Chapitre 6

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Enola qui fut silencieuse pendant tout l'entrevue sauta de joie.

Mycroft : A ce que je vois Madame Harrison n'a pas fait son travail aussi bien que je le pensais, souffla-t-il.

Enola : Merci infiniment merci mille fois.

Sherlock : Que comptez-vous lui apprendre ?

Moi : Une multitude de choses comme :

- la broderie, le crochet, le tricot

- le ballet, la valse et toute les danses de bals et toute les autres choses qu'une dame se doit de connaître comme la tenue d'un salon et l'abanico.

Sherlock : Qu'est-ce l'abanico, dit-il avec beaucoup de curiosité.

Moi : Le langage de l'éventail voyons, je sui étonné qu'un génie comme vous n'en connaisse pas l'existence !

Sherlock : Il m'arrive même à moi que certaine notion m'échappe.

Mycroft : Bien, maintenant allons-y Sherlock, madame avez-vous appeler un calèche au préalable ?

Moi : Evidement. Je vis tout de suite où il voulait en venir et pour lui éviter toute humiliations je pris les devants des choses. Voulez-vous la partager avec nous ?

Mycroft : Avec plaisir.

ELIPSE DU TRAJET DE SORTIE JUSQU'A LA CALECHE

Nous étions assis dans cette ordre là:

Sherlock                       Moi

Mycroft                          Enola

Le trajet jusqu'à la résidence que j'avait acquéris lors d'un ancien pari. On arriva à la résidence tout le monde était déjà à son poste près à servir la femme qu'ils croyaient marquise de Beauharnais par héritage lointain. 

Les portes s'ouvrit à notre arrivée et un domestique vint tout de suite nous proposer son aide afin de descendre de la calèche.

Mycroft : Voici donc une demeure digne de ce nom...

Sherlock garda la silence pendant toute la marche jusqu'au manoir.

Domestique : Votre chambre se trouve au deuxième étage à gauche jeune fille. Madame reçoit-elle aussi ses jeunes messieurs ?

Moi : Il en ais de l'avis de ses chers gentleman. Répondis-je en me tournant vers eux.

Mycroft : J'ai des affaires à régler à Londres, Sherlock se ferait un plaisir d'accepter votre offre.

Sherlock : Mycroft...

Je vis alors Mycroft attiré Sherlock plus loin.

POINT DE VUE SHERLOCK :

Moi(sherlock): Mais enfin Mycroft tu as pris cette décision sans me consulter à peine une minute.

Mycroft : J'ai des affaires à régler au Parlement et puis ton esprit affuté saura décidé sans encombre si cette femme peux bien faire opérer les changements dont elle se prétend capable chez Enola. Si telle en ais la chose ce serait merveilleux.

Moi(sherlock) : C'est d'accord.

Moi et mon frère Mycroft nous revîmes auprès de lady Delacroix et Enola. Elle à quelque chose de si envoutant dans son regard qu'il ne serais pas permis à un homme de le défier. C'est surement pour ça que m'a reléguer cette mission Mycroft.

 Lady Delacroix : Alors vous êtes toujours d'accord pour passez la nuit ici ?

Moi (sherlock) : J'y passerais même deux jours. Dis-je avec un sourire narquois.

Sa réaction fut de me toiser avant de joindre ses mains et de déclaré " Parfait !"

Lady Delacroix : Indiquez lui sa chambre, faîtes comme chez vous.

Domestique : Veuillez me suivre.

Je suivis le domestique pendant qu'elle s'éloigna dans les couloirs du manoir. Il y à comme un mystère qui ne demande qu'à être percer qui entoure cette femme, son aura, son regard tout chez elle est captivant. Elle éveille en nous une sensation que je ne saurais décrire. Pourtant je n'avais pas recelé ce trait de caractère chez elle au pensionnat, son aura à évoluer...

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