ଘPris sous son aile

ଘChapitre XXI

Je ne pus finir ma phrase qu'il mis ses mains sur mes hanches, en me serrant fort contre lui. Ses lèvres se posaient sur les miennes. C'était tendre et agréable, il passait sa main si douce sur ma joue. Je me suis laissée emportée par ce baiser d'amour si... Magique ʚ♡⃛ɞ...

Ses lèvres se sont retirées délicatement, puis il dit :
Karma : Je suis Désolé, je t'aime ma Koko...

Je devenais rouge, min coeur battait fort, mes mains tremblaient. Je pensais que cela n'arriverait jamais. C'était comme un rêve, enfin j'y avais pensé... Je n'etais pas déçue au contraire, j'étais aux anges... Il retira une nouvelle fois ses lèvres et me dit un énorme câlin, il était triste.

Moi : Karma... Tu m'aime ?
Karma : BIEN SÛR IDIOTE !
Moi : Mmmh...
Karma : je ne peux pas te lâcher.
Moi : Je vois ça. ╥﹏╥

La soirée fût géniale. On s'est endormie devant la télé très tard. On ne faisais que rire et parler de tout et rien. Il n'y avait rien d'officiel entre nous, on ne s'était pas mis d'accord.

{Le lendemain}

PDV Karma

Je me suis réveillé sur le canapé. Elle dormait encore, tel un ange. Je me suis mis à côté pour la réveiller doucement. Je lui chuchotais des choses à l'oreille. Ce qui... La réveilla... Un peu, abasourdie. Elle venait de comprendre ce que je disais. C'était drôle elle avait eu peur.

PDV Akiko

Il venait vraiment de me dire ça pour me réveiller ?! Quel fou j'étais devenu rouge j'avais eu peur. ╥﹏╥
Nous sommes allé à la maternelle ensemble, ça faisait longtemps.
J'ai tout raconté à Nakamura et Maehara.
Ils étaient excités de tout savoir et voulaient tous les détails.
Ils savaient que rien n'était officiel mais ils me poussaient à aller lui demander pour savoir mais je n'osais pas.
La journée s'était passé normalement. Il ne restait qu'une journée.
Nous avions tous hâte de retourner au collège, reprendre nos entraînements et cours si cools. Revoirs notre classe petite et vieille mais si attachante.

{Le lendemain}

Nous avions fais la super surprise au vieil homme pour sa maternelle, la petite s'en sort beaucoup mieux à l'école, nous avons tous renforcés nos liens, et peu de gens le savent, enfaite deux seulement, mais Karma m'a embrassé...
Ce fut tellement bien ! Nous avions beaucoup apprit également.
Nous avions eu un week-end de trois jours car nous étions très fatigués.

Je me souviens avoir dormi presque tous le week-end, je mangeais et dormais. Je ne sais pas exactement pourquoi, bien sûr j'étais fatiguée de la semaine mais bon. Aujourd'hui je sais pourquoi, je voulais simplement reculé le moment pour parler de notre relation avec Karma, j'avais peur, était stressée, n'avais jamais eu affaire à ces histoires.

J'avais découvert l'amour et la haine, la complexité de ces sentiments et leur biens êtres. La peine de coeur lorsque Alizée est arrivée, je ne le savais juste pas sur le moment, et maintenant j'allais connaître le couple, la relation avec la personne que tu aime.

{Dimanche soir}

J'étais sur le canapé tranquillement en train de me reposer, oui, encore, quant il fut Irruption dans la pièce.

Karma : Akiko ?
Moi : Mmmh ?
Karma : Tu crois pas qu'on devrait parler ?
Moi  : Hum je peux te raconter mon rêve si tu veux ?
Karma : Non enfin si j'ecouterai avec plaisir vraiment mais je parlais de quelque chose plus précis.
Moi : Les nuages ?
Karma : Akiko t'es sur tu va bien ?
Moi : Oui je- un peu fatiguée sûrement.
Karma : Tu as dormi tout l'après midi, comment peux tu être fatiguée ?
Moi : Dormir fatigue mon gars.
Karma : Bon revenons en au fait.
Moi : je vois pas de quoi tu parle.
Karma : Le baiser ? Ce que je t'ai dis ?
Moi : *rougis* je- je sais pas. Je comprends pas de quoi tu parle.
Karma : J'vais te le rappeler alors.

Il s'est approché pour embrassé mais je mis un coussin entre lui et moi.

