chapitre 22

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Avant qu'elle ne puisse répondre le comte l'avais entraînée vers sa chambre en demandant à marìa de faire venir un certain Raphaël.

Elle voulu lui posé une question mais fut stoppé la sonnerie de son téléphone. Le compte s'excusa puis s'éloigna afin de répondre.

Quelques minutes s'écoulait lorsque Marìa entra dans la pièce en compagnie d'un jeune homme a l'allure assez particulière.

- Dio mio !!! un tale spreco !!! Fit le jeune homme en la regardant sans savoir quel comprenait ces dires. C'è lavoro!! 

- du boulot !? Marìa de quoi parle t-il !?

- ne vous inquiété pas tout ce passera bien.

Elle regarda autour d'elle mais le comte était déjà partie. Elle ouvrit a peine la bouche pour protesté qu'il fit entré une petite armée dans la pièce.

- Va bene iniziamo piccola!! .. fit il en refermant les portes sur Marìa.

*

*

*

Cali s'observa dans le miroir et eu du mal à croire. Elle étais tout simplement ..... Belle... Et pour dire vrai c'était la première fois qu'elle se trouvait belle.

- Allora mia cara, cosa ne pensi?

- je .... Euuu.. .. Merci beaucoup....fit elle les larmes aux yeux..

*

- veuillez déplacé la réunion de demain dans la soirée, oui je .....

Sa phrase resta en suspens lorsqu'il la vit dévalé les escaliers.

Les épaules dévoilé par la coupe en V du corsé a long manche laissait entrevoir la naissance de sa poitrine généreuse poussant à la curiosité et l'imagination a dévalé les falaises, mettant en exergue sa très fine taille elle descendait en cascade jusqu'au sol, et cette fente qui exhibait sa magnifique jambes.

Son regard remontait jusqu'à sa chevelure, sa magnifique chevelure rousse qui l'avait si tant émerveillé, tiré en arrière qui descendait en cascade jusqu'au creux de ces reins et ses yeux couleur émeraude souligné d'un léger trait noir, ce regard qui fuyait le sien comme s'il avait peur de son jugement, sans oublié ses lèvres, ses délicate et pulpeuse qui était peinte de la même couleur que sa robe.

Encore une fois le comte eu l'impression d'être face à une tout autre personne.

   .

- Monsieur !! Vous êtes là !???

- oui! Je vous reviens plupart. Fit il en raccrochant le téléphone.

D'un pas existant elle descendit les marches sous le brûlant regards du comte.

- vous êtes magnifique. fit le comte en l'aidant à descendre la dernière marche.

Rougissante jusqu'à la racine elle ne pu répondre que par un sourire timide.

Sans mots ils descendit dans une sorte de garage privé ou les attendait une magnifique berline argenté.

Le trajet dura une trentaine de minutes dans un silence absolu. Thalia, elle se contenta juste de regadé la ville a travers la vitre en se remémorant les dires du comte.

- Miss !? Nous s'y sommes. Fit le comte en la sortant de sa rêverie.

Descendant, il fit le tour afin de l'aider à sortir.

Thalia fut impressionné par l'envergure de la structure, elle était immense, grandiose, exhibant sa luxure même de l'extérieur exactement le genre d'environnement qu'aimait fréquenté Leopoldo. Machinalement elle fit qu'elle pas vers l'arrière mais fut rapidement arrêté par le comte qui avait suivi ses mouvements.

- soyez sans crainte, personne ne vous fera du mal ici. Vous avez ma parole! Fit il en la regardant droit dans les yeux.

Sans savoir pourquoi cet acte la rassura presqu'aussi tôt. Ensemble entrait dans la bâtisse et elle fut bluffer par la splendeur des lieux. Tout était magnifique, débordant d'opulence extravagant sans pour autant être vulgaire. Elle eu l'impression d'avoir vaciller dans un monde de luxure inqualifiable. C'était de loin le plus extraordinaire des endroits qu'elle avait vue de toutes son existence. Rien avoir avec les casino où elle était allé avec Leopoldo.

Inconsciemment sont regarde se déporta sur le comte qui semblait indifférent à tout ces artifices qui l'entouraient . En même temps ce que normale il devrait sûrement être un habitué des lieux au vue de comment l'on les avaient accueillir.

Respectueuses elle répondit a la salutation se l'homme qui les avaient accueillir entouré deux hôtesses tout aussi attrayante que la luxure qui les entouraient, il  semblait être leur superviseur ou le responsable en chef du casino.

Après avoir présenté ses respect au comte il s'exortat a le suivre tout en débutant une conversation des plus banals. Instinctivement elle fit deux pas en arrière pour leurs laissé une forme d'intimité mais fut rapidement rattraper par le comte qui l'avait saisie par la taille la maintenant ainsi au plus près de lui.

Parcourus par un frisson elle pria le ciel pour qu'il ne remarque pas son trouble.

Après avoir parcouru quelques couloirs et un ascenseur il entrait dans une pièce au décor complètement différent de ce qu'elle venait de voir. Calme, distinguées baignant toujours dans opulence  mais plus sobrement.

Cet décor était complètement à l'image du comte. Même les gens qui y siégeaient était complètement différent de quelle avait pu observer quelques minutes plutôt.

Il semblait plus....« riche » tout simplement pensa telle en les observant plus attentivement.

La pièce était immense, il y avait un bar , des salons et salons privés des tables de jeux et une sorte d'espace pour se restaurer. On aurait dit un club privé. Oui! C'est celà un club privé et pas des moindres le genre de club dans lesquels Léopold rêverait et ferait tout pour y entré quitte à vendre son âme au plus offrant.

Guidé par le comte il se dirigeait vers le côté restauration et s'installèrent a la place qui semblait leur être réservé.

Après l'avoir aidé à s'installer le comte plus tandis un verre d'eau qu'elle bu a grosse gorgé. Il l'avait sentir se crispé dès l'instant où ils avaient investir les lieux.

- vous allez mieux !?

- oui merci monsieur... Tout le monde vous regarde fit elle après quelques minutes la tête complètement baissé

- vous pensez !?

- ... Si je vous... Assure. Fit telle la tête toujours baissé regarder par vous même.

- oui vous dite vrai ! Dit le comte de voix calme après quelques secondes,

il avait prononcé ces quatre mots tellement calmement quel fut de nouveau traversé par un frisson lorsque son regard s'ancra dans le sein

- ce  n'est que normale, vue l'Aphrodite qui honore mon buffet ce soir.

Termina le comte de sa voix suave le regard toujours dans le sien.

le comte mauditWhere stories live. Discover now