Chapitre 2

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Le lendemain

Je dis au revoir à mes parents, et mon petit frère.

Ma mère : je suis pas tranquille tu es vraiment obligé d'y aller?

Moi : Anne (maman) on n'en a déjà parler s'il te plaît! Ne t'inquiète pas dès que j'arrive je t'appelle.

yusuf (dans mon oreille) : quand t'arrive dit moi si y'a des belles meufs stp, j'arrive directe.

Moi et ma mère on lui met une claque derrière la tête 😂.

yusuf : Anne je rigole je vais rester avec toi toute ma vie.

Ma mère et mon père: non merci.

J'étais morte de rire, ensuite mon grand-frère se dirige vers nous pour me dire qu'on devait prendre la route pour l'aéroport.
Je leurs fait un dernier câlin et sort de la maison. Je vois la maison disparaître petit à petit et un petit pincement au coeur me prend, ils vont tellement me manquer... mais je dois le faire.

Une fois à l'aéroport

Mon frère me prend dans ses bras et me fait des menaces si jamais je l'appelle pas. Avec mon grand-frère on n'a toujours eu une relation fusionnel, il a toujours été très protecteur avec moi.

Lui : Vallah dès que t'arrive tu vas m'appeler, dès qu'il y'a un truc chelou tu m'appelle, si quelqu'un t'en merde tu m'app...

Moi : Abi (grand-frère) c'est bon j'ai compris je vais t'appeler. Ohlolo...

Lui (en me prenant dans ses bras) : ta intérêt oui.

Je lui fait un dernier signe de main et embarque dans l'avion direction Paris.
Une fois dans l'avion je fais la rencontre d'une gentille dame qui me raconte sa jeunesse.

Elle : tu sais ma fille à notre époque les personnes s'aimaient vraiment dès qu'il y avait un problème il ne chercher pas à jeter le partenaire mais à résoudre leurs problèmes ensemble. Aujourd'hui tellement de jeune personne ont le cœur brisé. Alors que le monde et remplie de belle chose.

Je la regarde avec admiration, elle avait tellement raison... malheureusement à notre époque plus personne connaissait véritablement le vrai amour, enfin c'est ce que je pensais.

Elle : dit moi ma jolie, tu es marié ou en couple?

Moi (en riant) : non je ne suis pas marié ni en couple.

Elle (étonné) : et pourquoi ça? Vous êtes d'une beauté incroyable je pense que vous devez brisé plus d'un coeur.

Moi : et bien depuis petite je suis en compétition avec moi pour rendre fière mes parents et me rendre fière à moi même. Je cherche toujours à aller plus loins dans mes ambitions. Je n'ai jamais eu le temps de sortir m'amuser avec un garçon ou même de me faire trop d'amis malheureusement...

Elle : je vois... j'en suis sûr que très bientôt tout cela va changer. Vous verrez vous ferez la rencontre d'un beau et gentil jeune homme dont vous tomberez amoureuse et vous vous ferez plein d'amis sur qui vous pourrez compter.

Je la regarde en souriant, et là remercie pour ces belle parole.

C'est vrai que je n'ai presque jamais eu d'amis... depuis petite je suis toujours plongé le nez dans mes bouquins et aucun enfant n'a jamais voulus rester amies avec moi. Et en grandissant je me suis faite à l'idée que seule ma famille étaient mes véritables « amies ».

L'avion ce pose enfin, sayez je suis à Paris, une voiture doit venir me récupérer pour m'emmener dans le laboratoire ou les testes devaient commencé.

Je descends donc de l'avion et voit une femme d'à peu près mon âge avec une pancarte avec écrit mon nom dessus.

Je m'approche d'elle et là salut.

Elle : Bonjour Madame Akturk, je suis le médecin Ozyurt c'est moi qui vais vous faire visiter et vous expliquez les consignes. On peut ce tutoyer?

Moi : oui bien sûr, je suis pressé de travailler avec toi.

Elle : et moi de même, j'ai beaucoup entendu parler de toi et de tes exploits. A ton jeune âge tu as presque révolutionné le monde de la psychologie c'est incroyable.

Moi : c'est très gentille, c'est vrai qu'aidé les autres à ce sentir mieux est ma seule priorité.

Nous sommes monter dans la voiture.

Elle : avant d'arriver il faut que je vous dise que nos patients on les cas les plus sévères de la schizophrénies. Il peut y avoir des situations assez dangereuses, mais ne vous inquiétez pas il y aura une équipe de sécurité comme convenu. Aussi nos patients on tous des histoires différentes certains sont nés avec cette maladie et d'autres l'ont eux a cause d'évènements traumatisantes dans leurs vies, donc ils ont tous des comportements différents. Mais tu le verras de toi même.

Moi : et c'est pour ça que je suis ici. Je vais aider ces personnes de mon mieux, en examinant déjà leurs états et leurs environnements de vie. Merci pour les informations supplémentaires. Dois-je m'inquiéter d'un cas en particulier?
Dis-je en notant de mon carnet.

Elle : de deux en particulier. Notre patient 145 et 137. Notre patient 145 il a 50ans, mais ne te fit pas à son âge, des qu'une crise le prend il est incontrôlable et devient très violent et c'est pour cela qu'il a était éloigné de la vie en société. Et notre patient 137 lui a 27 ans, il n'est pas dangereux mais très calme, c'est impossible de lui faire décrocher un mot de la bouche, il est toujours froid et distant. Alors je pense que ce sera tes cas les plus difficiles.

Moi : difficile mais pas impossible. Si le patient 137 n'est pas violent pourquoi est-il ici?

Elle : et bien c'est assez surprenant, mais il est venu de lui même. Alors que nos autres patients ont été « forcés » de venir.

Moi : hm je vois... merci pour toutes les informations euh...

Elle (en souriant) : Asel!

Moi : merci pour les informations Asel!

Bien, Azra ces patients en besoin de toi, ne les déçois pas.

Nous sommes enfin arrivés devant le bâtiment, j'étais un peu angoissé et stressé, mais j'ai vite repris mes esprits quand Asel m'a interpellé pour rentrer dans le laboratoire.

Sauve moi, j'ai besoin de toi - La belle & le fou Où les histoires vivent. Découvrez maintenant