Cela faisait quelques minutes maintenant que je me trouvais ainsi, allongée sur le flanc. Seules mes mains étaient attachées devant moi, le bâillon en place entre mes lèvres humides de salive. Monsieur avait décidé de me laisser me reposer et récupérer le temps qu'ils finissent de siroter leurs verres d'alcools translucides.
Je me tenais à ses pieds qu'il avait déposé sur moi, mes yeux fermés par la fatigue et l'envie de m'endormir. Ils parlaient de termes que je ne saisissais pas, mais la discussion restait toujours calme et continue dans un échange qui semblait attiser leur envie de converser. J'étais heureuse de le voir s'épanouir de la sorte avec des personnes qui l'appréciaient. Son plaisir était alors le miens.
Ce contact, aussi distant soit-il, provoquait en moi une tranquillité d'esprit dont je n'aurais voulu pour rien au monde me débarrasser.
"Maître, la table est mise et le service est installé. Nous attendons pour vous servir.
- Merci Barbara. Messieurs.
Je regardais le dénommé Horm se lever avant d'être suivit de près par les deux autres hommes. Monsieur me regarda avant de me tendre une main une fois debout.
- Ne restez pas au sol, ma sœur.
Le jeu continuait donc dans cette optique ? Ça m'allait plutôt bien. Il me prit doucement les mains dans les siennes et m'aida à me lever, un sourire rassurant sur les lèvres. Il avait le regard tendre et le toucher attentionné. Je pouvais sentir la chaleur qui émanait de ses paumes réchauffer les miennes.
Je gémissais faiblement pour le remercier, agrandissant son sourire aguicheur et presque affamé.
Il me guida avec précaution jusqu'à la table avant de tirer une chaise aux accoudoirs gravés de sublimes courbes. Je m'apprêtais à m'asseoir quand il me fit signe d'approcher, mais c'était sans compter ce qu'il avait en tête. J'étais si peu observatrice.
Il me retint et retira les boules de ma bouche, avant de les introduire sans difficulté dans mon orifice vaginal. Il faut dire qu'entre ma salive et la cyprine, aucune lubrification n'était nécessaire. Sa main avint précédemment caressé ma cuisse et relevé ma robe sans la moindre difficulté. La surprise me fit ouvrir la bouche et laisser filer un gémissement excité que je n'aurais jamais voulu retenir.
Il sourit, encore. Il se jouait de mon plaisir, et nous aimions tous les deux ça.
Je le regardais en me mordant la lèvre inférieure, tentant aussi fermement que possible de retenir tout autre son révélateur d'un désire luxurieux. Mais mon regard lui, ne se cachait pas de ce que Monsieur parvenait à susciter en moi.
- Je vous en pris, ma sœur.
Il me fit m'installer, veillant à remettre ma robe en place en ajoutant une petite fessée à la fin. Je souris en appréciant la douleur singlante atténuée par ma tenue.
- Et bien ma sœur, commença le plus âgé de nos invités. Comment vous sentez-vous ?
- Un peu mieux, je dois l'avouer. Tout ceci grâce à vous, mon Père, dis-je en regardant le concerné avec remerciement.
- Il reste encore du travail, ma sœur. Je peux encore sentir les effluves du démon sortir de votre corps. Vous risquez d'avoir probablement froid d'ici très peu de temps. Nous allons prendre les devants. Domestique !
- Oui, Monsieur ?
La soumise en tenue de soubrette s'est approchée avant de se tenir droite aux côtés de Monsieur. Son regard était baissé vers le sol, ses mains jointes devant son tablier en latex blanc luisant.
आप पढ़ रहे हैं
CNC : Jeux de souffrances plaisantes
सामान्य साहित्यOn lit souvent des histoires de kidnapping non consentie sur Wattpad, écritent par des jeunes femmes ou des jeunes hommes qui rêvent de supplice en retranscrivant ce qu'ils désirent pour eux-même. Ce qui se passe dans leurs histoires n'est pas légal...
