chapitre 21

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         Cérémonieux, voilà a quoi ressemblait le déjeuner qu'il prenait. Miss Torelli assise à sa droite portant si délicatement sa voluptueuse crinière rousse descendant en cascade le long de sa silhouette, mangeait avec une nonchalance qui jusque là, lui était étrangère.

      Elle semblait timide, beaucoup trop timide voir gêné de sa personne.
Tout le long du petit déjeuné elle lui adressa a peine la parole, lui posait aucune question, pas de crit , levant a peine le regard vers lui, pas même un sourire ou une reproche! Rien. Juste les politesses. Lui qui pensait qu'elle l'aurais accablé de questions. Elle n'en fit rien.

     Le même scénario se produit s'y au déjeuner. Elle s'était contentée de mangé en osant a peine croisé son rega.....

- votre grâce !?

Flavio se tourna a l'encontre de marìa qui venait de faire taire ses réflexions.

- marìa!

- je vous apporte un café.

- merci. Fit simple en dévihant son regard vers la grande baie vitrée qui siégeait dernière lui.

      Miss Torelli... pensa t'il. elle qui était si différente depuis son arrivée au point où il avait l'impression d'avoir en face de lui une autre personne. Une jeune femme timide, extrêmement timide, on croirait qu'elle avais de lui une certaine crainte.

Serait tel en mauvaise santé ? Celà expliquerait son changement de caractère.

- serait t'elle en indisposée?

- heu...non monsieur.

- me crains t'elle ? Lui avez vous....

- bien-sûr que non vôtre grâce ! Jamais je n'aurais posé une telle action !!

- je sais Maria! Pardonné moi!

- monsieur.. fit Maria sur le départ. Je pense que cela pourrait être dû au manque d'air frais.

*

*

*

Posant le pied dans la neige , Thalia peinait encore à comprendre l'action du comte. Il l'avait laissée sortie de la suite. Sans aucune raison . Maria lui avait demandé de se vêtir chaudement puis elle avait été escorté le long d'un couloir puis un autre puis un ascenseur et encore un autre pour afin se retrouver  dans une sorte de jardin privé toujours dans l'enceinte de l'hôtel.

Le paysage dans lequel elle se tenait était tout simplement féerique , elle avait l'impression d'être au pays des merveilles. Devant elle se tenait d'un côté une magnifique roseraie recouvert par la neige, le l'autre un petit lac, des arbustes tous  recouvert par la neige.

C'était tout simplement magique.

Elle regarda autour d'elle, Exception du jeune homme qui l'accompagnait elle était seule, seule dans un magnifique jardin enneigé sous les faibles rayons de soleil.

*
*

Timidement elle se rapprocha du banc en fer forgé après avoir quelques peu parcourue le paysage des yeux.

- le paysage est t'il a votre convenance ?

La voix suave et inattendu du compte la fit sursauter

Elle se retourna et le vit dans toute sa splendeur toujours aussi charmant et distingué.

- Mon...sieur.... Fit elle en détournant le visage se sentant rougir.

- puis-je ? Fit il en indiquant le siège près d'elle

- eu.. bien-sûr..

- merci. Fit il simplement en prenant place .
 

Un long moment passa sans qu'aucun d'eux daigne placé un mot.

Ils étaient calmement assit l'un près de l'autre savourant se merveilleux silence et calme qui régnait autour comme si la simple présence de l'autre suffisait a calmé les tourments de chacun..

Aussi près d'elle Thalia , de par sa présence viril et imposante , son parfum boisé, elle avait l'impression que le temps s'était arrêté , que tout était à sa place , elle se sentait rassurée et en sécurité , inatteignable.

Un sentiment qui l'inquiétait a vrai dire. Car une question lui taroudait l'esprit. « que ferai telle s'il n'arrivais a l'aider ? serait telle capable de partir comme elle lui avait dit ?.» sûrement qu'elle s'inquiétait pour rien peu être même il avait déjà trouvé une solution elle d'où son voyage précipité.

- votre voyage !? C'est il bien passé ? Il devrait être urgent pour que vous partiez ainsi! Fit Thalia pour rompre le silence les mains complètement moite.

La question tant attendue était enfin posé pensa le comte. Seulement comment lui dire qu'elle était à la fois la raison de son départ et de sa venue. Qu'il était parti pour trouvé réponse à ses questions sauf qu'il était revenue avec encore plus de questions.

Il était parti pour s'éloigner d'elle et qu'il était revenue parce qu'il avait besoin de ça présence à ces côtés. Elle le prendrai sûrement pour un fou pervers !

Il détourna son regard vers elle , elle avait posé la question sans lui jetée un seul regard.

Depuis son arrivé , la veille elle le fuyait presque.

- oui , sans encombres.

Aussi étonnamment pour lui elle se contenta de cette simple réponses.

*
*

Le coeur battant a la chamade elle le rejoignit dans son bureau. Plutôt Maria l'avait informé que ce soir elle et comte dînerai dans un restaurant.

Elle n'étais ni a l'aise avec cette ni d'accord. Elle évitait au maximum les endroits UP car c'est ce genre d'endroit que fréquentes  leopoldo mais après avoir longuement discuter avec Maria elle avait finir par accepter en plus elle ne voulait pas contrarié le comte.

Prennant son courage a deux mains elle frappa a peine et entra dans le bureau.

- voilà je suis prête monsieur on peut y allé !

Flavio releva la tête et aussitôt son visage se crispa

Miss Torelli en face de lui, ressemblent à ..... Miss Torelli. L'ange pas la déesse de qui , il était en compagnie des heures plus tôt. 

Revêtant sa chevelure brune, elle portait en plus de cela une simple robe une fois trop grande pour elle . Elle était certe belle mais il lui manquait un truc. Ce truc qu'il avait vue en elle quelques heures plus tôt. Là, elle donnait l'impression d'être sortie un vieux films des années soixante.

Aussi elle semblait avoir retrouvé ça force et sa vivacité. Au point de croire qu'il était face à une autre personne.

Coupant sa conversion téléphonique il se leva et vint s'adosser à son bureau face à elle.

Elle eu l'impression de perdre le souffle tant il était parfait dans son smoking bleu marine , chemise bleue Ciel, bouton de manchette, un montre au poignet sans oublié la légère chaîne au cou et sa magnifique barbe de trois jours soigneusement taillé. il y a pas à dire cet homme et la représentation d'un subtile mélange d'élégance, virilité, classe, beauté. Ces fou qu'il était parfait.

Adossé nochalement contre le bureau les mains dans les poches, il arborait sur elle un regard qui la fit frissonner.

- ou comptez-vous allé ainsi vêtu ? Fit le comte en la sortant de sa rêverie.

le comte mauditWhere stories live. Discover now