Chapitre 11

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Eudoria : Nos histoires sont toujours longues mais certain val la peine d'être racontée, comment votre soeur est-elle morte ?

Moi : Lors d'un duel entre son mari et son amant, elle a voulu s'interposée. Suite à cela son mari s'est suicider car il n'acceptait pas le faite qu'il l'avais tué.

Eudoria : Ca a du être très dur pour vous qui étiez déjà orpheline.

Moi : En effet c'est pour cela que vous devez retournée au côté d'Enola.

Eudoria : J'ai bien des choses à accomplir...

Sur ces paroles elle quitta l'hangar, je sortit aussi quelque temps après mais je ne la vis pas. Cette échange fut des plus troublants.

ELIPSE DU TRAJET JUSQU'AU 221 BAKER STREET

Il me fallut monter quelque marche et me voilà au 221 B, je toquai et quelque temps après on vint m'ouvrir.

Sherlock : Amaryliss, ce n'était pas l'heure convenue.

Je ne répondis pas à cette question et me jetai dans ses bras, il ne répondit pas tout de suite à mon accolade car il était encore sous le coup de la surprise mais il ne lui fallut que quelque seconde avant de répondre et de fermer la porte derrière moi.

Moi : Sherlock...

Sherlock : Tout va bien Amaryliss, je suis là.

Moi : Sherlock, je suis venue te dire adieu.

Son visage passa d'un visage compréhensif et inquiet à un visage troublé, perdu et dont la grande tristesse déforma les traits.

Sherlock : Amaryliss, qu'il y a-t-il ? Dit moi tout je vous aiderais, je ferais tout ce qu'il y a en mon pouvoir, non, je ferais tout pour vous...Mais s'il vous plaît rester au près de moi.

Sa voix se brisa sur ses dernières paroles.

Moi : Sherlock, nous ne sommes pas fait pour évoluer dans le même monde. Nous devons tracer nos déstinés chacun de notre côté.

Sherlock : Mais Amaryliss...

Moi : Ca suffit Sherlock, ce prénom n'est même pas le miens.

Sherlock : Mais alors qui est-tu ?

Moi : Ca tu n'as pas à le savoir.

Sherlock : N'étais-je qu'une phase de ton existence, n'étais-je qu'un figurant de ta vie?

Je ne répondis pas.

Sherlock : Car pour moi tu étais beaucoup plus, tu étais le soleil de mes journées, les rêves de mes nuits mais surtout mon première amour.

Moi : Sherlock, c'est absurde cela fait seulement une semaine que nous nous côtoyions.

Sherlock : La connexion entre nous était-elle aussi absurde, le mouchoir que tu m'a donné était-il aussi absurde.

Moi : Je reverrais Enola au pensionnat demain matin.

Sherlock : VOUS NE COMPTEZ MÊME PAS LUI DIRE EN FACE ?!

Moi : Je ne vous est pas approchez avec la plus noble des cause, veuillez me laissé partir maintenant Monsieur Holmes.

Sherlock : Parfait...ALLEZ VOUS EN !

Je partis les larmes aux yeux, le coeur meurtris et la respiration irrégulière. Un coursier sortit de la pénombre.

??? : Vous avez donc décider de quittez leur vie.

Moi : Eudoria, il le fallait.

Eudoria : Je n'avais jamais vu mon fils dans cet état, lui qui se montre souvent imparrable.

Moi : il s'en remettra. Aurevoir Madame Holmes.

Eudoria : Aurevoir jeune fille.

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