Quelque minutes plus tard je me lève de mon bain, je me sèche et m'habille avant de me poser dans mon lit, tout en écrivant un message à Guzman, j'avais besoin de joint. Mon stock s'épuise vite.

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mon lycée  9h30.

Maths. Je commençai avec les maths. Avec un prof de merde, son cours aussi merdique que lui, et son vieux crâne chauve. Je n'écoutais pas son cours, j'étais beaucoup trop occupé à regarder... la vitre. Comme une putain de dégénéré qui n'avait jamais eu de liberté, et qui n'avais jamais sentis le vent, ou bien qui n'avait jamais vu un arbre bouger ses feuilles à cause de ce vent. Je m'épuise.

Moi ? Ou bien la nuit merdique qui te dit ça ?
Les deux , sûrement. Je sortais de mes pensées quand le fils de pute qui me servait de prof me parle.

- Mademoiselle CORTEZ ! Mon cours et fait pour être écouté pas pour passer son heure à contempler les arbres. Dit-il avec son air arrogant qu'il ne possédait pas.

Je le regarde avant de lui sourire de toute mes dents. Blanches, contrairement à la vielle dame. Elle m'a traumatisé.

- Excusez-moi monsieur maths, mais je n'ai pas écouté ce que vous me disiez. Pouvez-vous répéter ? Avec tout le respect que je vous doit. Dis-je d'un ton moqueur.

Tout les regards se posèrent sur moi. Parfait j'adore me sentir intéressente. Même lui posait son regard sur moi. Ce fameux Scott. Que je ne connaissais très peux.
Le prof me regarde toujours ahuris par mon audace ? Si je peux appeler ça comme ça. Il exagère.

- Sortez de mon cours Angelina. Dit-il.

Parfait ! Cette journée va être incroyable. Je le sens. Je me relève de ma chaise avec tout leurs regards. Je pris mes affaires et partait vers la porte, avant de sortir je dis d'un ton joyeux:

- Merci, monsieur maths. Je n'attendais plus que ça, partir pour fumer un joint. Je suis très reconnaissante de ce que vous venez de me donner. Bisous. Dis-je en lui envoyant un bisous avec ma paume de main.

En ferment la porte j'ai pu entendre leurs voix. De ces salopes, qui commençaient déjà à me critiquer, car elles n'ont pas les couilles de venir me dire ce qu'elles pensent en face. Peut m'importe. Je m'en moque.
Je partais en direction du stade, je m'approchais des gradins, avant de mi assoir tout en sortant mon joint. J'avais besoin de sa fumée toxique pour me sentir bien. J'aimais ce ressenti que ça me procurait quand je le fumais.
Ça m'aidait ? Enfin je crois. Tout en profitant de ce sentiment de soulagement, une main se posait sur moi. Putain. Je me retourne quand je le vis. Ce jacob White de merde.

Je retourne ma tête avant de soupirer.

- Que veux-tu l'ami de Scott ? Dis-je.

Je l'avais vu à une soirée, où je devais accompagner Guzman. Il m'avait regardé avec insistance comme s'il voulait me voir à sa merci. Ça me répugne encore à l'heure d'aujourd'hui, ja savais que c'était son pote il fait parti de sa bande de chien. Il se lécha les lèvres avant de s'asseoir près de moi.
Je me poussais instantanément de lui, en laissant au moins 4 mètres. Bah quoi ! J'ai peur ok?

The Scott's rules ( EN PAUSE ) Where stories live. Discover now