le comte maudit

chapitre 14

« comment ose t'il ? » pensa Thalia .

Elle lui avait pourtant fait comprendre qu'elle pouvait se débrouiller seule mais rien a faire. Il refusait de la laissé partir et l'avais ramener de force dans se hôtel !!

Elle avait tenté de s'échapper mais rien a faire , parce qu'en plus de n'avait qu'une seule entré en plus il y avait deux gardes et un dans le salon qui suivait chacun de mouvement !!

Elle voulait être n'importe où sauf en Italie ! Elle s'avait que se n'était plus qu'une question de temps avant que ce monstre ne la retrouve !

- depuis quand l'on aide une personne contre sa volonté ??

En plus n'avais ni argent ni téléphone a sa disposition.  En colère elle avait décidé de s'enfermer dans la chambre après avoir fais mille et une scène aux qu'elles il est resté complètement indifférent.

Allongé sur son lit , elle ferma la yeux.
Le visage du comte lui vint en mémoire. 

« c'est fou comme il beau » pensa t'elle « et terriblement silencieux »

Elle s'adossa contre le lit , et se refais ces dernières quarente-huit heures dans sa tête

En y repensant , c'est vrai qu'elle l'avait entendu très peu parlé même lorsqu'elle avait surpris leur conversation, souriait a peine , et étai très isolé. 

- qu'il est bizarre !

Durant tout le vole il s'était contenté de travailler sur son ordinateur, et a chaque fois qu'il devait passé un appel il lui m'étais du scotch sur les lèvres puis l'enlevait avec une grande délicatesse a chaque fois qu'il terminait son appel .

- bizarre et psychopathe !!

*

*

Après l'avoir pratiquement ligoté au siège de l'avion , Flavio passa le voyage le plus mouvementé de sa vie, cette jeune femme était doté d'une endurance sans nom.

Elle avait parlé , jacascé et crié supplier , elle lui avait même fait proposition qu'il ne saurait qualifié. Il existait entre deux qualificatif. Fou ou stupide a bien réfléchi plutôt les deux.

Maintenant elle c'était réfugié dans la chambre qu'il lui avait attribuée après avoir tenté une médiocre évasion.C'est presque dix heures de voyage aurait dû l'épuiser mais non!  Contre son gré il l'avait ramenée dans l'appartement où elle fait un “ boucan ” pas possible le menaçant même de faire la grève de la faim. 

L'ignorant comme depuis le début de leur rencontre , il donna quelques instructions à la gouvernante de l'appartement ainsi qu'aux gardes avant de s'en allé .

Flashback

- Monsieur !! Monsieur !! Monsieur le comte!! Venez je vous en prie !!! S'il vous plaît !! S'il vous plaît !!!

Après avoir répété cette phrase plus d'une dizaine de minutes, le comte abdiqua et vin s'assoir en face d'elle !

- que désiré vous ? Fit il calmement.

- m'en allée !! Écoutez je ne peux pas retourner en Italie, s'il vous plaît laissé moi m'en allé !!

- je suis vraiment désolé mais votre requête ne sera pas possible exécuter. Fit il avant de se lever

- attendez attendez attendez !!! Asseyez vous !! S'il vous plaît !! S'il vous plaît !!! Merci... écoutez le principe d'une aide c'est que celui dans le besoin le veuille ! Seulement moi je ne veux pas de votre aide !! Laissé moi simplement m'en allée !! Je suis sûre que avez mieux à faire..

Sans lui répondre il se leva et partie.

- je .. je vous payerai !!! Beaucoup d'argent !!!

Intrigué Flavio reviens sur ces pas et s'accroupit a son niveau !!

- et comment ferai vous celà ?? Vous ne possédez aucun biens

-.... Et. Eu .. j'ai des économies !! Je vous les donnerai et je travaillerai ! Je vous le promets !!!

Elle disait ces mots avec tant de désespoir qu'un sentiment jusque là inconnu lui comprima le cœur..

- j'admire votre courage et votre détermination, mais c'est or de question que je vous laisse vous en allée .

Suite à celà il la laissa seule en retournant à son occupation.

Fin du flashback

- vôtre grâce !! ! Je ne vous savais pas en ville, J'aurais été prévenue de votre arrivée que je vous aurais préparer vôtre suite. Désirez vous quelques choses ??

Répondant d'un simple signe de main , Flavio continua d'avancé en ces lieux qui était les siens.

Son casino était de loin le plus grand , luxueux de ce côté de l'Europe. Il était fréquenté par les plus grandes fortunes qu'avait se monde.

Prennant congé de son directeur , il se dirigea vers un salon privé “ VIP .”

- Flavio!! Je commençais à m'inpatienté .

- navré , j'ai eu un contre temps.

- voilà ! Ton contrat de mariage !! Je me suis permis d'ajouter quelques clauses afin de te mettre à l'abri d'un éventuel procès ou chantage.

- bien! Merci. Je voudrais que tu me prépares aussi des documents pour un divorce.

Gustave éclata de rire.

- tu ne t'ai pas encore marié que tu souhaites déjà divorcer !

- pas pour moi , plutôt un certain Léopoldo Gallo et miss Thalia Torelli. D'ailleurs le connaîtrais tu a tout hasard ? Son patronyme m'est familier seulement je peine à me souvenir

- eu... Oui oui , il y'a quelques années à Dubaï, lorsque tu a racheté ce building.

- soit plus précis s'il te plaît.

- celui de Razack . L'homme qui voulait a tout pris l'achété a la banque ! C'est même pour cette raison que razack t'avais contacté.

- oui je m'en rappelle.

- mais pourquoi tu prépares ces documents de divorce.

Flavio lui relata brièvement la situation.

- pauvre petite. Laisse moi quatre jours et tu les auras.

- bien.

- tu l'es passera ici à Londres où???

- pour l'instant oui .

Ils discutait encore quelques instants puis Flavio pris congé .

*

*

Près de deux de temps qu'il l'observait , il était venu dans sa chambre après avoir été encore une fois réveillé par ces tourments

Un léger , sourire se dessina sur ces lèvres , elle dormait si paisiblement qu'on aurait dit un ange.

La vie était bien étrange, leur était complètement à l'opposé. Elle fuait un mariage sans amour et lui en cherchant un . 

Elle était tellement a l'opposé de toute ces femmes qu'il fréquentait jusque là a l'exception de Maïssa, surtout de la femme qu'il s'apprêtait à épousé.

Elle avait l'air si.... innocente...

Épuisé par ces propres réflexion il termina son verre et le leva.

- pi...tié. .... Pitié.. s'il te plaît.... arrête ...ne me frappe pas !! J'ai mal.... Pitié...

Flavio c'était rapproché du lit et constata sa belle petite furie endormie les larmes coulant sur ces joues en se pliant sur elle même , tremblant comme une feuille en répétant ces mots.

Ce fut jusque là le sentiment le plus désagréable qu'il ressenti de toute sa vie. Bien plus intense que sa propre douleur a son plus grand étonnement.

Lui caressant le front et pris place au près d'elle .

Cherchant un réconfort , elle sera contre lui toujours aussi profondément endormie....