwood : quand on sera là-haut, on devra donner le meilleur de nous-même. Être cent pour cent professionnel. Donc c'est moi qui parlerais.

George : j'ai vu Sir John Fairfax une fois. Il était venu dans mon école pour y faire un discours après lui avoir fait dont des forces de fer. Mademoiselle Kingston c'était même lavé les cheveux pour l'occasion.

Lockwood : tu vois George c'est pour ça que je préfère que tu te taises.

Je peux m'empêcher de sourire, et je sens la main de Lockwood frôler la mienne. On se regarde tous les deux et il me sourit légèrement.

Lucy : et la personne à qui tu voulais qu'on parle d'un certain fantôme. Tu connais son nom au moins ?

Lockwood : non. Seulement l'étage où le trouvé. Au vingtième.

Moi : c'est le dernier. Me dit pas que c'est...

Lockwood : je te le dis pas alors.

On arrive au vingtième étage et quand les portes s'ouvrent George se met à siffler en voyant l'intérieur.

Lockwood & CoWhere stories live. Discover now