ଘChapitre XX

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Il était avec Karma. M'attendaient-t-ils tous les deux ? Je ne pense pas.

Moi : Tu veux quelque chose ?
Karma : Moi ?
Moi : À ton avis, je parle à qui sinon ?
Karma : Bah je t'attend pour rentrer.
Moi : Oops, trop tard.
Karma : pardon ?
Maehara : Bon Akiko on y va ? Ça sert à rien d'argumenter ?
Karma : Pfff, de toute façon Alizée est de meilleure compagnie que toi-même
Moi : Crève-
Karma : Ho tu insulte ?
Moi : Tu commence à m'enerver ! Toujours avec cette pouffe, elle me déteste et essaie de te prendre ! T'es idiot tu vois rien.
Karma : Idiot moi ? Tu t'es pas vu ma pauvre ! Tu savais rien en début d'année pauvre idiote. C'est qui qui t'as tout appris rappelle moi ? Bah oui c'est ça, moi ! Je t'eberge, te nouris tout ! En échange de rien.
Moi : C'est toi qui voulait et tu dis que j'étais ta je ne sais plus quoi et j'ai accepté. Tu m'a juste jamais rien demandé !
Karma : Hé bien maintenant je vais te demander quelque chose, laisse moi tranquille. Je ne suis pas ta propriété, toi tu l'es par contre donc je te conseille de te calmer si tu veux toujours un toit pauvre conne.
Moi : T'es vraiment ingrat ! Tu utilise mes faiblesse pour me descendre ? Je te reconnais plus-
Karma : Pfff tu me fais chier
Maehara : On se calme ಥ_ಥ

Les larmes me montaient aux yeux mais je n'avais pas l'air triste mais énervée. Je pris la main de Maehara, qui rougit légèrement, et parti. Karma parti, lui, de son côté.

Maehara : Tu sais quoi?
Moi : Mmmh ?
Maehara : Je vais te redonner le sourrire ! On va aller au café où travaille Isogai ? Ils font des pâtisseries superbes !
Moi : Je- vraiment ?
Maehara : De toute façon je te forcerai à y aller avec moi !
Moi : Bon très bien. Mercii /-//-/

Nous nous sommes installés près des vitres à l'intérieur. On ne faisait que rire et s'amuser. Mon chocolat chaud était ressorti par mon nez, ce qui me rendait un nez rouge. Je passais d'agréables moments ces derniers jours avec lui mais également avec Nagisa, Kaede et Nakamura.

{Une semaine plus tard}

Avec Kaede nous avions récolté pleins de livres et jouets ces derniers jours. C'était maintenant notre tour de faire les travaux.
Il restait à faire la sculpture de jeu intérieure et débarrasser des derniers jours de bois, clous, et débris.

Nous étions dehors, dans la Cour arrière. De vieilles planches de bois et des clous parsemaient le sol. Nous devions les mettre dans un sac qui finirait à la poubelle. C'était assez drôle, ils étaient déformés par le temps.
Avec Kaede nous rigolions beaucoup. On avait pas mal de délires ensemble. Karma quand à lui, restait sur le côté en train de débarrasser les planches. Il ne m'adressais pas la parole. Nous étions en froid, et ce, depuis l'histoire avec l'espèce de conne "Princesse Alizée" Comme dirait Karma.

Après une demi heure de rigolade en ramassant de stupide clous et des bouts de bois, il ne manquait plus que tondre la pelouse. Maehara en était chargé pendant que nous, étions en pause.
Je suis restée parler avec Maehara histoire de lui tenir compagnie.
Nous avions terminé ! En tout cas l'extérieur. Il manquait simplement de poser la sculpture au deuxième étage et c'était bon. Mais ça, c'était le rôle de Terasaka.

J'ai finis vers 17h tandis que Karma et plusieurs autres étaient déjà rentrés.

Je suis rentrée à la maison, mais, Karma n'était pas la. Enfin je pensais. J'ai monté doucement les escaliers et ai entendu une conversation entre Alizée et lui. Heureusement ils n'avaient pas entendu la porte se fermer donc ne savaient pas que j'étais la.

Alizée : On doit parler...
Karma : Pardon ? Il se passe quoi ?
Alizée : Je- je repars aux États Unis
Karma : Mais tu es arrivée il y a peu-
Alizée : C'est déjà décidé, les billets pris et bagages fais.
Karma : Tu pouvais me le dire avant !
Alizée : Ça s'est fais de dernière minute.
Karma : Tu m'appelera ?
Alizée : Oui bien sûr, mais ce sera dur avec les horraires.
Karma : Mais pourquoi ton cursus reprend si tôt ?
Alizée : J'ai changé mon cursus et l'ai prit en avance.
Karma : Pourquoi ?!
Alizée : Je vous fais du mal ! Akiko t'aime sincèrement ! Et moi je viens tout gâcher. Tu me manquais je suis donc rentrée, mais en la voyant j'ai prit peur de te perdre et ai joué à l'égoïste et j'étais vraiment une pétasse on peut pas nier. Je sais que tu m'aime en meilleur amie, je ne t'en veux pas, je suis même heureuse que tu ai trouvé quelqu'un.
Karma : Elle ne m'aime pas, et je ne l'aime pas.
Alizée : Arrête de dire n'importe quoi !
Karma : Mais- je enfin... De toute façon c'est pas la question !
Alizée : Je suis désolée Karma vraiment mais c'est trop tard. Et pour vous faire moin de mal c'est à moi de partir.
Karma : Mais non ! Tu étais la avant elle !
Alizée : Y a bien l'une de nous qui doit laisser la place à l'autre.
Karma : Reste !
Alizée : Ce n'est pas à elle de partir !
Karma : Et pourquoi ?
Alizée : J'veux voir mon meilleur pote en couple ! Et même je veux y retourner.
Karma : Comment je vais faire sans toi?
Alizée : De toute façon, celle que tu aime ce n'est pas moi, tu le sais très bien.
Karma : Mais qui alors ?
Alizée : Fais pas l'idiot, c'est ✨elle✨
Karma : Elle ? Tu fais erreur.
Alizée : On sait tous les deux la vérité donc dis pas de bêtise. Et puis, j'serais très heureuse de vous voir ensemble tu sais.
Karma : Mais tu comorends pas ! Comment je vivrai sans toi ?!
Alizée : Tu t'en sortira facilement, je ne suis pas vitale tu sais.
Karma : Si ! Tu es une fille si extraordinaire, belle et tu es la seule qui me comprends !

Je lâcha mon sac qui dis un bruit en dehors de la chambre. La seule qui le comprends ? Et moi ? De toute façon j'en avais assez entendu. Mais, en ayant entendu le bruit, ils vinrent à la porte et me trouvèrent la, debout, sans bouger, encore ces stupides larmes aux yeux ! J'en avais marre. Elle par contre était remonté dans mon estime mais Karma était très sec.

Karma : Koki- T-Tu étais la ?! Tu à entendu ?
Moi : Oui-.

Alizée me prit dans ses bras sans même que je puisse réagir. Je la serra à mon tour. En s'en alla vite en me chuchotant à l'oreille : «Je suis sûre que ça va entre vous, je t'ai laissé mon numéro au cas où, et Désolé vraiment. »

La porte claqua et Karma me regardait.

Karma : Je ne le pensais pas. Je ne voulais juste pas qu'elle parte !
Moi : Je ne te comprends pas ?
Karma : Si mais-
Moi : Mais ?
Karma : Je enfin, non. Elle a raison. Je ne l'aime pas comme ça. J'en aime une autre. Je ne peux pas la contredire.
Moi : Qu-

Je ne pu finir ma phrase, qu'il...

À suivre...

ଘPris sous son aileWhere stories live. Discover now