chapitre 7

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- Lauraina t'aimais comme une folle ! Mais toi tu la brisé.

- je...

- tu ne l'a pas assez aimé !

- je l'ai aimé comme j'ai pu !

- et bien se n'était pas assez ! Maintenant elle est morte !

- arrête !

- tu l'a tué !

- il suffit !!

- tu l'a tué Flavio ! Regarde!! Tu l'a tué !!

Flavio de se tourna et sans qu'il ne puisse bougé cette dernière se fit renversé par une voiture

- laurai....non!!!!!!!!!!!

- tu l'a tué !!

- non!! Non!!!

Le comte se réveilla en sursaut le front empli de sueur.. . Une pénombre du a l'épaisseur des rideaux régnait autour de lui. Vêtu de son pantalon de lin il vint se servir un verre et s'assit dans le canapé afin de retrouver ces esprits.

Ces cauchemars devenait de plus en plus fréquents et intense, tout sa lui devenait de plus de en plus difficile..

Interpellé par la sonnerie de son téléphone , il répondit.

- claire ? Que me voulez-vous?

- celà fait quatre jours que vous êtes dans se pays...

- il y'a t'il un problème ?

- non bien-sûr que non! Seulement , votre grâce, je me demandais juste quand reviendrai vous ? Nous avons encore un amat de problème a régler pour le mariage.

- tel que ?

- eu... La date, le lieu, le déroulement, et ...le contrat de mariage..

- je vois ! Tout cela ne son que détails que je règlerai a mon retour. Concernant le contrat n'ayez crainte , il est en rédaction.

- eu...je...eu..

- si se n'est tout , bien je prends congé de vous.

Sans lui laisser le temps de répondre il raccrocha le téléphone et s'adossa dans le canapé.

Quatre jours ! Quatre magnifique journée qu'il avait passé en de bonnes compagnie. Tellement belle qu'il en avait même oublié sa terrible et triste destiné.

- Flavio , mon très chère comte, la froideur, la tristesse et l'obscurité que tu émane font partie des choses que j'adore chez toi! Fit Ivan qui venait d'entrer dans ses appartements sans frappé, s'installant royalement face à lui.

- je t'en prie, prends tes aises.

- je t'en suis gré. Répondu le russe faisant mine de ne pas percevoir le sarcasme.

- tu daigne enfin te montrer !? Ou était tu passé durant ces deux jours

- j'avais deux trois trucs à régler, par-ci par-là .

- voilà qui est claire, tu en a terminé j'en déduit ?

- pas totalement, seulement ta froideur me manquait tellement que je suis revenu. N'est-ce-pas là une démonstration de mon affection pour toi ?

- tu es si attentionné. Cela m'honore .

- moi qui pensais que ce séjour t'aurais apporter calme, je te trouve ici dans cette pénombre à ruminer je ne sais quoi.

Face à cette remarque le comte resta silencieux.

- Flavio ! Mon ami. Dit moi que tu compte rénoncé a cette follie !

le comte mauditWhere stories live. Discover now