le comte maudit

chapitre 23

Rougissante jusqu'à la racine un sourire béat se dessina sur ses lèvres encore une fois lorsque la phrase du comte résonna dans son esprit depuis maintenant une dizaine de minutes.

« l'Aphrodite qui honore mon buffet ce soir..» avait t'il dit

Aphrodite est une déesse de la Grèce antique qualifié comme la déesse de la beauté et de la sensualité. De son vivant sa mère lui racontait ces histoires.

Thalia se sentait fondre, jamais un homme le l'avait qualifié comme telle. Surtout un homme de l'envergure du comte.

Osant a peine le regardé elle aventura son regard vers le responsable de son trouble qui conversait dans un dialecte qui lui était inconnu sur la terrasse.

Plus elle l'observait plus elle se sentait vulnérable, mais en sécurité et Dieu qu'il était beau! Comment es-ce possible d'être aussi impressionnant et imposant sans avoir cet air féroce !?

Devenait elle folle!? Elle peinait de plus en plus a comprendre ces pensées.

Elle observa de nouveau autour d'elle, elle se trouvait dans un bureau au dimensions toujours aussi démesuré et au meuble deux fois trop grand pour elle.

Ils Finissaient a peine leurs dîner que l'homme qui les avaient accueillir vint quelque mots au comte qui après s'être excusé lui demanda de le suivre toujours sur les regards curieux qui les entouraient. Mais maintenant la voilà dans ce bureau a attendre qu'il terminé sa conversion téléphonique entamé depuis maintenant une dizaine de minutes.

Pour dire vrai elle se sentait bien plus a l'aise dans cette pièce où il y avait que lui.

« oh ma pauvre je peux savoir ce qui te prends !? » se gronda t'elle en faisant un tour sur elle même.

- Dio mio ! Sursauta telle. Vous....êtes là !?

- oui! Navré je ne voulais pas effrayé !

- je sais !!! c'est moi qui suis un peu susceptible!!! Fit d'un voie étouffer.

Sans mots il lui tendit un verre de vin puis se dirigeaient sur le balcon.

Savourant son verre de ses lèvres délicate, sa magnifique crinière rousse mêlé au vent, sa voluptueuse poitrine suivant le ritme de ça respiration, elle avait le regard braqué vue qu'offrait le balcon émerveillé par la multitude de lumière qui jouaient sur la ville.

- c'est magnifique ! Fit telle le regard toujours sur la ville..

- absolument ! Répondit le comte le regard toujours braqué sur elle.

*

*

- vous semblez différente. Fit le comte au bout d'un moment

- oh..je..

- lorsque vous ne revêtez votre chevelure brune. Vous semblez...

- vulnérable... Termina telle le regard toujours braqué sur l'horizon....

Le comte resta silencieux. Il pensais qu'elle développerai plus mais elle n'en fit rien.

- rentrons à l'intérieur vous risquez de prendre froid !

Il avait passé le reste de la soirée a discuté de tout et de rien, peu a peu elle avait finir par s'ouvrir et eu l'impression de revivre leur dîné dans son séjour.

A aucun moment il avait eu envie d'écourter leurs conversations, sa voix, son rire vrai et sincères sonnait comme du Mozart a son ouïe et sa présence appaisait des démons, il était encore une fois subjugué par ma la maturité de ses propos et en même par ses réflexions complètement enfantine. On aurait dit la boîte de Pandore.