ଘChapitre XXVIII

151 8 6
                                    

C'était la question.
Nous étions dans la forêt tous ensemble, à discuter de ce que nous devrions faire.

Nagisa : On ne doit pas le tuer.
Terasaka : C'est notre mission !
Okada : On s'est entrainé toute l'année pour ça.
Itona : On doit le tuer.
Maehara : Mais- après tout ce qu'il a fait pour nous...
Isogai : J'aimerai le laisser en vie.
Karma : sérieux ?
Moi : Je veux le laisser en vie moi ! Il nous a tous aidé et soutenu cette année, pourquoi on le ferait pas en retour ?
Karma : On s'est pas entrainé pour rien.
Terasaka : Et on a demandé l'argent a gagné
Itona : Le gouvernement nous a fait confiance
Nagisa : On le tuera pas. On vous en empêchera.
Moi : J'suis d'accord.

Le professeur Karasuma nous ayant entendu, sorti de derrière les buissons.

Karasuma : Et si on faisait un jeu ? Paint ball ? Deux équipes chacune une couleur. Quand une équipe est éliminée, l'autre gagne. Si l'équipe de Karma gagne, on le tuera, si l'Équipe de Nagisa et Akiko gagne, on le sauvera. Je suis prêt à négocier avec le gouvernement.

Nos équipes étaient déjà faites, et étonnement égales en nombre sur les deux idées. Nous étions en rouge et eux bleu. Nous avions un micro pour communiquer entre nous, des armes et pleins de billes de peinture. Nous avions également chacun une stratégie, des positions, et des snipers.

Karasuma : Si tout le monde est prêt, Ça... Commence !

De suite, des personnes de chaque équipe se disperserent. Je suis restée en haut du plus grand arbre, ayant une vue périphérique. J'ai lancé une ville en arrière ayant entendu un bruit. C'était Itona-

Moi : Pas très discret.
Itona : Bien vu, mais fais gaffe aux autres, ils sont forts...

Il reparti aussitôt. Je voyais peu, mais voyais tout de même, à travers les buissons les combats, snipers, personnes cachées. J'ai visé, tiré et paf... Dans le mille. Une de plus éliminé. Beaucoup, que ce soit de l'autre équipe ou la notre, étaient éliminés. Le stress montait. Je devais me cacher pour que si toute mon équipe perde, il y ai encore une chance. Je changeais d'arbre de temps en temps car à chaque fois que j'en éliminais, ils pouvaient fuiter ma position.
Je regardais les alentours, puis vis sur le côté, assis, quasiment toute la classe. Et soudain, un cri.

Karma : Je sais que tu m'entends. Copine ou pas, aucune pitié. Il ne reste que toi et moi. Descends, ne me vise pas de la ou tu es, il y aura moins de fierté à gagner tu crois pas. Je lâche même mon flingue, on le fais au couteau.

J'ai cédé, pris un couteau plein de peinture, et en ai caché un petit dans mon t-shirt. J'ai sauté et suis entrée dans la grande clairière. Les autres étaient sur le côté, les professeurs regardaient, tous impatients de savoir le gagnant.

Moi : Retourne toi idiot.
Karma : Toujours aussi agréable bébé.
Moi : beurk, il est vraiment horrible ce surnom.
Karma : Pardon, je voulais dire Koko.
Moi : C'est mieux.

Je me suis jetée à son coup, mais malheureusement, il avait de très bons réflexes. Plusieurs coups ce sont échangés des deux côtés. La peinture giclait de partout. Il fait voler mon couteau plus loin, je n'ai pas eu le temps de le récupérer. Les professeurs regardaient attentivement le combat.
Karma eu alors un moment d'inattention. Je pus le pousser à terre, m'assayant sur lui, lui bloquant les bras. J'ouvris mon t-shirt à un main en m'aidant de mes dents pour l'arracher et accéder au couteau. J'avais bien fais de porter un soutif ce jour-là.