Moi : Q-qu'est ce que tu fais !?
Karma : Akiko bon sang arrête ! Tu sais très bien de quoi je parle.
Moi : *regarde ailleurs en jouant avec le coussin* je vois pas ce qu'on doit dire à ce sujet. C'est arrivé et donc ?
Karma : Tu t'en fous ? Pour toi c'était juste un baiser simple ? Sans sentiments ? Sans rien ?
Moi : Bien sûr que non !
Karma : La question est simple, est ce que tu m'aime ?
Moi : *rougis fortement et regarde dans le vide*
Karma : Akiko ? Pourquoi tu réponds pas ?
Moi : *mets ma tête sur le coussin* Pourquoi tu veux savoir ?
Karma : En général quand ces scènes se produisent, les personnes s'aiment, et finissent en couple.
Moi : Je ne sais pas... *pense : Idiote ! Idiote idiote idiote !! Tu l'aime tu lui dis ! *
Karma : J'te laisse le temps t'inquiète pas.

Il me caressa la tête puis reparti, un peu déçu. Mais qu'elle idiote étais-je ! Je vous jure je n'avais rien d'autre à dire que : je t'aime. Ce n'est pas dur pourtant ? J'étais vraiment un boulet... J'avais au moin le temps de me préparer à lui dire, c'était déjà ça je suppose ? Bon, je rougis sais encore mais cela se voyais beaucoup moin.

{Le lendemain}

J'étais si joyeuse ! Hier m'avait stressé et excité donc j'étais dans c'est état.
On était le 14 octobre, soit 4 jours après l'anniversaire de Mme Pouffe. Celle-ci arrive furieuse mais je sentais une once de tristesse. Elle marchait la tête haute, les talons faisant un de ces bruits, le visage faché et dents serrées. On avait peur de l'approcher.

Mme Pouffe : *chuchote* Il ne m'a rien offert ni dis, j'en étais sûre...
Okuda : Ho mais oui ! C'était l'anniversaire de Mme pouffe le 10 octobre, il y a 4 jours.
Moi : Elle doit parler de Karasuma.
Isogai : J'ai une idée !

{À la pause méridienne}

On avait donné un bouquet à Mr Karasuma pour l'offrir à Mme Pouffe.
Nous étions tous à la fenêtre en train d'observer la scène.

Karasuma : Mme Pouffe, j'ai un cadeau.
Mme Pouffe : S-serieusement ?
Karasuma : Oui, voici un bouquet, pour votre anniversaire. Je sais qu'il était il y a 4 jours et je m'en excuse. Prenez le.

Elle changea d'un coup d'expression. Elle apart à la fenêtre, un couteau sorti de sous sa jupe à la main.

Mme Pouffe : J'en étais sûre. Les mômes étaient derrière. Vous ne m'auriez rien offert si les enfants ne s'en étaient pas mêlés. Suis-je bête d'avoir pensée que vous l'auriez offert ça. J'en ai ma claque d'être prof dans ce collège, à enseigner à des gamins pareils sans récompense, ignoré de vous Mr Karasuma, tout ça pour tuer un poulpe idiot. Je m'en vais, j'en ai marre d'être traité comme ça, et n'esperez même pas que je revienne. Pfff

Elle claqua la porte et partie sans se retourner. incroyable, personne n'aurai jamais cru qu'elle ferait ça.
Karasuma nous dit qu'elle reviendra au bout de deux jours mais non, nous étions déjà vendredi après midi, elle n'était pas la. Aucune nouvelles d'elle. Le proviseur n'en avait pas non plus, personne. Elle avait complètement disparu.
Nous étions en classe en train de parler lorsque quelqu'un apparut d'un coup, sans un bruit, devant la classe.

Inconnu : Vous vous inquiétez pour elle je suppose ? Elle n'est pas si loin. Enfin, elle est avec moi.

C'était le fleuriste ayant appelé les urgences pour le vieil homme.

Inconnu : Je vous ai écrit une adresse au tableau. Je vous défi de venir mais ne serais pas étonné de voir que vous ayez trop peur. Ahahah. En tout cas, si vous voulez revoir votre cher prof, venez ce soir. Sur ce, à ce soir ? Enfin peut-être...

Il disparu dans la brumebrume, sans bruit. Il y avait bien une adresse au tableau, comment l'avait-il écrit sans qu'on le remarque ?! Impressionnant.
Mr Koro semblait connaître l'homme, mais ne dis rien sur lui.

Koro : Nous iront, ce soir, si vous ne voulez pas je comprends. En tout cas, ceux qui sont avec moi, on se rejoins à 21h30. Je vous libéré de cours à présent.

À suivre...