Le Catalyseur

Épisode 10 : Un parfum de féminité.

/!\ Disclaimer :

Je tenais à préciser que l'univers et les personnages issus du dessin animé Avatar le dernier maître de l'air, appartiennent à Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko.

J'emprunte seulement ce dont j'ai besoin pour écrire une fanfiction.

De fait je ne touche aucun financement en publiant ce récit.

PS : Les images que j'insère à chaque entête de chapitres ne m'appartiennent aucunement. Je remercie donc chaleureusement leurs concepteurs.

Par ailleurs, elles n'ont pas forcément de rapport avec le chapitre en question, c'est simplement que je trouve ça plus sympa d'illustrer le récit avec des images que j'aime bien.

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Bonsoir, bonjour à toutes et à tous. Incroyable ! je suis encore vivante après presque deux ans de silence radio. Et je vous poste aujourd'hui le nouvel épisode de cette fanfiction que je viens juste de reprendre.

Comme pour le précédent chapitre, ce message est éphémère en attendant que je le reformule. Si certaines, certains d'entre vous ont continué à attendre la suite, je vous demande de bien vouloir m'excuser et je vous remercie. 

Pour aller vite, cette période creuse s'est manifestée à cause de plusieurs aléas de la vie, mais je pense que vous savez ce que c'est ^^'

Toutefois, je vais avoir plus de temps à me concentrer sur cette fanfiction cet été, aussi je vais (essayer de) reprendre le post hebdomadaire. 

Bonne lecture ! 

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- Oui, je suis une fille. Et en quoi ça vous étonne d'abord ? Répliqua la jeune adolescente toujours assise et entourée des trois acolytes. Hein ? Vous croyez que parce que je suis une fille je ne suis pas capable de vous pister sans faire de bruit, c'est ça ? Eh ben raté !

- Je te prie de bien vouloir nous excuser, nous ne pensions pas à mal, lui sourit l'ancien captif tout en l'invitant d'une main tendue à se relever. Comment t'appelles-tu ?

- Moi, c'est Mïei ! Puis-je me permettre de vous retourner la question ? Et j'entends par là votre véritable identité, pas les ridicules noms de couverture que vous avez servis aux gardes tout à l'heure. Je suis une native du royaume de la terre, on me la fait pas à moi, vous étiez autant à l'aise qu'un poisson koï dans le désert Si Wong. C'était franchement drôle à voir !

Tout en débitant un impressionnant flot de paroles sur un ton désormais enjoué, elle rejeta sa cape en arrière pour épousseter sa longue tunique ivoire et anis, et remettre en place les bas de son pantalon couleur taupe dans ses hautes sandales étroitement lacées. 

Elle se plaça ensuite de sorte à les avoir tous trois devant elle et ils purent découvrir pleinement une frimousse toute pâle constellée de taches de rousseur, avec de grands yeux d'un vert aussi expressif qu'un sous-bois touffu gorgé de soleil, et pourvue d'un minuscule nez pointu ainsi que d'une toute petite bouche en coeur. Son doux visage encore enfantin sur les bords étaient encadré par une véritable crinière fauve savamment domptée en deux couettes tressées. Iroh entreprit de se présenter tout en la saluant respectueusement, exemple que suivirent les deux autres de bonne et moins bonne grâce :