Maehara : Elle nous fait quoi là-
Karasuma : Ne vous faites pas d'idées, elle avait un couteau dans son t-shirt regardez bien. Mais à une main c'est dur, elle a dit arracher le t-shirt pour y accéder.
Terasaka : N'empêche...
Rio : Vous êtes dégoûtants les garçons.

Je me suis allongée sur lui, prenant son bras de l'autre côté, lui compresseur la carotide. Heureusement, en manque d'air, il ne pouvait pas regarder... La...
J'avais mon couteau dans l'autre main et commençais à l'approcher, mais la fatigue prenait le dessus et avait du mal à préparer ma position pour bien le toucher. Il eut le temps de le jeter plus loin, mais je ne pouvais point le reprendre. J'ai simplement appuyer fort, il n'avait presque plus d'air et avait peur de le faire passer en apnée...

Karma : L-lache... T'as gagné...
Moi : *me relève* T-tu va bien !?
Karma : Oui oui, un peu de mal à respirer mais*tousse* tu es très forte Koko. Je suis fier de toi tu sais. Mais tu fais profiter le dessous de t-shirt aux autres, normalement c'est que pour moi.
Moi : Oui- Merci déjà et ensuite je n'ai rien d'autre.

Les professeurs vinrent nous voir.

Karasuma : Bravo à vous les enfants et à vos équipes. Vous avez tous bien travaillés. Karma tu as besoin d'aide ?
Karma : Non ne vous inquiétez pas.

Il s'est relevé et à posé sa veste sur mes épaules, puis à sourit.

Karasuma : Nous ne tueront pas Mr Koro le 13 mars. Cependant vous devrez tout de même continuer à essayer. Mais si le 13 mars il n'est pas mort, nous le laisseront en vie.
Koro: Je viendrais vous faire classe l'an prochain si je suis toujours en vie, ce qui risque d'être le cas vu votre incapacité à me tuer chers élèves.
Karma : Il nous cherche là-
Moi : Tout compte fait, j'vais bien le tuer.

Ce fut un moment décisif, divisant, mais qui nous a étonnement rapprochés et retrouvés entre nous. Le Koro nous peovoquait, ce qui nous donnait envie de le tuer... Mais bon, ce fut drôle.

{Le soir}

Moi : Karma...
Karma : Mmh ?
Moi : Demain on doit faire nos voeux, et dire au professeur Koro ce que nous voulons faire pour avoir son avis et suggestions.
Karma : Oui je sais.
Moi : Dis, tu voudrai faire quoi ?
Karma : Politicien ? Je pense que frère faisable, dit-il ramenant un plateau de biscuit.
Moi : *me relève du canape et m'assois droite* oui ça t'irai bien ce métier.
Karma : Et toi dit-moi ?
Moi : Je ne sais pas...
Karma : Tu sais en vrai t'as le temps.
Moi : Oui mais bon.
Karma : Toi j'te vois bien près de enfants. Maitraisse ou même professeur en université mais enseignante et auprès des enfants.
Moi : Ah oui ? J'aime beaucoup apprendre et les enfants mais tu pense que je serais une bonne institutrice ?
Karma : J'en suis même sûr.
Moi : T'es adorable. Et toi tu sera un super politicien ! Même si je sais pas ce on fait dans ce métier.
Karma : C'est ennuyant mais bon, beaucoup mieux que les autres métiers je trouve.
Moi : Si tu le dis, c'est que c'est sûrement vrai je pense.
Karma : En attendant, j'ai préparé des biscuits et gâteaux alors tu dois les manger !
Moi : Oui chef.

{Le lendemain}

J'étais étonnement à l'heure. Chacun avions un rendez vous avec notre professeur aujourd'hui et ne venions que pour ça. Je vus Nakamura partie très contente et le souhaita bonne chance. Je suis entrée dans la salle, ai salué Mr Koro, me suis assise et la discussion à débutée.

À suivre...
(1993 mots)

ଘPris sous son aileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant