Sauve moi, j'ai besoin de toi - La belle & le fou

Chapitre 24

La mère d'Azra était à côté d'elle, elle lui tenait la main et lui caressait son beau visage, Azra souriait faiblement, elle était tellement pâle mon cœur se serra en la voyant comme ça. Elles ne m'avaient pas remarqué encore, je me racle la gorge pour montrer ma présence. Elles se retourna en même temps vers moi. Je n'avais que yeux pour Azra elle fut d'abord étonné et ensuite elle tendit ses bras vers moi avec un regard indescriptible.

Elle : Mihran...dit-elle les yeux remplis de larme.

Je m'approcha d'elle en vitesse et la pris dans mes bras avec précaution pour ne pas lui faire mal. Je humais son odeur, elle m'avait tellement mais tellement manqué. Je ressentais son vide à chaque heures, chaque minutes et chaque seconde.

Moi : Az....

Elle : Mihran. Dit elle en me coupant. Je sais la culpabilité que tu récent en ce moment. Mais sache que tu n'ai responsable de rien. Si c'était à refaire je le referai.

Sa mère : elle a raison Mon fils ne t'en veut pas c'est qui est arrivé devait arriver. Ne te ronge pas avec des remords, le plus important c'est que Azra va bien el hamdulilah. Me dit-elle avec des yeux replis d'amour.

Et elle s'approcha de moi pour me prendre dans ses bras. Moi qui avait oublié ce que c'était de ressentir l'amour d'une mère...je venais de le ressentir. Elle s'éloigna un peu de moi me regarda dans les yeux avec un sourire et dévia son regard sur Azra et sortit de la chambre avec un sourire.

Je me retourne vers Azra, et m'approche d'elle pour lui caresser les cheveux.

Moi : tu te sent comment? Hein? Ta mal quelque part?

Elle : non je vais mieux Mihran ne t'inquiète pas...me dit elle avec un sourire des plus magnifique.

Moi : je te promet que je vais te venger meleğim.

Elle : Mihran non s'il te plaît ne fait rien, ne te met pas en danger. Regarde je vais bien, laisse la police régler ça.

Moi : c'est impossible que je laisse passer ça Azra. D'ailleurs je t'interdis de te mettre en danger pour moi! c'est moi qui aura dû me prendre ce coup de couteau et pas toi.

Elle : je voulais seulement te protéger...

Moi : je sais meleğim...mais c'est à moi de te protéger et pas l'inverse. Je t'interdis de refaire une chose pareille. Repose toi maintenant faut que j'allais régler quelques affaires. Dis-je en lui faisait un bisous sur le front.

Elle : Mihran reste s'il te plaît. Me dit-elle en me regardant dans les yeux avec un ton suppliant. 

Je la prend dans mes bras afin de la rassurer je la sent tendu. Elle a peur pour moi, elle croit que je suis en danger alors que c'est la personne qui a donner l'ordre de me poignarder qui est en danger...je vais te venger Azra avec ou sans ton accord. Personne n'a le droit de blesser ou même toucher ce qui m'appartient.

Moi : je serais rapide. Ne t'inquiète pas pour moi occupe toi de te reposer mon ange. Lui dis-je avant de lui donner un dernier baisé sur le front et sortir de la chambre. Je l'entendis m'appeler plusieurs fois... désolé meleğim je serais rapide croit moi.

Je sors de l'hôpital et m'avance vers ma voiture. Je monte et reçois au même moment un appel de Samir, Parfait.

Samir : allo Mihran

Moi : j'espère que c'est pour une belle nouvelle.

Samir : ta tout compris. On l'a retrouvé, on l'a assommé ce fdp essayé de changer de pays pour pas que tu le retrouve.

Moi : bien...Samir ramène le au lac à côté de la forêt et ramène les matériaux que je vais t'envoyer en messages. J'y serais déjà.

Lui : Vasy je fais ça. A toute suite. Dit il en raccrochant.

Bien bien...je vais pouvoir assouvir ma soif de vengeance. Je vais lui faire regretter le jour où il est venu au monde.

———

Samir me lance Furkan a mes pieds. Ce dernier essaie de ce relever mais je lui lâche un gros chassé dans son ventre qui le fait automatiquement retomber en toussant. Je lui prend ses cheveux et tire dessus pour qu'il penche sa tête en arrière.

Lui : est-ce...est-ce que Azra va bien? Me dit il a bout de souffle.

Je lui prend sa gorge et commence à serrer. Il n'a pas le droit de prononcer son prénom avec sa sale bouche.

Moi : je te réserve une mort digne de ce nom, pour avoir oser blesser ma femme.

Lui : ELLE DEVAIT ÊTRE À MOI!!! SI TU NE T'ÉTAIT PAS INITIÉ DANS MES AFFAIRES ELLE SERAI À MOI À L'HEURE ACTUELLE! Dit il avec rage.

Moi : je pense vraiment que je l'aurais laissé ce marier avec un violeur? Dis-je avec un rire sans joie.

Lui : tu ne t'aurais pas imposé entre nous, elle aurait été mon meilleur coup ptn, elle était tellement bonne...dit-il en riant.

Il essaie de me provoquer? Bien, Sans plus attendre je lui déclenche une patate, et une autre et encore une autre. Jusqu'à qu'il soit assommé.

Samir : Mihran je t'ai ramené les matériaux. Amuse toi bien chef! Dit il en rigolant avant de partir.

Moi : j'y compte bien. Dis-je en regardant Furkan dans les yeux.

Ce dernier ayant compris ce que je lui réservais en regardant les matériaux, essaya de s'échapper mais je lui mis une balayette très vite ce qui le fit chuté immédiatement.

Moi : tu n'iras nul part, tu as un rendez-vous avec la mort.

Lui : n..non je t'en supplie de fait pas ça!! Pardonne moi!!!

Moi : fallait y penser avant de blesser ma femme!

Je m'avance vers lui, et lui prend son bras et d'un seul coup de genoux je lui casse. Il lâche un cris stridents et commence à verser des larmes et je fais pareilles avec l'autre bras.

Moi : tu vois ça c'est la douleur qu'Azra à ressenti quand elle s'est fait planter, mais toi tu vas le ressentir en 10 000 fois pire.

Il n'arrive plus à bouger, ses pleures redoubler quand il me fit prendre des fils barbelés. Je m'avance près de lui et commence à l'attaché avec dans tout le corps. Il pleurait toutes les larmes de son corps, mais aucune pitié ne me traversa...je repensais à Azra..mon ange sur ce lit d'hôpital toute pale...non pire j'avais encore plus la haine, j'allais le finir aujourd'hui.

J'accrocha un poids à ses deux chevilles, et le pris par le cols de son teeshirt et le traîna dans le lac. Une fois sur le ponton, je le laissa tomber à mes pieds.

Lui : s'il te plaît nooon!! Ne fait pas ça!!! Je ferais tous que tu voudras!! Pardonne moi!!

Moi : il est trop tard pour demander pardon. Dis-je avant de le balancer dans le lac en un coup de pied dans le torse.

Je le vis essayer de ce débattre mais très vite les poids a ses chevilles l'entrainé dans les profondeurs du lac.

Une vague de satisfaits me traversa, il avait eu ce qu'il méritait. J'ai fais ça non seulement pour venger ses victimes du passé mais aussi celle du futur, mais surtout pour venger mon ange. Il ne fera plus de mal à personne maintenant.